Notre Seigneur Via Sœur Beghe (Le Ciel) : Votre avenir céleste- Mercredi 15 décembre 2021

Votre avenir céleste

Je suis le Très Haut, Celui que ton cœur aime, et que veux-tu de plus que d’être aimée de Celui-là ? Je t’aime et te le redirai afin que ton cœur soit en paix. Quand une personne se sait aimée, elle est sereine, elle est joyeuse, elle est paisible. Encore faut-il que l’être qui l’aime le lui dise, le lui prouve, le lui donne. C’est ainsi que J’ai fait : J’ai aimé les hommes et chacun en particulier, à la folie, à une telle folie que J’ai voulu être crucifié, mortellement atteint pour sauver ceux que J’aimais tant.

J’ai aimé en premier et personne, aucun de Mes très aimés, n’a pu Me rendre le centième de ce que J’ai souffert pour chacun. Mais cela n’est pas une comptabilité ! J’ai aimé à Ma mesure et Je serais si heureux si chacun de Mes bien-aimés M’aimait à sa mesure. Je ne lui en demande pas plus, à sa mesure seulement : spontanément, sans compter, sans penser à lui-même. C’est tout, mais c’est déjà beaucoup.

Quand vous M’aurez donné votre part, vous aurez aimé comme Je souhaite être aimé de vous et Je vous prendrai en Ma demeure pour être en Ma compagnie éternellement. Et alors, vous saurez ce qu’est le vrai Amour, un amour tel que seul Dieu peut vous donner. Ce n’est pas un amour mièvre, ou solennel, non, c’est un Amour élevé, plein de curiosité, de nouveautés, de connaissance, de volupté spirituelle. C’est l’échange, c’est l’élévation de l’autre.

Je vous élèverai, Mes enfants, toujours plus haut, toujours plus profondément en Moi et ce transport en Mes élans sublimes vous toucheront à tel point que vous en serez éblouis et inimaginablement transportés. Tel est le bonheur de Mes élus, de Mes saints, de Mes enfants, de Mes frères, de Mes créatures élevées jusqu’à Ma Hauteur divine.

Quand vous serez dans Ma divine Demeure, vous considérerez tout ce qui vous a manqué tant que vous étiez sur la terre, tout ce qui vous a abaissé tant que vous étiez sur la terre, tout ce qui vous a étreint tant que vous étiez sur la terre, comme des futilités. Votre bonheur sera décuplé par rapport au plus grand bonheur de la terre, votre joie ne serait pas imaginable sur la terre, et vos très petites pénitences seront des étoiles dans les cieux divins. Tout le bien sera compté et, grâce à vos confessions, tous ces maux seront oubliés. Il ne restera plus que le bien acquis, aucun mal ne sera retenu.

L’Amour divin qui aime est ainsi : aucune rancune, aucun souvenir de ce qui a déplu, seulement la joie donnée et reçue, chacun à sa mesure et sans restriction. Que l’Amour est beau, qu’Il est bon, qu’Il est miséricordieux, qu’Il est doux et enrichissant !

Mes enfants, c’est à cet Amour-là que Je vous appelle, que Je vous attends, et vous êtes proches de cette destination. Soyez forts, soyez instruits de votre religion catholique, la seule qui vaille, la seule qui sauve, la seule qui vous ouvre le Ciel.

Il est faux de croire que la bonté, la gentillesse, la générosité, ces belles qualités, pourraient vous sauver si vous ne connaissez pas Dieu et n’êtes pas de Ses disciples. Non, non, les qualités, les plus belles soient-elles, n’ont pas la possibilité de vous sauver si elles ne sont pas tournées vers le Sauveur de tous, le Sauveur de chacun, le Rédempteur qui est mort pour vous sauver et qui, avant Sa mort, vous a donné toutes les conditions nécessaires pour entrer au Ciel.

Il a donné Ses instructions aux apôtres, Il a donné la connaissance de Sa loi d’humilité, d’amour de Dieu et du prochain à cause de Lui, et saint Paul a écrit l’hymne à la charité (1 Co 13, 1-13), cette vertu théologale qui a Dieu pour objet, en tête de tout autre motif. L’humanitaire laïque, sans Dieu, est une aide horizontale mais Dieu, en étant absent, n’en donne aucun mérite pour le Ciel. Comment le pourrait-Il d’ailleurs, puisqu’Il en est absent !

Mes enfants, soyez généreux envers votre prochain pour Lui, soyez bons envers votre prochain pour Lui et vous gagnerez Son Amour qui dépasse tout autre. C’est pour vous que Je suis venu sur la terre, pour vous apporter la félicité extrême, celle dont tout le monde rêverait s’il pouvait le connaître ici-bas.

Je suis Dieu, le Tout Puissant, le Tout Amour, le très Riche en tout. Plus de pauvreté au Ciel, plus de souffrance au Ciel, plus de restriction, tout est accessible ; la grande Liberté et le souci de ne vouloir en rien déplaire à quiconque ; la joie, l’affection la plus pure, la bonté, la diversité, la connaissance de l’infini, l’expérience de l’inatteignable.

Venez, Mes enfants, venez, Je suis à vous, il ne vous reste plus que d’être à Moi. Ma très sainte Mère vous y aidera, elle qui a toujours su sur quel chemin marcher.


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