Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu via la Fille du Oui à Jésus - 13 11 2011 -
par son instrument,
Temps d’abandon
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que le Seigneur fait avec chacun de nous, nous ne pouvons pas le comprendre. Il est venu chercher des enfants – et nous ne sommes pas les seuls – pour les amener à se dépasser. Chacun était dans son confort, chacun vivait dans l'esprit de ce monde. Chacun n'a pas demandé à vivre ce que le Seigneur, en ce moment même, est en train de nous faire vivre : personne. Nous n'avons pas été préparés par la volonté humaine, mais par la Divine Volonté.
Avant même que nous soyons ici sur la terre, le plan de Dieu était en nous. Ce que le Seigneur fait pour chacun de nous, il le fait avec sa lumière. Il est la Lumière. Ce que le Seigneur fait pour nous amener sur son chemin est de sa Volonté, que de sa Volonté, pas de notre volonté, car certains d'entre nous, et la plupart, auraient dit : 'Un autre, Seigneur, pas nous.'
Le Seigneur fait pour nous des merveilles et nous ne voyons pas, nous n'entendons pas. Ce que nous pouvons percevoir, c'est des petits grains qui tombent sur la terre. Ils sont si petits que personne ne les perçoit et ils viennent se loger dans le cœur de tous les enfants du monde sans que les enfants du monde le réalisent. Là est l'œuvre de Dieu.
Les enfants qui ont été choisis – et nous sommes parmi eux – voudraient que cela soit plus visible. On voudrait que cela soit plus clair dans notre vie, on voudrait être exempts de souffrance, exempts de ces tribulations que le Ciel nous a annoncées. Oui, ces tribulations, le Ciel nous les a annoncées : il y aura guerre sur guerre, il y aura tremblements de terre, il y aura épidémies, il y aura famines; le père contre le fils, la mère contre la fille; le fils contre le père et la fille contre la mère; les enfants de Dieu contre les enfants de Dieu. Oui, le Seigneur nous a annoncé tout cela et, dans tout cela, il y a bouleversements dans le monde entier.
Vous qui avez lu le quatrième volume 'Amour pour tous les Miens', n'est-il pas écrit que viendrait le moment où les gouvernements se mettront contre les gouvernements, et ceux qui ne seront pas dans le bon camp, ils devront s'en aller? Car il ne restera plus qu'une seule tête, c'est la tête forte. Il est écrit aussi que l'Église souffrirait, qu'on chercherait à faire tomber l'Église. Il est écrit aussi qu'il y aurait un grand schisme. Il est écrit aussi qu'on serait contre le pape. Il est écrit aussi que ceux qui voudront suivre l'Évangile seront mis à part et que ceux qui veulent suivre ces prêtres seront des enfants qui trahiront ceux qui sont dans l'Église. Il a été dit aussi que Satan userait de tout son pouvoir pour ébranler les enfants de lumière.
Jésus : Les enseignements vous ont annoncé tout cela. Les enseignements que vous avez reçus sont sortis de votre cœur et Dieu vous les a fait entendre par sa toute-puissance. Il vous a été dit, mes enfants,que l'orgueil serait contre ceux qui prient, ceux qui se disent être capables de demeurer devant la face de Dieu. Les enseignements sont pour vous, ils ne sont pas contre vous. Vous êtes réunis ici, vous les choisis d'entre les choisis, pour que vous soyez exemples d'obéissance, d'abandon. D'autres qui ne sont pas ici, qui sont avec vous, vivent ce que vous vivez. Ils doivent aussi vivre la même chose que vous : obéissance, abandon. Vous devez vous maintenir, ensemble dans la foi, ensemble. Cessez de vous regarder entre vous et de dire : untel fait ceci, untel fait cela, untel a dit cela, untel a dit autre que cela. Ne voyez-vous donc pas que Satan se sert de vous?
Lorsqu'il n'y a pas de paix, lorsque la joie n'est pas en votre cœur, lorsque vos pensées, votre écoute, votre regard, votre parole, vos actions, vos sentiments ne sont pas plongés dans l'amour du Christ pour Dieu le Père, vous n'êtes pas dans le Cœur de Marie avec tous les enfants de Dieu pour les nourrir, mais pour les empoisonner. Vous devez être une nourriture d'amour, mes enfants. Combien de fois vous avez entendu ma Mère vous dire : «Soyez vigilants. Soyez vigilants. Soyez vigilants. Priez pour ne pas tomber en tentation. Soyez humbles et petits. Satan ne peut pas atteindre les humbles et les petits. Gardez-vous dans la prière. Soyez bons les uns envers les autres. Entraidez-vous. Ne faites pas ombrage autour de vous.» Tout cela, vous l'avez entendu et vous tombez. Oui, mes enfants, vous tombez.
