Enseignement par le biais de la « fille du OUI à Jésus - 11-11-2004
Du blog : A tous les enfants du monde sans exception.
Nous devons donner notre Oui au Seigneur :
«Jésus, prends-moi, je t’appartiens depuis ma naissance. Fais de moi un être comme toi, amoureux de l’amour. Ton amour est plus beau que tout. »
… afin de ne plus aller en aveugles spirituels à guider d’autres aveugles …
Nous devons-donc apprendre à mieux nous connaître en Christ !
Aujourd’hui, j’ai été amené à revoir des enseignements d’années antérieures, et vous convie à prendre la route ensemble comme d’habitude ….
Nous l’avions déjà commencé en 2010 :
Enseignement par le biais de la « fille du OUI à Jésus » -vol IV – Ch 242
… mais il était tentant de voir des messages plus récents, or dans le domaine spirituel, un enseignement céleste antérieur garde toute sa valeur et aide à mieux comprendre notre quotidien …
Nous ne pourrons pas tout voir, mais nous allons tacher de pallier au mieux notre inculture qui réjouit l’ennemi !
Le texte est long, mais les séparations le scindent en 4 et le texte suivant ne sera pas donné avant l'écoulement de ce laps de jours.
Rencontre avec l’agir de Dieu à Winnipeg (Manitoba)
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.
2004-11-11 – P.M.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tant que le mal existera sur la terre, Jésus va poursuivre sa Passion; Jésus veut que nous soyons totalement libérés du mal en notre âme, en notre chair; Jésus a vaincu le mal, à nous maintenant d’accepter que Jésus a vaincu le mal pour nous.
Lorsque nous allons à la confesse, nous acceptons de nous reconnaître pécheurs, alors nous acceptons notre rédemption et nous devons aller plus loin que cela; maintenant, nous devons accepter que Jésus purifie notre chair, nous devons accepter de voir tous nos péchés sur la terre, nous devons accepter de voir les conséquences de tous nos péchés sur la terre.
Beaucoup sont morts et ont dû quitter la terre pour aller au purgatoire, ils ont vu leur vie; ils ont vu leurs péchés, ils ont vu les conséquences de leurs péchés et ils ont accepté par amour pour Dieu d’aller au purgatoire dans un feu d’amour.
Eux souffrent, leurs souffrances à eux sont plus grandes que tout ce que nous pouvons imaginer parce que eux connaissent l’Amour; lorsque nous, nous pensons à leurs souffrances, nous ne pouvons pas imaginer ce qu’ils souffrent parce que nous, nous ne connaissons pas encore l'amour de Dieu;
nous pouvons penser que Dieu nous aime, ça on le sait, ça on le croit, mais on ne peut penser à son amour qu’avec ce que nous sommes;
c’est avec l’être de chair qui est dans le péché que nous pouvons aimer Jésus, c’est comme si on regardait un objet précieux à travers de l’eau embrouillée : nous savons que cet objet est beau, nous savons que cet objet est d’une pureté, mais nous ne pouvons pas le contempler; nous ne pouvons pas admirer cet objet parce que nous ne le voyons pas en état (pur) de la pureté.
L’état (pur) de la pureté en nous nous est inconnu encore, c’est avec cet état que nous vivons sur la terre.
Nous vivons en êtres (imparfaits) sur la terre.
Notre âme à l’intérieur de nous, elle peut nous aider à vivre sur la terre en êtres d’amour : voilà pourquoi Jésus est mort sur la Croix, il a donné sa Vie afin de nous nourrir de sa propre Vie.
À chaque fois que nous prenons le Corps et le Sang de Jésus, notre âme, elle, reçoit des grâces d’amour; elle est nourrie du Corps et du Sang et nous, par ce fait, nous recevons le Sang de Jésus, le Corps de Jésus, en nous.
En nous est la Présence de Dieu, mais en nous, nous avons tellement connu ce qu’est le péché que nous ne pouvons pas profiter de la splendeur de l’amour de Dieu en nous.
Il y a tant de mauvaises actions que nous avons vues, il y a tant de mauvaises paroles (que nous avons entendues), nous les avons laissé entrer en nous.
Si on pouvait voir toutes les fois que notre chair s’est laissé fouetter par le péché, on serait marqué de partout à l’intérieur de nous.
Nous sommes devenus comme inactifs devant le péché, il fait partie de notre vie et nous, nous en sommes habitués, il est devenu un compagnon de vie.
Jésus m’a montré le péché.
Un jour, j’ai vu à l’intérieur de moi ce qui se passait : il y avait une pièce, j’étais dans cette pièce et il y avait plusieurs enfants -lorsque je dis ‘enfants’, c’est parce que Jésus dit que je suis une enfant de Dieu, alors l’Esprit de Dieu dit enfants - ; soudain un être est rentré dans la pièce, il était grand, très large, très fort et il n’avait pas un beau visage; sa voix était forte, elle était froide et il y avait beaucoup de domination et de pouvoir qui se dégageaient de cette personne; lorsqu’on le regardait, on pouvait s’apercevoir que ce n‘était pas une personne, que c’était le mal, mais les autres ne le voyaient pas : ils avaient peur, sa voix faisait peur, sa domination faisait trembler.
