Les Messages de Dieu pour nous Via Linda Noskewicz - Vendredi 9 Novembre 2018

-10H09 après la messe aujourd’hui

Je suppose que l’heure n’a pas d’importance aujourd’hui, parce que ce mot concerne un rêve que j’ai fait la nuit dernière. Pendant la messe ce matin alors que je priais, Dieu m’a éclairé sur son sens. C’est pourquoi je le poste ici. Il contenait une série de significations extrêmement profondes et importantes.
*Soyez patients, s’il vous plait, car le format de ce « message » est différent (pour moi aussi), et la description du rêve est un peu longue. Merci.

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Le rêve a commencé, et j’étais capable de voir à travers les yeux d’une femme. Je pouvais tout voir, ressentir ses émotions, et sentir les aspects physiques du rêve.
Cette femme était dans une vieille maison avec beaucoup de chambres, mais elles étaient toutes sombres et encombrées de choses. Il y avait des boites partout, et du mobilier, et des étagères toutes couvertes de babioles en verre, de journaux, et de livres. C’était encombré d’affaires.

Il y avait une cuisine où trois femmes- des femmes mûres avec une plus âgée- étaient assises par terre.  Elles étaient en train de trier des petites choses – bibelots - pour la femme plus âgée. Ils semblaient insignifiants excepté pour la valeur sentimentale qu’ils apportaient à la plus âgée des trois. C’était ses petits trésors personnels. Il y avait aussi de grands sacs de riz et d’haricots et des sacs de pomme de terre là dans la cuisine. La femme âgée était calme, contente, et paisible. Elle ne parlait pas, mais les deux autres femmes étaient assises en train de se plaindre l’une à l’autre en travaillant. La cuisine gardait un peu de lumière alors que le reste de la maison était sombre – cela ressemblait à l’obscurité d’un jour nuageux quand les rideaux de la maison sont fermés. Tout était sombre et déprimant.

Les pièces de cette maison auraient été grandes s’il n’y avait pas eu des affaires partout. Il y avait à peine assez de place pour marcher avec toutes ces choses. Les murs étaient peints dans des tons de vieux bleus et gris passés, et ils avaient l’air très usés avec des taches et des fissures. La femme les trouvait bizarres, et presqu’amusants.

Il me semblait que sa famille élargie était là. Il y avait beaucoup de cousins de tous les âges -garçons et filles, hommes et femmes. Le mari de la femme ne faisait pas attention à elle. Elle était dans tous ses états dans son esprit et son cœur pour capter son attention, mais il l’ignorait ou l’évitait et montrait une forte préférence pour la compagnie des autres femmes et filles. Ces femmes ont aussi commencé à ignorer la femme (sa femme). Cela la rendait jalouse et en colère – je pouvais sentir sa colère. C’est comme si elle voulait tous les renverser avec sa colère et sa haine. C’était physique, et elle voulait profondément les blesser.

Soudainement, la maison a tremblé du à ce qui semblait un « léger » tremblement de terre. Il était suffisant pour faire tomber des boites des étagères et casser quelques petites choses. La femme était seulement légèrement alarmée par le tremblement. Personne d’autre ne remarqua les nouvelles fissures dans les murs, et ils n’avaient pas peur du tremblement de terre.

La femme était si en colère et jalouse qu’aucun des membres de sa famille ne voulait être près d’elle. Son mari et un groupe de femmes ont quitté la maison pour faire quelque chose d’autre. (C’était comme si c’était quelque chose d’horrible et d’impur) La femme n’a pas remarqué son départ. Quand elle a découvert qu’ils l’avaient laissé derrière, elle est devenue plus en colère par la blessure. Elle avait l’habitude d’être le centre de l’attention, alors cela a amplifié sa colère, sa jalousie, et son désir pour la violence. Elle voulait frapper quelqu’un.

Elle s’est dirigée vers la cuisine pour se plaindre aux femmes qui se trouvaient là. Les deux plus jeunes se moquaient de sa situation fâcheuse. Elles lui disaient « Pourquoi est-ce que quelqu’un voudrait trainer avec elle, Ce n’est pas étonnant que son mari l’ait quitté (pour aller) avec les autres filles et femmes.
 
La femme est de nouveau furieuse de leur réaction et rires. Dans sa colère intense, elle se salit, et les excréments sont partout sur son corps et ses vêtements. Je pouvais sentir son dégout complet concernant tout ce qui était sur elle et l’odeur et la saleté. Elle voulait se débarrasser de l’excrément et a commencé à chercher des salles de bain à l’intérieur de la maison. Mais celles qu’elle a trouvées étaient horriblement sales, cassées, et noires. Les toilettes étaient brisées sur le sol et les douches n’avaient ni eau ou ne donnait qu’un filet d’eau. Les salles de bains étaient pires que ce qu’elle avait sur son corps, mais pourtant, elle voulait désespérément se nettoyer.