Je vous ai avertis de la souffrance que vous étiez pour vivre. Il est souffrant d'être séparé de ses enfants. Il est souffrant d'être jugé par ses frères et par ses sœurs. Il est souffrant d'être pointé du doigt par les priants. Il est souffrant d'être calomnié par vos propres amis. Je vous ai dit qu'il y a de la joie à marcher sur les pas de Dieu, que la souffrance devient une joie lorsque vous êtes sur le chemin étroit, car la souffrance se change en amour, elle enveloppe les cœurs, elle fait bondir de joie l'enfant, car il sait qu'il est abandon. Il ressent la paix en lui, il se laisse plonger dans l'amour et il avance. Il n'a pas peur le soir malgré ce qu'il voit, malgré ce qu'il entend, car il se sait protégé.
Tout cela, mes enfants, vous le vivez et Dieu ne vous a pas trichés. Dieu vous a dit la vérité. Regardez ce que vous vivez. Demeurez dans votre présent et apercevez que ce que vous êtes devenus, c'est des êtres forts, c'est des êtres qui veulent se donner, qui n'ont pas peur d'être les derniers d'entre les derniers, qui font confiance en Dieu, qui se donnent à la Mère du Fils de Dieu, qui ouvrent leur cœur pour faire pénétrer tous les cœurs et les présenter à l'Immaculée-Conception, la pure Marie. Vous êtes devenus ses enfants. Mais lorsque vous oubliez, vous devenez aveugles et sourds. Lorsque vous entendez votre cri, que vos larmes se mettent à couler, lorsque votre cœur est oppressé, que vous sentez l'angoisse dans tout votre être, vous oubliez, vous oubliez que Satan veut vous barrer le chemin, que Satan fait tout pour vous arrêter de remplir les cœurs de paix, de joie et d'amour par les grâces reçues de Marie et voulues par Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit.
Il est important, mes enfants, que vous entendiez ces paroles, car vous marchez à travers les scorpions, les serpents, et Dieu vous fait toujours avancer malgré les tempêtes, malgré les tremblements de terre. Même les cyclones ne vous arrêtent pas, car ma Mère est la puissante Marie, elle est la Vierge des vierges, elle est Celle qui écrase la tête de Satan avec ses enfants de lumière. C'est elle, petits enfants d'amour, qui vous couvre de sa puissance. Telle une bonne Mère, elle vous donne ce dont vous avez besoin pour avancer. N'ayez pas peur et demeurez fidèles à votre oui. Vous n'êtes pas ici, au pied de la montagne, pour vivre en spectateurs. Vous avez été choisis pour être des acteurs de foi, des acteurs d'amour, des acteurs d'abandon, d'obéissance, car vous êtes dans la vraie vie. Mais vous ne le réalisez pas encore, pas encore, tant que vous aurez dans votre chair les enfants qui ne voient pas, ne comprennent pas l'amour inconditionnel de Dieu pour eux.
Ce temps d'abandon est un temps qui fait pleuvoir sur la terre la miséricorde. Vivez en enfants de miséricorde. Ne vous attachez plus à demain, ne vous attachez plus à hier, mais soyez attachés à votre présent. Un être d'amour est un être qui vit ce qu'il a à vivre, en Jésus, avec les grâces de Marie, car ce temps est voulu du Ciel pour vous et la Mère du Fils de Dieu vous guide. N'est-elle pas l'Étoile qui vous amène à l'arche? Il faut que vous soyez vigilants, mes enfants.
Satan vous fait entendre ce qu'il veut vous faire entendre. Comment pouvez-vous comprendre ce que vous vivez? Vous ne le pouvez pas. Il se sert de ce que vous êtes et il le met devant vous. En mettant devant vous ce que vous êtes à l'intérieur, vous devenez une proie facile pour lui qui veut que ses plans, qui sont de tromper les enfants, soient aussi devant vous. Cela vous arrête, cela vous empêche de vous abandonner, de vivre la paix, la joie et l'amour; ainsi, vous n'êtes plus nourriture. Les enfants qui doivent être nourris pour entrer dans la très Grande Purification de la chair n'auront plus de nourriture de paix, de joie et d'amour. Ce qu'ils reçoivent comme nourriture, c'est de l'incompréhension, c'est de la mutilation. Ne soyez pas les révoltés.