Il s’est installé dans la pièce, à chaque jour il prenait de la place; il dominait ces enfants et eux autres commençaient à s’habituer à cette présence; alors ils ont commencé, eux, à fonctionner dans cette pièce avec lui comme s'il faisait partie d’eux maintenant.
Cet être avait de l’influence sur eux, ils écoutaient ce qu’il disait; maintenant cette colère, cette haine, cette domination, devenaient pour eux naturel, c’est comme s’ils ne l’entendaient plus de la même façon qu’en premier : il faisait partie maintenant du cercle de leurs amis.
J’ai dit : "Il faut qu’il sorte d’ici, il ne faut pas qu’il demeure ici dans cette pièce, il faut le jeter dehors"; mais eux n’ont pas voulu, ils disaient que cela était, de ma part, quelque chose d’étrange; c’était moi qui était devenue comme une étrangère, comme quelqu’un qui était indésirable parmi eux, parce que je leur disais que ce qu’ils disaient n’était pas bien, ce qu’ils faisaient n’était pas bien alors pour eux, c’était inacceptable.
Lorsque je suis revenue à moi, j’ai dit à Jésus, qu’est-ce que tu m’as fait voir? Il a dit : «Je t’ai fait voir le mal; le mal a pénétré mes enfants, le mal fait partie de leur vie et il est devenu leur ami. Ils ont accepté de ne plus voir ni d’entendre, ils se sont éloignés des lois de mon Père et ils ne veulent plus entendre parler de mes enseignements d’amour.» Il a dit : «La peur régente leur vie».
Il est plus facile de vivre avec la peur que de regarder en face de nous la peur.
Notre purification, c’est d’accepter de voir et d’entendre la Volonté de Dieu, mais cela ne peut pas se faire sans renoncement.
Dans un premier temps, il faut accepter de savoir que le mal nous habite, qu’il fait partie de notre vie; (dans un deuxième temps) il faut savoir que nous sommes tous des pécheurs et à cause de cela, nous avons beaucoup de faiblesses en nous; (dans un troisième temps), nous devons accepter l’aide de Dieu.
En ce monde, il est difficile d’accepter l’aide de Dieu parce qu’on ne veut plus retourner en arrière : avant nos parents priaient, ils disaient le chapelet avec les enfants à tous les jours à la maison; la pratique des sacrements était faite dans l’harmonie; ils parlaient de Dieu dans la maison, ils disaient : "Si tu fais une telle action, ça va déplaire à Dieu"; avant, on n’avait pas peur d’afficher l’appartenance à Dieu avec le mari et les enfants; on avait confiance à l’Église, on avait confiance aux prêtres;
aujourd’hui tout a basculé, on ne prie plus à la maison, on ne parle plus de Dieu, on ne veut plus aller vers les sacrements,
on ne respecte plus l’Église, on juge les prêtres : nous sommes des êtres athées malgré que nous croyons voir et entendre;
Dieu dit que si en ce moment il revenait, il ne trouverait pas beaucoup d’enfants qui croient, qui aiment son prochain comme lui nous a aimés.
Depuis quelque temps, la Vierge Marie vient visiter la terre; depuis quelque temps, beaucoup de grâces nous sont accordées : il y en a qui ont accepté la purification de la chair.
Nous avons tous accepté que Jésus purifie notre âme : lorsque nous allons à la confesse, notre âme reçoit des grâces sanctifiantes, mais parce que notre chair connaît le péché, nous tombons toujours dans le péché; si Jésus était revenu il y a quelque temps, il n’aurait pas trouvé une seule personne en état de grâces; il a fallu que des personnes se laissent purifier en la chair parce que l’apostasie était sur toute la surface de la terre, Dieu a regardé à l’intérieur et il a trouvé des petites âmes.
Il fallait qu’une âme se donne totalement et porte tous les péchés de tous les enfants du monde; il fallait qu’une âme se laisse purifier en son âme et en sa chair, et cette âme, cet être d’amour est à la tête de l’Église, c’est notre Pape.
Notre Pape a accepté toutes les souffrances, les humiliations; il a accepté de se faire bafouer par beaucoup d’enfants du monde; il a accepté tous les péchés passés de toute son Église et non seulement de son Église, mais de tous les enfants de Dieu, de toutes langues, de toutes nations et de toutes religions : notre saint Père le Pape a tout porté.
Il fallait qu’une personne vive ce que Jésus avait vécu en être humain.
Notre saint Père n’est pas Dieu, mais il est le représentant de Dieu sur la terre en tant que fils choisi de Dieu le Père; il fallait que notre saint Père passe par la Croix, alors il nous a ouvert un mouvement d’amour qui est la purification de la chair; il fallait qu’il nous amène là où nous, nous pouvions aller : voilà pourquoi Dieu nous parle de la purification de la chair parce que c’est le temps maintenant.
D’autres ont suivi les pas de notre saint Père : il faut tout accepter, il faut se laisser entre les mains de Jésus afin que nous puissions comprendre ce que Dieu attend de nous.
Souvenons-nous que le mal est en nous et qu’il a pris une place importante en nous : nous avons vécu avec le mal et aujourd’hui nous ne voyons le mal que s’il est devant nous.
