Empêchez le vote de cette loi !

Publié le par monSeigneur et monDieu

 

 

Madame, Monsieur, cher ami,


Jamais votre intervention n’a été aussi urgente !

 

L’Assemblée nationale a adopté en première lecture la loi Gaillot qui supprime la clause de conscience des médecins et autorise l’avortement jusqu’à 14 semaines.

 

Si le Sénat ne bloque pas cette proposition de loi, elle sera adoptée avant la fin de la législature et les gynécologues seront obligés de pratiquer des avortements !

 

C’est pourquoi je vous demande de signer votre message urgent aux présidents des groupes parlementaires d’opposition Bloquez la loi Gaillot !

Lisez et signez la pétition 

(Si vous avez déjà signé cette pétition, ne tenez pas compte de ce mail. Mais pensez à transmettre ce message à vos connaissances. Je vous en remercie) Vous pouvez la partager sur votre page Facebook en cliquant ici, Twitter ou vous pouvez nous suivre sur Instagram: https://www.instagram.com/droit_de_naitre/
 

Le lobby de l’avortement est en passe de réussir un sordide

hold-up : sans que les Français ne soient consultés, il fait approuver ses revendications les plus extrêmes par des députés en fin de mandat.

 

Emmanuel Macron, jusqu’à présent opposé à la loi Gaillot, vient de lui donner son feu vert afin de récupérer des voix à gauche à la veille des élections.

 

Autrement dit, il sacrifie les enfants à naître sur l’autel de la politique partisane. C’est ignoble !

 

Cependant, si nous réagissons très vite, vous et moi pouvons éviter le pire.

 

Bien que les parlementaires - sénateurs et députés – hostiles à cette loi soient minoritaires, ils peuvent retarder son adoption en multipliant les amendements.

 

Retarder jusqu’à quand ? Jusqu’à la fin de la législature, le 27 février.

 

À ce moment-là, aucune loi ne pourra plus être votée jusqu’à l’élection des députés qui siègeront à la nouvelle Assemblée, à la suite des élections législatives des 12 et 19 juin prochains.

 

Vous voyez, nous sommes engagés dans une redoutable course contre la montre.

 

C’est pourquoi j’attends avec beaucoup d’impatience que vous signiez votre message urgent aux présidents des groupes parlementaires d’opposition.

JE SIGNE

Je vous l’ai dit à plusieurs reprises ces derniers temps, mais permettez-moi de me répéter : la loi Gaillot est tout simplement la pire loi sur l’avortement depuis la loi Veil.

 

D’abord, elle permet que l’on broie le crâne d’un bébé de 14 semaines.

 

Vous le savez, à ce stade le bébé prend du poids, son audition et ses connexions neurologiques se développent et son sexe peut être déterminé avec certitude...

 

... alors que tout le monde dénoncerait cette pratique barbare si les victimes étaient des chiots ou des chatons.

 

Raison pour laquelle le législateur s’est toujours refusé à légaliser l’avortement au-delà de 12 semaines.

 

Évidemment, et je sais que vous n’êtes pas dupe, une fois que le verrou des 14 semaines aura sauté, viendra la légalisation jusqu’à 18 semaines, puis 22 semaines et, enfin, la suppression de tout délai.

 

Ensuite, la loi Gaillot supprime la clause de conscience des médecins relative à l’avortement.

 

Si la clause de conscience est abolie, les médecins pourraient très vite se retrouver confrontés à un choix cornélien : soit ils devront supprimer une petite vie, soit ils seront trainés devant les tribunaux !

JE REAGIS

Croyez-moi, malgré leurs paroles rassurantes, Mme Gaillot et ses complices ont un but bien précis en tête : faire en sorte que le refus de pratiquer un avortement soit assimilé à un refus de prodiguer des soins.

 

Les partisans de cette loi, le disent avec un cynisme incroyable : «Les états d’âme de professionnels n’ont pas à influer sur le droit des femmes à avorter»

 

« Quand on refuse de pratiquer l’IVG et, par conséquent, qu’on refuse d’être à l’écoute d’une patiente, on ne mérite pas le titre de gynécologue et encore moins celui de médecin »…

 

… peut-on lire sur une pétition exigeant la radiation du président du Syndicat national des gynécologues-obstétriciens, le docteur de Rochambeau, en raison de son opposition à l’avortement.

 

Vous voyez, ces gens-là veulent forcer les gynécologues à tuer, ni plus, ni moins !

 

Leur volonté d’abolir la clause de conscience coûte que coûte est un double aveu de faiblesse.

 

Premièrement, elle s’explique par le fait que de plus en plus de gynécologues refusent de pratiquer des avortements.

 

Toute une génération militante est en train de prendre sa retraite et le Planning a un mal fou à la remplacer.

 

Deuxièmement, ce passage en force révèle que le lobby de l’avortement redoute que la prochaine Assemblée nationale, lui soit beaucoup moins favorable ...

 

Depuis que M. Macron est président de la République et M. Véran ministre de la Santé, le lobby de l’avortement se sent comme à la maison à l’Assemblée nationale.

 

Mais que se passera-t-il demain si par exemple une majorité de députés conservateurs siègent à l’Assemblée nationale ?

 

Vous et moi devons tenir bon jusque-là !

 

Je vous demande donc de signer sans attendre davantage votre message urgent aux Présidents des groupes parlementaires d’opposition Bloquez la loi Gaillot !

 

Pour cela, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :

 

https://petit.io/petition/droit-de-naitre/bloquez-la-loi-gaillot

 

Permettez-moi d’insister quant à l’urgence de la situation :

-- nous n'avons devant nous que quelques jours pour empêcher l’irréparable.

 

L’an passé, cette loi a aussi été approuvée par les députés en première lecture, mais votre mobilisation a permis de la mettre en échec au Sénat en première lecture, puis à l’Assemblée nationale en seconde lecture.

 

Comme en 2021, nous devons d’abord obtenir que la loi Gaillot soit rejetée par le Sénat, puis qu’elle soit bloquée en deuxième lecture à l’Assemblée nationale grâce à un déluge d’amendements.

 

À nouveau, vous êtes l’ultime rempart des enfants à naître : je compte sur vous.

 

Ensemble pour le respect de la Vie

 

Georges Martin
Chargé de communication
Droit de Naître

 

PS : Vous ne pouvez pas attendre ! J’ai besoin de vous pour empêcher l’adoption définitive de l’abominable loi Gaillot avant la fin de la législature.

Publié dans Regard - l'actualité

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