Soyez les enfants de miséricorde, les enfants de miséricorde sont des enfants de foi. Ils croient en ce qu'ils sont sans voir, sans comprendre, sans chercher à savoir ce que demain sera, ne calculant pas le temps pour savoir des dates, ne cherchant pas autre (chose) que vivre au présent, ne remarquant pas sur son prochain ses fautes, mais criant miséricorde lorsqu'il se voit tel qu'il est devant son prochain : un être qui jadis n'a pas su crier miséricorde, mais a su crier vengeance, colère, déception, doute, jalousie, haine, amertume, désobligeance envers Dieu.
Ce que vous êtes au présent, vous l'êtes par mes grâces et non pas par vous-mêmes. Ce que vous êtes au présent, vous qui avez dit : "Je veux, oui, être le dernier d'entre les derniers" ne vient pas de vous, mais de Dieu, que de Dieu. Soyez sur ma mer. Oui, elle est houleuse. Oui, vous avancez sur cette mer alors qu'il n'y a pas de lumière autour de vous, mais cette lumière est en vous. Vous devez avancer en êtres de paix, vous devez avancer en êtres de foi. Un enfant de foi n'a pas à savoir, mais il a à se donner. Il doit faire confiance que Dieu agit avec lui comme il est, tout comme Dieu agit avec un autre comme il est.
Dieu est amour. Je vous ai demandé d'avancer sur ce fil de fer, de ne pas regarder en arrière ni sur les côtés, ni en dessous, ni en dessus, mais d'avancer, afin que vous puissiez vivre ce que vous êtes en ce moment même en train de vivre dans la paix, la joie et l'amour. Lorsque vous êtes paix, joie et amour, où est la fatigue du jour? Le jour devient l'œuvre de Dieu et la nuit devient le repos de Dieu. Tout s'harmonise. La nourriture coule de vous-mêmes à tous les enfants de Dieu pour revenir à vous-mêmes, afin que la journée suivante soit une journée qui alimente l'amour, la paix et la joie. Tout ce que vous entendez, vous l'entendez par ma puissance. C'est Dieu qui met dans votre cœur des grâces d'abandon. N'ayez pas peur. Oui, vous quittez l'esprit de ce monde lentement, mes enfants. Par mes grâces, vous apprenez à quitter un monde agité : par mes grâces.
Je vous vois vous agiter, ici au pied de la montagne, mais je vous calme. Je dis à votre oreille : «Oui, avance, je vais t'aider. Ne recule pas et avance. Ne cours pas, tu vas oublier ton marteau. Ne va pas trop vite, car tu ne verrais pas le temps, tu risques de t'ennuyer lorsque tu vas t'arrêter. Ne pense pas à ce que les autres pensent. Reste avec moi. Je transforme, avec mes grâces, ceux avec qui tu aimerais, quelquefois, être. Sache que c'est moi, Dieu, ce n'est pas toi. Ne pense pas trop vite. Fais ton présent. Écoute ma Mère, elle te dit quoi faire. Tu t'inquiètes pour rien. Le matériel ne compte pas. Tu fais des montagnes avec ce que tu as à faire. Ce mur, il sera bientôt construit. Pourquoi comptes-tu les heures, les minutes? Tu te fatigues et tu n'as plus de force pour continuer ce que le Ciel te demande. Tu dois être un exemple de patience, un exemple de présence, un exemple d'amour, de confiance envers Dieu.
C'est moi qui construis mon monde d'amour, ce n'est pas toi. Tu es mon instrument, fais ce que je te demande. Lorsque je te parle et que tu as dans ton cœur de construire un hangar pour les temps qui viennent, fais-le dans l'abandon. Ne t'inquiète pas. Ce que tu dois vivre, je vais pourvoir à tout. Il sera selon mes plans, pas les tiens. Ne cherche pas à mesurer selon ta tondeuse, selon tes gallons d'essence, donne tout. Moi, je sais ce qui s'en vient, pas toi. Si tu as dans ton cœur de faire des tablettes, monte tes tablettes; mais si tu as dans ton cœur de garnir tes tablettes avec ce que tu as dans ta maison moderne, que feras-tu le jour où je te dirai : «Jette cela»? Tu auras un pincement au cœur. 'Tant d'efforts, il m'en fallut pour amener tout cela ici.' Attention! Je ne te dis pas de ne pas en amener, je te dis : «Prends ce qui t'est nécessaire et pas plus.»
C'est la même chose pour la cuisine. Oh, que les tablettes cherchent à se multiplier afin de tout placer ce qui doit nourrir ceux qui s'en viennent! Comment sais-tu ces choses-là? Je te donne ce dont tu as besoin dans ton cœur. Si tu vas chercher tout cela ailleurs que dans ton cœur, tu ne seras pas prêt le jour où je te dirai : «Maintenant, c'est le temps.» Non, tu ne seras pas prêt, il te manquera l'abandon. Tu auras rempli tes tablettes de confits (de viande), alors qu'aujourd'hui je te demande de les remplir de légumes secs. Si tu as pris toute la place et tout ton temps sur ce qui ne sera pas utile, tu te poseras tant de questions que le temps avancera et toi, où seras-tu? Dans tes questionnements.