Mais le mal, lui, ne veut pas se laisser voir devant nous comme étant le mal : il déguise ce qu’il est, il prend des allures, il prend des façons qui nous sont difficiles à comprendre.
Quelquefois, on peut entendre des paroles et on croit que cela est bon alors que cela est contre notre âme; c’est la même chose pour les actions, on croit que cela est bon pour notre âme alors que ça fait le jeu de Satan.
Le mal en nous est contre nous : le mal en nous a pris une place si importante qu’il a étouffé le bien en nous.
Tranquillement, avec les grâces de Dieu, nous commençons à accepter ce qu’il (Dieu) met devant nous.
Sans les grâces de Dieu, nous ne pourrions pas accepter cela, on le rejetterait parce que le mal en nous a fait de nous des êtres habitués à sa présence.
Rappelons-nous que nos grands-parents ont prié et ils ont fait prier nos parents, et eux étaient habités du mal; eux essayaient de toujours se comporter dans le bien, pourtant, eux aussi ont fait le péché, eux aussi ont contribué à augmenter le mal en eux; nous n’avons qu’à regarder ce qui s’est passé : guerre sur guerre, épidémie sur épidémie, il y a eu des violations, des haines.
Depuis que le monde est monde, le mal a été en eux : le mal a fait des êtres de Dieu des êtres sans amour; mais ceux qui ont cru en Dieu et ceux qui ont continué à prier, ceux qui ont voulu être de bons enfants de Dieu, eux ont avancé devant la face de Dieu, eux nous ont aidés à être ce que nous allons être.
Le mérite ne sera pas dû à nous, mais à Jésus.
À chaque fois qu’ils ont prié, à chaque fois qu’ils ont fait une bonne action, c’est parce que Jésus les nourrissait de sa Vie à lui; eux acceptaient les grâces de Dieu, eux se laissaient nourrir de l’amour de Dieu et nous qui étions en eux par Jésus, on en a profité de ces grâces.
Sans les grâces de Dieu, nous ne serions même plus de ce monde, on se serait autodétruit; Dieu nous tient vivants par ses grâces, nous devons maintenant avancer là où Dieu le Père le veut.
On a parlé d’un temps d’amour, on a parlé d’un règne de Dieu, on a dit que Jésus était vivant et que le règne de Dieu est en nous; maintenant, nous allons vivre comme Dieu le Père le veut, nous allons faire sa Volonté sur la terre comme au Ciel.
Les saints au Ciel vivent en Jésus, ils font tout en Jésus parce qu’ils sont des êtres d’amour parfaits et purs en Jésus; ils font la Volonté de Dieu parce qu’ils sont en la Volonté de Dieu.
Nous, nous sommes appelés à faire la Volonté de Dieu en êtres parfaits en Jésus.
Jésus est en nous, il règne en nous, alors nous devons à notre tour accepter son règne; nous devons cesser de refuser ses grâces, nous devons cesser de refuser l’amour parfait : le bonheur sur la terre.
Si nous avons refusé cela, c’est parce que nous étions ignorants jusqu’à ce jour de ce que le mal a fait de nous; nous ne pouvions pas voir, nous ne pouvions pas entendre parce que cela n’était pas prêt pour nous; il fallait qu’on accumule des grâces et il fallait que nous puissions nous laisser plonger dans un mouvement d’amour.
Si cela nous avait été présenté il y plus de 50 ou 60 ans, on aurait dit non parce que nous n’étions pas prêts.
Dieu le Père est en nous : là où est le Fils, Dieu le Père est.
Lorsque Jésus est monté vers son Père, il a dit : «Je vous envoie l’Esprit d’amour, le Saint-Esprit, et je vais être avec vous à tous les jours» : c’est par la puissance du Saint-Esprit que nous sommes habités de Jésus.
Jésus est vivant et Jésus fait partie de notre vie et il se donne à nous en sa Chair et son Sang.
Lorsque nous voyons Jésus devant nos yeux, lorsque nous voyons sa Chair et son Sang devant nos yeux, cela se fait par la puissance de l’amour de Dieu : devant la Trinité nous sommes.
À l’intérieur de nous Jésus vit en nous, il vit dans tous les enfants du monde entier, pas seulement que (dans) les catholiques parce que Jésus est; Jésus est la Présence, il s’est donné sur la Croix pour tous les enfants du monde croyants et non-croyants, il s’est donné pour le plus grand des pécheurs, et le plus grand des pécheurs, c’est l’enfant qui est le plus loin de Dieu : il s’est donné pour racheter tous ses péchés.
Personne n’a été oublié parce que Dieu n’oublie personne puisqu’il habite en tous les enfants de Dieu.
Nous sommes le temple de Dieu, mais ce temple est pourri.
Si nous sentions ce que nous sommes en nous, si nous pouvions voir toute cette saleté qu’il y a en nous, nous aurions si peur, on fuirait ce temple.
Mais Jésus est présent en nous, Jésus nous aime, Jésus nous accepte tels que nous sommes; il nourrit notre âme et lorsqu’il nourrit notre âme, nous devenons à l’intérieur de nous tout lumineux; comme Jésus nous aime, il regarde notre âme; il ne regarde pas le temple qui ne sent pas bon et qui est tout sale, il regarde ce qu’est notre âme parce qu’il l’aime; notre âme, il l’aime au-dessus de tout.
