Croyez-moi, malgré leurs paroles rassurantes, Mme Gaillot et ses complices ont un but bien précis en tête : faire en sorte que le refus de pratiquer un avortement soit assimilé à un refus de prodiguer des soins.
Les partisans de cette loi, le disent avec un cynisme incroyable : «Les états d’âme de professionnels n’ont pas à influer sur le droit des femmes à avorter»
« Quand on refuse de pratiquer l’IVG et, par conséquent, qu’on refuse d’être à l’écoute d’une patiente, on ne mérite pas le titre de gynécologue et encore moins celui de médecin »…
… peut-on lire sur une pétition exigeant la radiation du président du Syndicat national des gynécologues-obstétriciens, le docteur de Rochambeau, en raison de son opposition à l’avortement.
Vous voyez, ces gens-là veulent forcer les gynécologues à tuer, ni plus, ni moins !
Leur volonté d’abolir la clause de conscience coûte que coûte est un double aveu de faiblesse.
Premièrement, elle s’explique par le fait que de plus en plus de gynécologues refusent de pratiquer des avortements.
Toute une génération militante est en train de prendre sa retraite et le Planning a un mal fou à la remplacer.
Deuxièmement, ce passage en force révèle que le lobby de l’avortement redoute que la prochaine Assemblée nationale, lui soit beaucoup moins favorable ...
Depuis que M. Macron est président de la République et M. Véran ministre de la Santé, le lobby de l’avortement se sent comme à la maison à l’Assemblée nationale.
Mais que se passera-t-il demain si par exemple une majorité de députés conservateurs siègent à l’Assemblée nationale ?
Vous et moi devons tenir bon jusque-là !
Je vous demande donc de signer sans attendre davantage votre message urgent aux Présidents des groupes parlementaires d’opposition Bloquez la loi Gaillot !
Pour cela, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :
https://petit.io/petition/droit-de-naitre/bloquez-la-loi-gaillot
Permettez-moi d’insister quant à l’urgence de la situation :
-- nous n'avons devant nous que quelques jours pour empêcher l’irréparable.
L’an passé, cette loi a aussi été approuvée par les députés en première lecture, mais votre mobilisation a permis de la mettre en échec au Sénat en première lecture, puis à l’Assemblée nationale en seconde lecture.
Comme en 2021, nous devons d’abord obtenir que la loi Gaillot soit rejetée par le Sénat, puis qu’elle soit bloquée en deuxième lecture à l’Assemblée nationale grâce à un déluge d’amendements.
À nouveau, vous êtes l’ultime rempart des enfants à naître : je compte sur vous.
Ensemble pour le respect de la Vie
Georges Martin
Chargé de communication
Droit de Naître
PS : Vous ne pouvez pas attendre ! J’ai besoin de vous pour empêcher l’adoption définitive de l’abominable loi Gaillot avant la fin de la législature.