C'est moi qui te prépare, c'est moi qui te donne les grâces, c'est moi qui t'apprends, c'est moi qui fais de toi un être de miséricorde. Laisse tout à ton Dieu et vis le présent. Il te faut des grâces pour renoncer à tes habitudes que l'esprit de ce monde t'a fait connaître. C'est en travaillant dans l'abandon, c'est en allant vers ton prochain que tu apprends à être abandon, à te servir de ce qui t'est nécessaire et pas plus. Tu commences un travail et tu ne sais pas comment le compléter; à moi de te le dire au moment où moi, je le veux. Je t'apprends. Tu es sur ma mer, pas sur tes eaux stagnantes. Moi, je suis mouvement d'amour et je te donne ce dont tu as besoin. Si tu fais tes plans, un jour, tes plans tomberont, car ils ne seront pas faits d'abandon, de patience, ils ne seront pas faits d'obéissance à ton Dieu.
Toi qui entends ces paroles, c'est pour toi que je parle. Tu as ton caractère et ce caractère est celui de mon Père, car tu ne peux être que si tu es enfant de mon Père. À cause de l'esprit de ce monde, ton caractère a pris des formes étrangères et c'est avec cela que moi, ton Dieu, je suis venu te chercher et que je t'ai amené ici. Oui, les bâtisses sont importantes, mais si peu en comparaison à ce que tu es en train de devenir : un être de miséricorde, un être d'abandon, un être de foi, un être de persévérance, un être vrai, un être qui sait que Dieu est tout et que toi tu n'es rien. Tu es fait d'amour, tu n'es pas fait pour régenter ta vie. N'aie donc pas peur.
Oui, Satan va s'acharner à te faire tomber. Oui, Satan va s'acharner à mettre des bâtons dans les roues afin de t'arrêter. Il va s'acharner, mais toi, que feras-tu? Tu t'abandonneras. Il ne pourra rien contre toi. Il aura beau essayer, il aura beau recommencer et recommencer, il ne réussira pas, car je veille à ce que toi, tu sois toujours devant moi, ton Dieu. Je ne détourne pas mon regard de toi, car tu m'as donné ton oui. Oui, je te mets à l'épreuve en laissant Satan et ses démons te tenter. Plus ils te tentent, plus tu refuses, plus tu résistes, plus tu te tiens debout et plus tu es fort; et plus tu es fort, plus tu me donnes ce que j'attends de toi : de l'amour, de la fidélité. Tout se transforme en grâces et ma Mère présente ces grâces à l'Être que je suis et elle y met tout son Cœur. Elle est la Reine des Cœurs pour que tu reçoives encore et encore des grâces afin que tu puisses continuer. Vais-je donc arrêter ce mouvement de splendeur?
Vous, enfants d'amour, qui vivez de guerre en guerre, de guerre en guerre, combien de fois avez-vous dit : 'Si j'étais un magicien et que j'avais le pouvoir, j'arrêterais les guerres. Il n'y aurait plus de pauvres. Je serais riche et je multiplierais les moyens d'aider les pauvres.' Combien, mes enfants, ont eu des armes entre leurs mains? Pouvez-vous imaginer le pouvoir des armements? Ces armements, ensemble, réussiraient à tuer et non pas à apporter la paix, le bonheur, l'égalité entre les enfants de Dieu. Pouvez-vous vous imaginer, enfants d'amour, ce que vous, si vous étiez moi, si vous aviez entre vos mains le monde, ce que vous feriez pour arriver à apporter la paix dans les cœurs? Il n'y a que Dieu qui puisse apporter la paix en ce monde, il n'y a que Dieu. Et mon plan, mes enfants, est divin; alors, ne me dites pas quoi faire. Tel est mon amen. Je vous aime, mes enfants.
Satan va encore s'acharner à vous arrêter et vous me donnerez. Vous qui êtes enfants de lumière, comprenez que lorsque vous êtes ensemble amour, vous devenez une arme si puissante entre les mains de ma Mère, une arme si puissante, mes enfants, qu'au seul nom de Marie, tout mal s'arrête. Apprenez à demeurer ensemble, apprenez à vivre ensemble. Oui, vous êtes un tout petit groupe comme, de par le monde, il y a des tout petits groupes, mais il en faut si peu, si peu pour contrecarrer les plans de Satan, car vous devenez obéissants, abandon entre les mains de Marie qui écrase la tête de Satan. L'Église est vous, mes enfants. Soyez forts.