Notre chair est de Dieu le Père.
Nous avons été créés et nous avons le souffle de Dieu le Père en nous et, par ce fait, Dieu le Fils nous aime : voilà pourquoi il tient à ce que nous soyons purifiés en notre chair.
Jésus, Dieu le Fils, a reçu de Dieu le Père un temple d’amour lui aussi; il est venu sur la terre en prenant chair : il était Dieu, il était homme.
Avant que tout être humain prenne chair, Jésus a vu sa chair; il a été en sa chair parce qu’il fallait que le Fils de Dieu soit le premier à entrer en sa chair.
Voilà pourquoi Jésus veut que nous aussi nous aimions notre chair avec son Être d’amour, pas avec ce que nous sommes en ce moment.
En ce moment, notre volonté humaine est habitée par le mal : nous avons fait souffrir notre chair à cause de la volonté humaine, alors Jésus veut rendre notre temple pur, il veut nous redonner un corps renouvelé par sa Chair, par son Sang.
Tant qu’un seul sera dans sa volonté humaine, la Passion de Jésus sera.
Il connaît tous ceux qui portent un oui en eux et il connaît tous ceux qui, en ce moment, diraient non à Jésus; tant que ce dernier qui restera ne prononcera pas son oui, Jésus ne se montrera pas en nous : il ne veut en perdre aucun; il connaît tous ses enfants, et voilà pourquoi il a tant besoin des enfants de la Lumière, des enfants qui renoncent à eux-mêmes par amour pour leurs frères et leurs sœurs.
Il veut que nous passions par la passion tout comme lui il a passé, il veut que nous aussi fassions notre passion jusqu’au bout : lui a porté la Croix, lui a porté notre croix, maintenant il dit : «À vous de porter la croix de tous vos frères et vos sœurs du monde entier, ainsi votre purification de la chair sera totale.»
La purification va se faire ensemble, elle ne se fera pas sans nos frères et nos sœurs du monde entier.
Plus nous allons faire de nous un être d’abandon entre ses mains et plus ceux que nous portons en nous vont laisser leur vie entre les mains de Dieu.
Le monde d’amour dans lequel nous allons vivre sera fait d’enfants de Dieu qui auront accepté tout du Fils puisque ce monde sera fait à l’image du Fils : tel le Fils a reçu sa chair en son Être parfait, tels nous serons parfaits en notre chair, en son Être parfait : voilà ce qu’il attend de chacun de nous.
Voilà pourquoi depuis 2001, Jésus parle à l’intérieur de moi, il dit que : «Tu n’es pas la seule, il y en a d’autres; beaucoup à la suite vont aussi être des instruments d’amour», car chacun de nous, nous sommes choisis.
Ces enseignements nous apprennent qui nous sommes à l’intérieur de nous; ces enseignements nous ouvrent des lumières; ces enseignements font sortir de nous des péchés cachés en notre chair; ces enseignements nous font découvrir que nous, sans nous en rendre compte, nous avons refusé les grâces de Dieu.
Quand nous avons refusé ces grâces, nous avons refusé aussi d’aider nos frères et nos sœurs du monde entier et cela a commencé dès le plus grand des péchés qui était celui de Caïn parce que Caïn est le premier qui a refusé le repentir.
Adam et Ève ont pleuré sur leur péché, ils ont prié Dieu de leur envoyer le Messie mais lui, non, il a voulu caché son péché, celui d’avoir tué son frère.
Chacun de nous nous tuons notre frère quand nous empêchons les grâces de passer.
Le mot est fort pour nous, n’est-ce pas? Mais lorsque nous pensons que les grâces nourrissent la vie éternelle, là nous pouvons réaliser que nous avons péché contre la vie éternelle de nos frères et nos sœurs.
Mais Jésus est tout amour, il a donné sa vie pour que nous puissions aider ceux qui ont été.
Alors Jésus vient de me dire : «Cela sera après la pause.» Merci.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de vous, vous avez été nourris des grâces de Dieu afin que vous puissiez comprendre la valeur de ce qui se passe.
Jésus est venu sur la terre, Jésus a pris tous les péchés et les a amenés à la mort; par ce geste d’amour, nous étions tous appelés à être purs.
Chacun de nous avons commis beaucoup d’impuretés dans notre vie et nous avons porté en nous beaucoup d’impuretés dans notre vie.
Nous avons reçu une âme, nous avons reçu la vie en nous : l’âme est à Dieu ce que notre corps est à l’âme.
Jésus a libéré notre âme de tout péché; il faut croire à cela, il faut être convaincu que notre âme a été libérée de tout péché; mais lorsque nous vivons dans notre volonté humaine, nous regardons nos actions avec notre volonté humaine : c’est avec notre volonté humaine que nous allons vers le prêtre, c’est avec notre volonté humaine que nous allons confesser nos péchés.
Combien d’entre nous regardons ce que nous faisons en cherchant à déculpabiliser ce que nous sommes devenus? Avec les années, l’homme a avancé dans sa vie avec la femme, ils ont découvert qu’ils avaient en eux un pouvoir.