Il y eut un deuxième tremblement de terre – plus violent que le premier. Plusieurs des bibelots tombent et se cassent. Des livres sont jetés sur le sol, et le désordre dans la maison est légèrement plus important. Les fissures dans les murs sont quelque peu plus grandes aussi. Ceux qui sont encore dans la maison ne le remarquent pas. Ils ne se recroquevillent pas pour se mettre à l’abri. La femme est ébranlée et un peu plus effrayée.

Elle continue à chercher une salle de bains utilisable pour prendre une douche. Alors qu’elle cherche, elle tombe sur un lot de magnifique porcelaine fine et de verres en cristal et de flutes de champagne. C’était comme s’ils lui appartenaient (ou qu’elle avait l’intention de les réquisitionner) parce qu’elle a répondu en criant à la femme dans la cuisine. Elle a hurlé sur l’une d’elle – sa mère, peut-être – et lui a demandé de bien envelopper le cristal et la porcelaine ! Enveloppez-les et prenez en soin pour qu’ils ne cassent pas la prochaine fois que la maison va trembler ! Sa demande semble presque comme une menace.

Puis la femme se fraye un chemin jusqu’à la cour intérieure. C’est le jour mais il ne fait pas beau. Elle tombe sur une douche extérieure circulaire faite de grosses pierres rondes. Beaucoup d’endroits s’écroulent. Il y a un rideau rouge à l’entrée, mais il ne ferme pas complètement. Les hommes et les garçons de la famille sont aussi à l’extérieur dans le même yard que la douche. Elle veut se doucher, mais il n’y a pas de savon, et les hommes et garçons commencent à la regarder avec désir.
Finalement, elle ne peut plus enlever la saleté sur elle, alors elle enlève ses vêtements. Il y a eu un sentiment de répulsion que j’ai ressenti avec elle alors que ces hommes – sa propre famille ! - la désiraient. Les garçons aussi, et j’ai ressenti une nausée en moi-même. Cela m’a donné la chair de poule.

Je pouvais ressentir la honte et la mise à nu de la femme – comme elle se sentait mal à l’aise et malade. Elle a essayé de se doucher rapidement, et pendant ce temps, un autre tremblement de terre secoue la maison et le sol. Une partie du mur en pierre qui faisait la douche se casse, et alors les gens à l’extérieur dans la rue pouvait la voir. Eux aussi la regardait avidement et avec convoitise, et d’être ainsi exposée nous a fait trembler toutes les deux.

Elle s’est rhabillée rapidement mais s’est rendu compte que ses vêtements étaient encore sales à cause des excréments. Elle a décidé qu’elle était plus propre qu’elle ne l’avait été, et que c’était un peu mieux. Elle a utilisé les vêtements sales, mais elle ne s’est pas sentie aussi dégoûtée qu’avant.

Elle retourne à la maison, et, une fois encore, un tremblement de terre violent la fait trembler. Encore plus de choses sont jetées au sol, sont renversées et cassées. Elle crie à nouveau contre les femmes dans la cuisine d’une pièce différente et leur rappelle que le verre doit être protégé. Cependant, quand elle retourne dans la pièce pour inspecter la porcelaine et les verres de champagne, tout est cassé et éparpillé sur le sol.
 
Tous les verres en cristal sont cassés excepté deux. Elle pense en elle-même, « Eh bien, au moins j’ai ces deux flutes en cristal ravissantes ». Quand elle en ramasse une, malgré tout, il y a une fissure sur le bord du verre, et instantanément elle se brise dans sa main. Elle s’énerve et se dit en elle-même une deuxième fois ; « Eh bien, j’ai au moins une flute en cristal pour moi ». Elle ramasse la deuxième flute, et elle se brise instantanément dans sa main, alors même qu’il n’y avait pas de fissure.
La femme est alors plus en colère, plus contrariée, et plus jalouse. Je pouvais aussi sentir plus de violence dans sa colère qu’auparavant. Alors qu’elle était debout devant la porcelaine brisée et les verres, un autre tremblement de terre secoue la maison très violemment – suffisamment pour la pousser dehors dans la rue par peur.
 
C’était la nuit. Il y avait beaucoup de gens dehors dans la rue avec elle, mais aucun ne semblait remarquer ou se soucier des tremblements de terre. Ils n’avaient pas peur. Ceci m’a beaucoup désorienté alors que je regardais. (Après tout, la plupart des gens auraient peur pendant une série de tremblements de terre !). A ce moment elle (et moi à travers elle), a remarqué un feu rugissant au loin. Je pouvais entendre et sentir la chaleur sur mes joues.

C’était un feu qui détruisait une immense ville. Je savais que c’était une immense ville, parce que la ville était si loin, et pourtant le feu était si grand et puissant et je le sentais. Alors que je regardais avec la femme, je pensais à l’immensité du danger dans lequel les gens autour de moi se trouvaient. J’étais sure qu’ils étaient en grand danger, mais aucun d’eux n’agissait comme s’ils s’en préoccupaient ou savaient qu’ils étaient en danger. Personne ne faisait rien. Ils n’avaient pas peur, et la femme était seulement légèrement effrayée. Ils se tenaient juste là à regarder bouche bée le feu.

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