Vous avez des douleurs, mes enfants, physiques? Puis-je vous demander, mes enfants, si vos pensées ont été pures, aussi pures que le Cœur de ma Mère? Eh bien, vous vivez dans ce que moi, je vous avais prévenus. Je vous aime. Soyez amour. Ne parlez pas de vos mauvaises conduites sans demander des grâces à Marie. En demandant des grâces à ma Mère, elle prend vos paroles et elle les enveloppe de son amour, et une fois qu'elles sont enveloppées de son amour, vous êtes protégés de Satan et des démons. Voyez-vous que cela est important? Il est bon, mes enfants, le travail. Je vous le demande : avancez, mais il est bon aussi de vous arrêter pour la prière. Faites ce que vous avez à faire. Vous le recevez à chaque matin. Travaillez dans la joie. Faites confiance en Dieu. Dieu vous aime tant. Maintenant, mes enfants, prions ensemble, cette prière que mon Père vous a donnée par moi, le Fils.
Notre Père... Je vous salue Marie… Gloire soit au Père…
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On est ici parce que c'est la Vierge Marie qui nous a amenés ici. Beaucoup se demandent : "Qu'est-ce qu'on est venu faire ici? Pourquoi on n'a pas pu demeurer chez nous, à la maison?" Eh bien, si vous vous posez ces questions, prenez vos valises puis retournez chez vous. Quand on manque de foi ainsi envers Maman Marie, c'est qu'on ne mérite plus de marcher à côté d'elle. C'est la Vierge Marie qui nous a amenés ici, personne d'autre, personne d'autre.
Nous avons tous été choisis par le Ciel. Nous avons eu tous des manifestations. Levez la main ceux qui n'ont pas eu de manifestations du Ciel. Le Ciel nous a tous choisis. Nous avons vu l'agir de Dieu. Nous avons vu notre Mère du Ciel nous montrer ce que nous devons être. Certains disent : "Je n'ai plus rien." Eh bien, marche dans la foi. Certains disent : "Je ne comprends pas." Eh bien, abandonne-toi. Certains disent : "C'est difficile." Eh bien, sois obéissant et continue, car on est sur le bon chemin. Ces difficultés-là, on les vit et on va encore les vivre, mais ayons dans le cœur de vivre la vérité, et la vérité, c'est ce que nous sommes devenus. On avait peur, on a moins peur. On a parlé que les églises se vidaient, eh bien, on a commencé à remplir une église. On a vu des personnes qui calomniaient l'Église, puis on en voit encore, et nous, on est obéissants à l'Église, qu'importe comment est l'Église. Mais tout ça, c'est des grâces.
Oui, c'est vrai, on annonce la Grande Purification de la chair, mais comme notre bon Père, ce matin, disait à la messe : "On ne connaît pas le temps." Saint Paul l'a dit il y a deux mille ans, puis on attend encore. Eh bien, qui d'entre nous peut nier que le Seigneur nous parle, qu'il parle dans notre cœur? Ça fait des mois, des années que le Seigneur nous parle dans notre cœur, eh bien, cela nous a transformés. Il fallait que ça soit ainsi parce que personne n'aurait bougé; on aurait entendu, mais on n'aurait pas bougé. Il a fallu qu'on reçoive des grâces pour qu'on vienne, par obéissance, ici. C'est le Ciel qui nous a amenés, ce n'est pas la Fille du Oui à Jésus, c'est le Ciel. Ce n’est pas ce micro-là, ni ces lunettes-là, c'est le Ciel.
C'est envers le Ciel que nous devons avoir confiance. J'ai autant de défauts que vous et vous le savez, vous vivez avec moi. Je parle haut, je parle bas, je bégaie, je me trompe de nom. J'ai mes défauts et je les reconnais. Oui, je manque d'abandon et je le sais, parce que le Seigneur me le donne à tous les jours : «Je te donne des grâces d'abandon.» Bien, s'il me donne des grâces d'abandon, c'est parce que j'en ai besoin. Eh bien, merci de m'en donner et merci de faire de moi un être qui a toujours besoin, besoin de lui. Comme ça, bien, vous allez aller plus vers Jésus que vers moi. Ce n’est pas moi qui es importante. Ne me prenez pas pour un dieu : elle a dit ci, elle a dit ça; elle n'a pas dit ci, elle n'a pas dit ça. Attention! Francine est là de temps en temps, hein? Même, quelquefois, c'est le Seigneur qui parle. Est-ce que je comprends ce que le Seigneur veut dire, moi? Je vous le répète et c'est tout! Vous autres aussi, vous ne le comprenez pas. C'est-tu important? Ce qui est important, c'est de vivre au présent ce qu'on ressent à l'intérieur. Ce qu'on ressent à l'intérieur, et c'est là notre parole, ce n'est pas à l'extérieur, c'est à l'intérieur. Il ne faut pas se tromper parce que si on se trompe, eh bien là, on doute. On doute de qui? Pas de la Fille du Oui à Jésus, pardon! Pas de la Fille du Oui à Jésus, je doute de moi, je doute de ce que le Seigneur a fait de moi!