La femme comprend ce qu’elle veut comprendre et l’homme contrôle ce qu’il est capable de contrôler.
Il est facile pour les humains de se faire entendre comme eux le veulent; il n’est pas toujours facile pour les humains d’essayer de comprendre ce que Dieu attend d’eux.
À cause de la volonté humaine, les hommes et les femmes ont avancé dans la vie en cherchant à découvrir le bonheur, en cherchant à aider son prochain, en cherchant à découvrir ce qui ne va pas dans ce monde;
ainsi, l’homme et la femme ont fait des gestes, ont pensé, ont regardé selon ce qu’ils étaient en eux; ils ont découvert qu’il était plus facile de vivre en se donnant bonne conscience : ils ont fait de leur vie une vie qui a de la difficulté à regarder le péché.
Aujourd’hui, on juge comme on respire; aujourd’hui, on parle comme on accepte de vivre; aujourd’hui, on fait des actions comme il nous semble être bon de faire; aujourd’hui, on veut aller là où on croit que c’est bon d’aller; aujourd’hui, la vie est composée de matériel; aujourd’hui, la vie apporte des biens à celui qui est bien en lui : être bien en soi, c’est découvrir que nous avons laissé à l’intérieur de nous des actions cachées.
Jésus : "Un jour, un enfant est parti en voyage. Il a apporté une gourde pour passer le désert; il a aussi pris une boussole afin d’aller sur la mer; il a aussi apporté un masque d’oxygène pour aller sous la mer; il est parti avec un parachute sur le dos afin d’aller dans les airs;
alors il a fait sa route en se croyant capable de régenter sa vie; il ne s’apercevait pas qu’il était seul avec lui-même.
Il avait beau rencontrer tous ces paysages, aller à l’aventure, mais rien ne lui apportait satisfaction, car il avait oublié quelque chose de très important : l’enfant qu’il était.
L’enfant, en lui, lui était inconnu : l’enfant qui voulait plaire à Dieu, l’enfant qui avait confiance en Dieu, l’enfant qui s’abandonnait entre ses mains.
En route, il ne pouvait plus s’apercevoir combien Dieu l’aimait car, en route, il avait été séduit par toute la beauté de la création de Dieu; en route, il avait vu des personnes qui avaient besoin d’aide, alors il est parti les aider, ainsi de suite; il a appris à faire sa vie en ne se demandant pas d’où venait tous ces savoirs.
Il ne comprenait pas pourquoi quelquefois, lorsqu’il s’arrêtait, il était troublé.
Lorsqu’il repensait à tout ce qu’il était devenu, en lui une douleur était, et c’était comme un vide qui se faisait sentir en lui, il était plongé dans une immensité inconnue; alors pour ne pas ressentir cela, il se relevait et il repartait sur son chemin de vie.
Il ne comprenait pas que Dieu voulait qu’il aille à lui.
Dieu l’appelait dans ses moments de réflexion, Dieu voulait lui faire comprendre qui il était; Dieu voulait lui faire voir tout ce qu’il avait fait; Dieu voulait lui faire comprendre qu’il n’avait pas été seul dans son voyage, il avait apporté avec lui tous les enfants du monde, mais cet être avait continué sa vie pensant qu’il était seul.
Il avait tourné son regard vers Dieu, mais un regard extérieur : il n’avait pu se rendre compte que ce qu’il était devenu n’était pas ce que Dieu attendait de lui.
Mais Dieu l’aimait, Dieu était là, dans sa vie.
Il prenait soin de lui, il lui apprit qu’il fallait qu’il aille vers les sacrements afin de nourrir l’âme qu’il portait.
Mais ce qu’il pouvait donner à l’âme était si peu, car ce qu’il disait, au moment où il se croyait être en face de Dieu, était rempli de pauvreté de ce qu’il était devenu : il était devenu un être sans foi envers les grâces de Dieu, sans foi envers la puissance de Dieu, sans foi envers ce que Dieu attendait de lui, sans foi envers ce qu’il était pour devenir.
Il allait pour demander pardon à Dieu, mais sa pauvreté était si grande qu’il gardait toujours une douleur en lui : celle de ne pas être totalement abandonné entre les mains de Dieu.
Dieu fit pour lui de grandes choses : Dieu le guidait dans sa vie malgré qu’il était aveugle; Dieu le guidait dans sa vie en lui démontrant le bon chemin à suivre; Dieu était sa lumière, mais lui ne voyait pas Dieu; Dieu faisait pour lui sa vie, Dieu voulait bien le réveiller; il voulait bien qu’il voie sa présence, mais tout de lui était trop ancré vers l’extérieur.
Il allait vers la confession, mais il était tout enclin au péché; aussitôt qu’il était dans un état d’amour, il retombait dans un état de jugement; il ne pouvait se tenir dans un état pur, car sa foi était trop petite.
Il était un enfant de souffrance devant l’amour de Dieu et Dieu s’est penché sur lui.
Il lui a dit : «Viens, viens là où tu ne sais pas, viens dans cet endroit où tout n’est que lumière, tout n’est que bonté et tout n’est que paix, quitte ce monde extérieur, il n’est pas pour toi; je veux te montrer un monde vrai, un monde d’amour, un monde qui t’habite, il est en toi, il est toi.»"
