Les 23 ans de «Cris» silencieux du «comateux» dans un état végétatif!
Un Belge de 46 ans a passé 23 années allongé dans un lit d'hôpital dans un état qualifié de végétatif. Des analyses menées en 2006 ont montré qu'il était conscient depuis le début. Un cas qui ne serait pas isolé.
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Depuis 1983, Rom Houben pouvait ainsi parfaitement entendre ce que les médecins disaient à son sujet, précise le quotidien britannique sur son site Internet. «Pendant tout ce temps, je rêvais d'une vie meilleure. La frustration est un mot trop faible pour décrire ce que je ressentais», explique-t-il. Désormais, il peut communiquer grâce à un système informatique lui permettant d'écrire des messages sur ordinateur. En revanche, il ne devrait jamais quitter l'hôpital où il est accueilli près de Bruxelles. «Je n'oublierai jamais le jour où on a identifié mon problème. Cela a été comme une seconde naissance», précise Rom Houben. «Je veux lire, parler avec mes amis via l'ordinateur et profiter de ma vie maintenant que les gens savent que je ne suis pas mort».
Pour le docteur Steven Laureys, le cas de Rom serait loin d'être isolé.
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Comme l'explique le Daily Mail, cet événement pourrait également relancer le débat sur l'opportunité de mettre fin à la vie de personnes plongées dans le coma depuis des années et dont on estime qu'elles ne recouvriront jamais leurs facultés.
Réf : http://www.lefigaro.fr/sante/2009/11/23/01004-20091123ARTFIG00577-dans-un-coma-profond-depuis-23-ans-il-etait-en-realite-conscient-.php
Du blog : Je ne vous mets que des extraits de l’article que je vous invite à aller lire par vous même.
L’histoire de cet homme replonge en plein dans celle qui a diviser le monde au sujet de la jeune femme italienne dont les parents ont obtenu du tribunal autorisation de l’euthanasier par « famine » dirais-je.
En effet après qu’on ait souhaité l’euthanasier en la débranchant de l’appareillage respiratoire qui croyait on la maintenait en vie, force avait été de s’apercevoir qu’en réalité elle pouvait vivre sans. Donc la grande souffrance des parents a été évoquée pour les autoriser à faire pratiquer une euthanasie « médicalement » (comme quoi le domaine de la santé ne consiste pas à sauver les vie, mais aussi à l’ôter !) assistée. Et pour se faire, il avait été décidé de cesser de nourrir cette jeune femme qui serait décédée des suite de sa dénutrition ? ou d’autre chose ?
Par ailleurs l’acharnement thérapeutique pour le maintien en vie peut être légiférer et rendre passible de condamnation, mais pas l’acharnement à vouloir ôter la vie, me semble t’il puisque le faire à l’échelle mondiale ouvre droit à une impunité juridique et au versement de royalties : La pandémie AH1N1 et la vaccination annexe.