On a beau entendre les paroles et dire : ah, elle a dit ci, puis un autre a dit ci, puis un autre a dit ça. D'où as-tu entendu ça? De tes oreilles? Que cela soit. Où cela a entré? En toi? Que cela soit. Comment es-tu, en toi, pour percevoir ces paroles? Que cela soit. Comment peux-tu les partager à un autre? Que cela soit. Car ces paroles maintenant t'appartiennent, elles n'appartiennent plus à la Fille du Oui qui les a entendues de Dieu, mais elles t'ont été données par Dieu. Maintenant, que vas-tu en faire? Les transposer? Oui, tu vas les transposer avec ce que tu es, toi. Tu vas les mettre devant toi selon ce que tu es toi-même. Si tu es abandon, obéissance, amour, eh bien, ces paroles seront des paroles de lumière, mais si tu es enfant de doute, si tu es enfant de manque de foi, si tu ne t'abandonnes pas, si tu manques de l'amour envers Dieu, envers toi-même, tu en manqueras envers ton prochain; alors, tes paroles te donneront ce que toi, tu es : ta propre nourriture, ta propre nourriture. Car Jésus as dit : «Tu te mangeras.» Se manger veut dire : nourris-toi de ce que tu es. Voilà ce que le Seigneur dit.
On parle d'un prophète, on parle d'un autre; un prophète parle d'illumination des consciences, un autre parle de la très Grande Purification de la chair; un autre parle de la Croix de Dozulé; un autre parle de signes, un autre parle de châtiments : que cela soit. Mais qui es-tu, toi, pour comprendre les messages du Ciel? Tu les comprendras que si le Saint-Esprit te les fait comprendre selon ce que toi, tu es pour toi-même. Cela ne dépend plus de qui tu l'as entendu, cela dépend de toi. Alors, lorsque tu ouvres ta bouche, attention! Voici ta nourriture pour toi-même. Alors, demandons des grâces à Marie, nous en avons besoin.
Ce que le Seigneur nous fait comprendre, c'est que lorsque nous parlons, nous pouvons parler avec l'esprit de ce monde ou nous pouvons parler avec l'Esprit de Dieu. Est-ce que l'Esprit de Dieu serait défaillant? Est-ce qu'il manquerait de foi? Est-ce qu'il manquerait de puissance? Alors, l'Esprit de Dieu est assez puissant pour tout transformer ça en lumière, afin que notre cœur soit enveloppé des grâces d'amour. Ne sommes-nous donc pas la Trinité? Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, qui ne font qu'un, ont créé des enfants qui ne font qu'un, et ces enfants ne peuvent pas se séparer de ce qu'ils sont : amour de la Trinité. Nous sommes des dérivés de la Trinité. Alors, ayons un esprit de Dieu.
Si nous sommes dans les interrogations, eh bien, nous sommes dans l'esprit de ce monde. Dieu n'a pas à s'interroger, il connaît toutes les réponses et il les a mises en nous, mais nous allons les découvrir que par l'abandon, car le Saint-Esprit nous les fera entendre et comprendre. Telle est notre propre nourriture. Alors, nous devenons des enfants de l'Esprit Saint. Il ne nous manque rien. Alors, la très Grande Purification de la chair arrivera au moment où Dieu le Père le voudra. Nous sommes dans un temps d'abandon. Allons-nous le vivre ce temps? Soyons notre propre nourriture. Nous sommes enfants de miséricorde. Le croyons-nous? (R : Oui.) Soyons notre propre nourriture.