Voyez-vous, mes enfants, c’est chacun de vous, vous vivez dans un monde extérieur; vous ne vivez pas en vos cœurs, car vous ne savez pas qu’en vous il y a la Vie.
Vous vous dites être en état de grâces, mais vous n’y croyez même pas puisque vous ne vivez pas en vous;
vous ne vivez pas en état de grâce par la présence de votre vie en vous, vous vivez comme des êtres morts, comme ce que vous êtes devenus à l’extérieur de vous :
vous avez peur de tout, vous craignez que Dieu puisse vous demander trop; vous avez peur de la souffrance parce que vous ne croyez pas en mes grâces sanctifiantes; vous avez peur d’abandonner votre bien matériel parce que vous avez peur de la pauvreté; vous ne croyez pas en la providence de Dieu, car cela est trop vous demander.
Enfants d’amour, regardez autour de vous, regardez ma création : j’ai habillé tout ce qui est devant vos yeux de la beauté de mon intérieur; c'est la vie autour de vous, c’est ma Vie, mais vous ne voyez pas ma Vie à l’extérieur de vous, vous voyez un monde qui est de vous.
Je viens me montrer à vous, je vais vous montrer la vie à l’intérieur de vous.
Je vais vous montrer tout ce que j’ai fait pour vous, et vous serez devant votre propre vie; je vous montrerai tout ce que vous avez fait pour votre âme et je vous montrerai aussi tout ce que vous avez négligé pour votre âme : je vais vous envelopper de mes grâces d’amour afin que vous ayez la force de voir ce que vous êtes devenus.
Oh! enfants de peu de foi, croyez en ce que vous êtes, car lorsque vous doutez de ces paroles, vous doutez de vous-mêmes, vous doutez de la vie qui est en vous.
Il n’y a que la vie en vous qui peut vous faire voir combien vous êtes précieux, ce n’est pas la vie extérieure qui peut vous parler ainsi, car elle a toujours voulu vous faire ignorer ma Présence.
Voyez-vous, je vous dis que l’âme est à moi et vous êtes ce que l’âme est.
Je veux vous nourrir de mes grâces de foi, je veux vous apprendre à vous abandonner comme vous ne pouvez pas le faire avec votre vie extérieure car, à cause de ce que vous êtes devenus, rien ne viendra par vous.
Depuis que je suis venu sur la terre, j’ai été pour vous votre souffle, votre air, votre nourriture, car c’est moi qui vous tiens en vie avec ma Vie; par vous-mêmes, vous seriez encore égarés.
En ce moment même, vous acceptez de voir ce qui s’est passé dans votre vie : c’est un moment de votre vie, un moment où vous vous êtes arrêtés.
Soyez en vous tout petits parce que le petit être qui est en vous veut apprendre : il veut comprendre la vraie valeur de sa vie, il veut savoir pourquoi son âme est en lui, il veut être tout attentif à Dieu afin d’embellir son âme, car l’âme est à Jésus.
Soyez ce petit enfant qui veut apprendre afin que votre âme soit dans l’éblouissement car vous, vous serez appelés à voir le Fils de Dieu glorifié, la Lumière du monde.
Acceptez que votre âme soit dans l’éblouissement afin de recevoir des grâces de lumière, car vos yeux vont voir la lumière.
Afin que vous ne soyez pas aveuglés, il faut avoir confiance en ces paroles.
Avec ce que vous êtes en ce moment, aucun de vous ne pourrait ne pas souffrir, car la lumière vous aveuglerait.
Dieu est amour, il ne veut pas que vous souffriez à cause de la lumière; il veut que vous soyez vous-mêmes lumière afin d’être des enfants qui entrent dans la lumière sans souffrance; il veut pour vous que vous soyez abandonnés de votre volonté humaine afin de mourir dans la Divine Volonté.
Mourir, c'est vivre, c’est découvrir votre place en la vie éternelle; voilà pourquoi je vous dis, mes enfants : «Soyez prêts parce que je viens vous montrer que je suis en vous.
Mon Père a choisi chacun de vous afin que vous puissiez vivre ce moment; ces paroles vous rappellent que vous vivez un temps de préparation à ce qui vient.
Il faut vous abandonner entre les mains de Dieu afin que vous soyez tous prêts, afin que votre âme soit dans la beauté de Dieu.
Lorsque vous allez à la confesse, mes enfants, votre âme reçoit des grâces sanctifiantes; il faut la conserver dans cet état de pureté pour le moment que je viens, mais à cause de votre volonté humaine, vous ne seriez pas prêts.
Quelqu’un ici peut-il dire le moment que je viens? Quelqu’un peut-il dire que son âme sera en état de grâces lorsque je me montrerai à vous, puisque vous êtes encore dans votre volonté humaine et que votre volonté humaine ne cesse de pécher contre Dieu?
Le moment est choisi par mon Père, il faut que vous soyez prêts à tout instant.
Une seule âme qui n’est pas prête est une âme qui va souffrir : je veux que toutes mes âmes puissent profiter des grâces que je vais donner.
