Notre Seigneur Via Sœur Beghe (NS Jésus-Christ) : Saint Joseph - Mardi 23 février 2021

Publié le par monSeigneur et monDieu

Saint Joseph

 

Quand vous quitterez la terre à la fin de vos jours, saint Joseph, Mon père de la terre et patron de la bonne mort, vous assistera si vous l’en priez. Il est lui-même mort avec Jésus et Marie à ses côtés, alors il comprend la nécessité de mourir en bonne compagnie.

 

Saint Joseph est le père de famille par excellence, toujours calme, toujours rapide en ses décisions, toujours généreux dans ses tractations, toujours décidé mais jamais impatient, toujours bienveillant mais jamais imprudent. Quand il parlait, sa conversation était toujours agréable, amicale et positive. Il ne perdait pas son temps en paroles oiseuses, il était digne et réconfortant, souriant et digne de respect.

 

Il était Mon père de la terre et Je le traitais comme tel. Je l’aimais comme tout bon fils aime son père, avec naturel, respect et obéissance. Personne, tant qu’il vivait, ne sut que Mon vrai Père était Dieu, et personne d’ailleurs ne s’en doutait. Ma Mère, la très sainte Vierge Marie, était son épouse et notre vie familiale était digne, vertueuse et très naturelle. Nous nous aimions, nous nous respections, nous nous aidions et nous nous parlions avec affection et tendresse. La vie familiale, telle qu’elle était alors, était un baume pour le Fils de l’homme, appellation que Je pris plus tard car J’étais bien de l’espèce humaine par Mon incarnation. Le Fils parfait, sans péché, immaculé comme Ma Mère l’était aussi.

 

Joseph qui était très saint, ne dépareillait pas dans notre cellule familiale, Ma Mère l’aimait sincèrement, le respectait et lui, il l’aimait tendrement. Comme époux, il était respectueux et elle pouvait compter sur lui en toute occasion. Nous étions une famille unie, très unie, et l’amour divin entretenait notre relation.

 

Je parlerai encore de Joseph qui est si mal connu. Il était bel homme, de bonne taille sans être trop grand et Moi-même, Je le dépassais de peu. Il marchait rapidement, en ligne droite, et quand il travaillait, il ne se perdait pas dans les détails. Il travaillait avec précision et ses œuvres étaient le plus souvent faites d’un trait. Il se trompait rarement mais lorsque cela lui arrivait, il réparait tout naturellement ou il recommençait selon la nécessité. Lorsqu’il se trompait, il le remarquait simplement et il réparait ou recommençait sans impatience. Son travail était celui d’un professionnel et tout professionnel de bonne qualité est exigeant. Il l’était pour ses œuvres personnelles mais quand Je l’aidais et plus tard, quand Je travaillais avec lui, J’étais toujours appliqué à lui plaire, connaissant sa perfection et son désir de l’être toujours.

 

Il complimentait Mes œuvres avec le même regard que pour les siennes propres et J’appréciais cette justice et cette recherche de perfection. S’il M’arrivait de manquer le but, car parfois Mes mains glissaient ou manquaient de bonne emprise, il M’aidait rapidement comme s’il avait prévu de le faire. Je faisais de même et notre équipe était performante et gagnante.

 

Nous nous aimions comme père et fils et jamais Je n’entendis le moindre commentaire au sujet de notre histoire particulière aux yeux des hommes. Il était Mon père, nous nous entendions comme tel, et la sérénité de notre relation était exemplaire. Quand il partit pour les Limbes, car pour lui aussi le Ciel était encore fermé, J’en fus humainement très peiné et Ma très sainte Mère aussi. Nous savions qu’il méritait le Ciel et pour lui, J’avais hâte de remplir Ma mission rédemptrice.

 

Il fut heureux dans les Limbes, le temps où il y fut, mais il savait alors que son temps n’y serait pas long. Il encouragea les Justes qui s’y trouvaient et qui, eux aussi, attendaient patiemment et en union avec Dieu, leur libération. Celle-ci vint quelques années de la terre suivantes et leur joie fut exceptionnelle : reconnaissante, adorante, louangeuse, admirative et très joyeuse. Ils entrèrent dans le Ciel avec un grand respect, une grande admiration et un bonheur profond. Ils y sont maintenant éternellement et Joseph fait partie des très grands saints de cette assemblée. Jean le Baptiste aussi. Et puis il y en a tant qui eurent sur terre des vertus exceptionnelles, que tous sont aimés avec ardeur, connaissance et zèle. Je suis heureux au milieu des Miens et tous le sont aussi, fermement et sans conteste.

 

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Publié dans Messages Divers

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