Il n'est pas évident, hein, on a chacun nos caractères. Ça va, toi, vous êtes en couple, ok, ça va. Mais ceux qui sont entrés, hein, avec d'autres qui ne sont pas en couple, là, et que ça fait des années qu'ils vivent dans leur appartement, oh qu'il y a des frictions, hein, Pierrette et Lucille? Aujourd'hui, nous l'avons vécu. Nous avons vécu quelque chose de très difficile aujourd'hui! Nous avons découvert que nous étions une nourriture qui ne se tenait pas debout, qui ne nourrissait pas les enfants de Dieu : moi, mon manque d'abandon. Le Seigneur, il dit : «Abandonne-toi, ma fille, je veux de l'abandon de toi.» Un autre manque d'amour envers soi-même : "J'suis pas capable." Je ne dirai pas les mots qu'elle a dits envers elle-même, c'est trop dur à entendre, et l'autre qui pleure. Eh bien, Satan attaque. Mais on va continuer ensemble, on va le faire ensemble. Certains reçoivent des amis à la maison. C'est pas toujours évident, hein? Les couples âgés avec des couples jeunes, c'est pas tout à fait évident parfois! C'est amusant, mais, parfois, on aimerait-tu notre intimité un peu? Mais le Seigneur nous met là pour que nous, on puisse être une nourriture pour ceux qui ne sont pas encore là, mais qui devront être là. Voilà notre mission.
Ce matin, le Seigneur, il disait : «Oui, j'ai choisi les pires.» Les caractères sont différents. Avez-vous remarqué qu'on est tous différents? On est tous différents en ce moment même, hein? Et pourtant, il nous a choisis. Eh bien, il a dit : «Comme ça, bien, vous serez capables d'aider les autres.» Un alcoolique qui a connu la boisson et qui est sevré peut aider un autre alcoolique. Un voleur qui a passé tant de temps en prison, et qui en est sorti et qui ne vole plus, saura quoi dire à un voleur. Eh bien, nous, il nous fait vivre avec ce que nous sommes, puis là, il nous montre notre caractère : il nous aiguise! Il permet au démon de nous mettre à l'épreuve. Il le permet. Pourquoi? Parce qu'il nous aime, Jésus, hein? Il nous aime, Jésus!
Plus nous disons non au démon, eh bien, plus on est de plus en plus fort. Il se retrouve au pied de la Croix, mais quand ça fait – on ne peut pas les compter, là – durant seulement qu'une heure, là on est essoufflé, en colère. Pour certains, là, on voit noir, la voix monte; alors là, on commence à se connaître; là, on commence à voir qui on est. Et plus cela se fait et plus les marques en nous ressortent. Il faut les faire sortir pour les connaître. Qui les a mis en nous? Qui les a mis en nous? (R : Satan.) Satan a réussi à les faire entrer en nous. C'est lui. Alors là, on a accepté, maintenant il faut accepter l'inverse. Comme on a accepté que Satan les fasse entrer en nous, maintenant on va accepter que Dieu nous les fasse voir, vivre, pour comprendre. Voilà pourquoi il y a tant d'attaques. Avez-vous des attaques des démons? (R : Oui.) Il y en a qui en ont… Il y a toutes sortes d'attaques, toutes sortes. Les plus difficiles, ce sont les attaques d'amour.
Q. Peut-on avoir un exemple?
Jésus : Un jour, un enfant s'en va faire une commission. Il passe devant une vitrine et il y voit une belle pomme. Avant d'entrer, il s'assure qu'il a dans ses poches l'argent pour acheter la pomme. Il entre. On entend une petite clochette : personne ne vient. Il fait du bruit : personne ne vient. Il se met à tousser : personne ne vient. Alors là, il se dit : "Bien, il va manquer une vente!" Et lorsque l'être voit que la pomme est à sa disposition, il se demande : "Ouais, est-ce que je vais prendre la pomme et sortir? Je viendrai lui redonner son argent, ou est-ce que je vais prendre la pomme et déposer mon argent sur le comptoir?" Enfants d'amour, qu'auriez-vous fait?
Q. Quelle est la bonne réponse?
Jésus : Tout ce qui nourrit la paix, la joie et l'amour est la bonne réponse. Avant de parler, avez-vous ressenti la paix, la joie et l'amour? Alors, voyez-vous, mes enfants, Satan a réussi, à cet instant même, à vous faire comprendre qu'il est le maître de votre réflexion. Vous ne vous êtes pas aperçus que ce qui était avec vous était quelque chose qu'on ne pouvait pas répondre? Pourquoi on n'était pas capables de répondre? Parce que vous n'y étiez pas, vous n'y étiez pas! Comment pouvez-vous répondre à une situation que vous ne vivez pas? Vous avez participé à l'histoire, vous vous êtes amusés. Vous avez dit qu'on va donner l'argent et qu'on va sortir. Vous avez dit : 'Je vais crier.' Vous avez trouvé, chacun de vous, des petites solutions. Satan est ainsi. Satan vous met dans des situations que vous vivez, alors que vous n'êtes même pas concernés. Lorsque vous prenez une décision sur ce que vous ne vivez pas, comment pouvez-vous répondre à l'appel de Dieu? Vous n'y êtes même pas.