L’âme qui sera dans ce mouvement d’amour aidera le corps, car la chair doit être purifiée afin quelle devienne incorruptible.
Soyez des êtres d’amour puisque je parle en vous, ces paroles vous appartiennent car elles sortent de vous-mêmes.
Je suis Jésus, je suis l’Église et vous ne formez qu’un seul cœur en mon Cœur et c’est à vous-mêmes que je parle.
Chacun écoute ces paroles et chacun les accueille avec ce qu’il est, chacun reçoit des grâces et chacun les accepte comme il est.
En vous, vous êtes, et en vous, les enfants de Dieu sont.
Vous recevez des grâces pour vous et eux en vous reçoivent des grâces pour eux selon ce que vous êtes capables d’accepter.
Je veux faire de vous des êtres d’abandon, des êtres d’amour, sûrs que Dieu est en vous.
Si vous êtes sûrs que je suis en vous, c’est que vous êtes sûrs que Dieu parle particulièrement pour vous, car Dieu a ce pouvoir.
Vous, avez-vous le pouvoir de croire? Non, vous ne l’avez pas, c’est moi qui vous le donne, cela vient de moi; ce qui vous appartient, c’est votre oui ou votre non : il n’y a que cela qui vous appartient.
Dieu vous appelle à vous donner entièrement entre ses mains, à croire à tout ce qui est au présent.
Je suis la Présence; je suis Celui qui vient en vous, vous montrer la beauté de votre intérieur.
Ne croyez pas que vous n’êtes pas capables de croire, Dieu connaît votre intérieur parce que je vis en vous.
Croyez que Dieu va vous donner des grâces d’abandon afin que vous puissiez voir et entendre.
L’humilité, mes enfants, sera pour vous un moyen de tout accepter ce qui vient de Dieu.»
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À chaque instant que Dieu nous révèle sa Volonté, nous avançons.
C’est avec notre volonté humaine que nous avons essayé de comprendre les paroles de Dieu; nous n’avons pas pu comprendre la valeur des paroles de Jésus parce qu’en nous il y a la volonté humaine, et la volonté humaine : c’est toujours un obstacle à notre abandon; nous voulons comprendre, mais nous en sommes incapables; voilà pourquoi Jésus nous parle à l’intérieur de nous-mêmes, cela se fait par la puissance du Saint-Esprit.
Chacun de nous, nous sommes habités par le Saint-Esprit.
Chacun de nous avons en nous le moyen de nous abandonner en Dieu, mais nous ne l’utilisons pas : c’est de redevenir le petit être que nous avons été et prononcer notre oui.
Si nous ne découvrons pas l’humilité, nous ne découvrirons pas l’être qui nous habite; ce sont les petits qui voient et entendent, ce ne sont pas les grands; Dieu tient les yeux fermés aux grands et il les empêche de comprendre parce qu’ils se détruiraient encore plus : eux qui se prennent pour Dieu deviendraient incurables.
Jésus a lui-même prié pour ses bourreaux.
Ils ne voyaient pas et ils n’entendaient pas, mais Jésus les aimait; il les aimait parce qu’il les savait trop impurs pour voir et entendre, alors pour les protéger contre eux-mêmes, Jésus a fait un mouvement : il a arrêté l’orgueil, il a demandé à son Père de les protéger.
Lorsqu’il a dit : «Pardonne-leur Père, ils ne savent pas ce qu’ils font», il disait par là : «Père, ils sont aveugles et sourds, empêche Satan de les manipuler encore et encore.»
En les rendant aveugles et sourds, ils sont restés à un stage de non-développement, car ils se seraient détruits eux-mêmes et ils n’auraient pu voir en eux qu’ils étaient choisis pour répondre à la demande de Dieu qui est celle de : «Veux-tu de moi? J’ai laissé couler mon Précieux Sang sur toi parce que je t’aime» : Jésus ne voulait en perdre aucun.
Il n’y a que Dieu qui est un amour sans condition, il a aimé ses bourreaux, il a aimé les pharisiens qui l’ont condamné; chacun a été dans son mouvement d’amour et nous, nous devons aussi être dans ce mouvement d’amour : aimer sans condition.
Nous devons croire en ce que nous sommes, nous devons croire aux grâces de Dieu sans condition; mais c’est dans l’abandon que nous allons découvrir tout cela, en ce moment nous ne sommes pas prêts, pas encore.
Nous allons vivre sur la terre en êtres parfaits.
Dieu va nous faire entrer en nous afin que nous puissions voir Jésus, afin que nous puissions être à sa ressemblance.
Voilà ce que Dieu nous propose et nous, nous ne croyons pas : c’est parce que nous sommes encore trop faibles devant ce qui vient à cause des péchés que nous portons en notre chair.
Mais la voie que Dieu prend pour nous faire entrer en nous est une voie remplie de grâces, de patience, parce qu’il en a fallu à Jésus beaucoup de patience pour nous aimer tels que nous sommes; mais la patience de Dieu, n’est-elle pas pure et parfaite?
Essayons d’imaginer que nous sommes à l’intérieur de nous et que chaque action qui est amour profite aussi à tous ceux que nous portons en nous, pas seulement pour ceux qui sont (au) présents, mais pour ceux aussi qui ont déjà été et pour ceux qui seront aussi.