Vous avez peur que la Grande Purification n'arrive pas. Vous avez peur que cela ne soit qu'hypothèse. Vous avez peur qu'on vous ait monté une arnaque. Vous avez peur que les paroles que vous entendiez ne soient pas exactes comme les autres. Voilà que Satan prend ces situations-là et il les transforme comme lui le veut, et pourtant, vous n'avez rien vu. Vous trouvez cela normal, vous trouvez cela naturel, alors que vous ne vivez même pas ces situations-là. Vous êtes toujours dans votre imagination, vous êtes toujours dans l'esprit de ce monde. Vous faites votre chapelet, et une fois que le chapelet est terminé, vous recommencez, et lorsque vous recommencez et que vous recommencez et que vous recommencez, à un moment donné, vous vous demandez : 'Pourquoi est-ce que je continuerais? J'en fais peut-être trop.'
Maintenant, une autre situation : 'Je vais manger, et lorsque j'aurai terminé j'irai me promener, et lorsque j'irai me promener, je rencontrerai une telle personne, et lorsque je rencontrerai cette personne, je lui dirai ce qui s'est passé. Et ce qui s'est passé, je m'en souviens, même si je n'y étais pas, je vais répéter les paroles.' Mauvaise situation dans laquelle vous vous mettez. Tout, pour Satan, est objet de tromperie, tout, mes enfants. C'est lui la tromperie. Il peut faire de ce que vous faites ce que lui veut que vous fassiez : tromper votre moi, et une fois que votre moi est dans ce qu'il n'est pas, vous tombez dans le piège.
Maintenant que vous n'avez rien compris, je vais vous expliquer encore. Vous vivez des situations, mes enfants, chacun chez vous, chacun ici dans vos refuges. Et les situations dans lesquelles vous n'êtes pas et que vous aimez bien parler peuvent servir Satan. Ce que l'on parle et ce que l'on fait doivent être toujours au présent devant Dieu, et devant Dieu, c'est vérité. Mais lorsque vous n'êtes pas dans la situation, et lorsque ce qu'on a fait vous n'y étiez pas, ce que vous devenez, pour la personne qui écoute, est quelque chose de faux. Vous parlez inutilement et Satan s'en sert. Il met dans l'autre personne qui écoute quelque chose qui le trouble, et lorsqu'il entend vos paroles qui répètent ce que vous n'avez pas fait, ce que vous n'avez pas dit, ce que Satan fait, il le transforme et tout devient souffrance. Ça ne se voit pas. Vous ne voulez pas conter de mensonge et pourtant lui, il s'en sert. Il se sert de la situation pour tourmenter, il se sert de la situation pour tromper sans que vous le réalisiez.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu'on entend des paroles et que ces paroles sont répétées, bien souvent, les paroles répétées, c'est comme lorsqu'on joue au téléphone : elles prennent une allure de présence, mais ce n'est pas les paroles exactes. Mais selon ce que tu es, les paroles deviennent pour toi quelque chose de vivant : ça peut t'aider comme ça ne peut pas t'aider. Au moment où tu t'aperçois que cela n’est pas les paroles qui nourrissent ton intérieur, tu exploses. 'Qui a fait ça?' Tu n'y étais pas. Il s'est servi de ce que tu n'y étais pas pour te mettre dans la souffrance.
On est tous fragiles à ça, tous fragiles, tout le monde est fragile à ça. Voilà ce qu'est de répéter les messages de l'un et de l'autre, voilà ce qu'est répéter les paroles des uns et des autres. Satan, il sait très bien se servir de ça. Et pourtant, on veut le bien, on ne veut pas le mal. Il prend du bien que nous on veut faire, puis il s'en sert. Alors, le Seigneur, hier, il a dit : «Silence.» Le Seigneur aime aussi le silence. Il s'est gardé lui-même dans le silence. Il faut le faire souvent ça, mais on ne garde pas souvent le silence dans notre tête, dans notre cœur. On a l'esprit de ce monde avec nous, il faut faire attention. On s'attaque les uns les autres, pourtant on s'aime. On vit ici des situations qu'on ne vit pas dans le monde. On doit être obéissants, abandon. Il faut se tenir ensemble.
Satan va tout faire pour qu'on doute des messages, des enseignements que nous recevons. Il va tout faire. Alors, soyons vigilants, très vigilants. Mais être vigilants, c'est être petits. Faut pas sortir de là! Si on sort de ça, de cette humilité, de cet abandon, bien là, on grandit, on devient musclés, on devient forts, alors là, on se perd. Il faut continuer. On est ensemble, alors on va continuer.