Lorsque nous, nous manquons envers nous-mêmes, nous manquons envers ceux qui sont en nous : passés, présents et futurs, et Dieu nous aime, Dieu est bon avec nous, il nous reprend afin que nous soyons tout abandonnés en lui, et il le fait pour nous et il le fait pour ceux que nous portons en nous.
Ceux qui sont déjà morts et qui sont au Ciel, savez-vous que lorsque, nous autres, nous nous perfectionnons, eux sont tout en joie au Ciel parce qu’au Ciel ils vivent en Jésus? Alors nous sommes en communion avec eux.
C’est la même chose pour les âmes du purgatoire : lorsque nous faisons de bonnes actions sur la terre, eux reçoivent des consolations; eux ont vu l’Amour, eux veulent vivre de Jésus, ils sont remplis d’amour, alors lorsque nous faisons une bonne action, eux le ressentent en eux et cela leur donne des consolations.
Jésus aime tous ses enfants d’un amour infini et Jésus est patient avec nous, il ne nous condamne pas, il nous soutient.
Lorsque nous tombons dans le péché, Jésus est là pour nous soutenir, il nous donne des moyens de retrouver notre état de grâce et il sait qu’à cause de notre volonté humaine, nous ne demeurerons pas longtemps dans notre état.
Savez-vous qu’il y a des enfants qui reçoivent Jésus et qu’ils ne sont même pas rendus à leur banc qu’ils viennent de perdre des grâces? Parce qu’il vient d’avoir une impatience parce que l’autre en avant n’a pas marché assez vite, ou (parce qu’il) ne trouve pas son banc parce qu’un autre a pris sa place, parce qu’il a ouvert ses yeux et il a contemplé une autre femme que la sienne, ou parce qu’il a pensé à ce qu’il était pour s’offrir, cela n’est-il pas de l’envie?
Si on allait voir à l’intérieur de tous ceux qui viennent de recevoir Jésus et écouter ce qui se passe en eux, nous pleurerions sur nous-mêmes.
Jésus nous aime et Jésus ne nous quitte pas, il nous donne des grâces sans cesse (gagnées) par ceux qui sont en nous, parce qu’il profite des âmes qui demeurent en état de grâces, peu longtemps mais elles demeurent, afin que nous puissions recevoir des grâces pour retrouver notre état de grâce.
Jésus, c'est un mouvement d’amour, continuellement il se donne à nous afin de nous nourrir de sa Vie.
Jésus, c'est la Tête de l’Église et nous sommes ses membres, alors continuellement Jésus nous donne sa Vie.
Nous sommes dans une harmonie d’amour, mais cette harmonie d’amour ne nous est pas connue encore; nous n’en profitons pas parce que nous avons été trompés par Satan : Satan ne veut pas que nous tenions notre âme en état de grâce.
Nous recevons des grâces, mais nous ne nous conservons pas en état de grâce parce que Satan ne veut pas; il prend tous les moyens pour nous faire chuter, encore pire de nos jours où il y a peu de foi!
On croit plus à l’humain qu’à Dieu.
Aujourd’hui, on essaie d’enlever le sacré dans l’Église : on regarde ce qui se passe autour de nous et on pleure sur ce qui se passe : c’est notre âme qui pleure, elle a soif de son Jésus d’amour.
Alors nous sommes toujours vivants par Jésus et nous allons faire ce que Jésus nous demande parce que Jésus nous veut.
Vous savez, lorsque j’ai commencé à entendre Jésus, j’ai dit : "Jésus, comme tu es pauvre Jésus d’amour, pauvre d’âmes. Jésus, tu as pris quelqu’un qui était une pécheresse, je ne suis pas digne d’entendre ta voix parce que j’ai commis des péchés et que je vais commettre encore des péchés; qu’est-ce que tu fais Jésus avec moi?" Il m’a dit : «Parce que je cherchais une âme», et il en n’a pas trouvé d’autres que moi qui suis pécheresse; il a fallu qu’il me prenne, moi; je me connais, moi, et je sais que je ne vaux pas grand-chose : voyez-vous à quel point on est rendu? Pauvre Jésus, il est habité d’âmes très pauvres.
Jésus nous apprend à l’aimer parce qu’il veut qu’on l’aime avec ce qu’on est.
Jésus est en nous, nous faisons partie de Jésus, nous sommes ses membres, et il veut que nous devenions des êtres purs, alors nous devons lui faire confiance, nous devons nous abandonner entre ses mains, c’est la seule chance que nous avons pour atteindre le but de notre vie : le but de notre vie, c’est la vie éternelle, c’est de contempler le visage du Père, nous sommes venus pour cela.
Il nous a donné son souffle de vie afin que nous puissions avec son souffle de vie l’aimer de tout notre être, pas seulement avec notre âme, mais avec notre chair parce qu’il l’a fait; c’est lui qui a fait notre chair, il n’y a rien qui vient de nous, absolument rien.
Alors, nous allons pour un temps se recueillir en nous et dire un "Notre Père" et demander des grâces à Jésus afin que ce soit le petit enfant qui est en nous qui le dise, pas nous. Merci.