Si nous avons écouté tous les Appels Divins : Tous nos péchés ont été pardonnés !

Publié le par monSeigneur et monDieu

Bonne Fête de la Divine Miséricorde à tous !

 

 

 

Dimanche, s’est terminée la neuvaine à la Miséricorde Divine. Si nous avons reçu le Sacrement de la Confession ce jour là ou quelques jours avant et avons participé à la messe célébrée pour la Divine Miséricorde et reçu le Corps de Notre-Seigneur, selon la grande promesse faite par Notre Seigneur Jésus : Tous nos péchés ont été pardonnés !

Les portes du Cœur Miséricordieux de Notre Seigneur Jésus étaient ouverts, nous pouvions Lui demander ce dont nous avons besoin et selon Sa Sainte Volonté, Il nous l’a donné dimanche et plus que jamais.


 

Par ailleurs il nous était possible de bénéficier d'une indulgence plénière le Dimanche de la Miséricorde.

 

INDULGENCE PLÉNIÈRE

Selon le Catéchisme de l'Église Catholique voici la définition officielle d'une Indulgence : 

« L'indulgence est la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà effacée, rémission que le fidèle est dûment disposé à acquérir sous certaines conditions prescrites par l'action de l'Église qui, comme ministre de la rédemption, distribue et applique par son autorité le Trésor des satisfactions du Christ et des saints ».

Indulgence plénière liée à la Divine Miséricorde

Il y a plusieurs années, le Pape Jean Paul II a institué une indulgence plénière pour le Dimanche de la Divine Miséricorde. Il est important de noter que l'indulgence plénière n'a rien à voir avec les grâces spéciales promises par Dieu à Sainte Faustine. Mais c'est juste une autre occasion de nous détacher de ce monde et  de nous unir de plus en plus à Lui.

Pour recevoir les grâces spéciales promises par Dieu le Dimanche de la Divine Miséricorde, nous devons recevoir la sainte Communion ce jour-là en étant en état de grâce (détaché du péché) et avec une totale confiance en la Miséricorde Divine.

Nous devons aussi remplir un certain nombre de conditions :

Suivant les directives du VATICAN : L’Indulgence plénière est accordée aux conditions habituelles      

         Confession sacramentelle, 
     Recevoir la Communion Eucharistique 
     Prière pour les intentions du Souverain Pontife 

au fidèle qui, le deuxième Dimanche de Pâques, c’est-à-dire de la « Divine Miséricorde », dans chaque église ou chapelle, l’âme totalement détachée de tout péché, même véniel, prend part aux prières et dévotions accomplies en l’honneur de la Divine Miséricorde, ou tout au moins qui récite, en présence du Très Saint-Sacrement de l’Eucharistie, publiquement exposé ou conservé dans le Tabernacle, le Notre Père et le Credo, en ajoutant une pieuse invocation au Seigneur Jésus miséricordieux (par exemple « Jésus miséricordieux, j’ai confiance en toi »).

Les Indulgences peuvent toujours être appliquées soit pour soi ou pour les âmes des défunts.

FÊTE DE LA MISÉRICORDE DIVINE

La fête de la Miséricorde divine occupe la première place parmi toutes les formes du culte de la Miséricorde Divine révélées à Sœur Faustine. Jésus a demandé la vénération particulière de sa Miséricorde au premier dimanche après Pâques et à des privilèges particuliers qui, ce jour-là, sont capables d’arracher l’homme au plus grand abîme du péché. Nous trouvons la première allusion au désir de Jésus juste après sa demande que soit peinte une icône.

Jésus lui dit : « Je veux que cette image que tu peindras avec un pinceau, soit solennellement bénie, le premier dimanche après Pâques, ce dimanche doit être la fête de la Miséricorde » (PJ 49).

En même temps, à travers Faustine, Jésus s’adresse aux prêtres afin qu’ils proclament la Miséricorde Divine et Il incite les pécheurs à ne pas avoir peur (PJ 50). Il assure également que celui « qui s’approchera ce jour-là de la Source de Vie obtiendra une totale rémission de ses fautes et de leurs châtiments » (PJ 300).

L’idée de la fête de la Miséricorde se retrouve dans plusieurs visions de sœur Faustine.

Jésus dit : « Je désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur punition ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les grâces ; qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de moi, même si ses péchés sont comme l’écarlate » (PJ 699).

La Fête de la Miséricorde a donc une valeur unique en son genre : les fautes sont totalement pardonnées et les peines remises. Il y a là d’avantage qu’une « simple » indulgence plénière qui est une remise des peines temporelles.

La Fête de la Miséricorde Divine doit être selon le dessein de Dieu un autre moyen de sauver ceux qui ont perdu tout espoir. Pour obtenir la Miséricorde Divine il y a cependant des conditions : une conversion sincère et, en conséquence, la confession et l’union avec le Seigneur dans la communion.

Et là, ni le genre, ni la quantité des péchés n’a d’importance, « car même si [l’âme] compte plus de péchés qu’il n’y a de grains de sable sur terre, tout sombrera dans l’abîme de ma miséricorde » (PJ 1059). La fête n’est pas seulement un jour d’adoration particulière de Dieu dans le mystère de la miséricorde, elle est aussi un temps de grâce pour tous les hommes : Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu’il ne se tournera pas vers la source de ma miséricorde. (PJ 699)

Les âmes périssent malgré mon amère passion. je leur offre une dernière planche de salut, c’est la fête de ma Miséricorde. Si elles n’adorent pas ma miséricorde, elles périront pour l’éternité.(PJ 965) Le choix du premier dimanche après Pâques pour la Fête de la Miséricorde a un sens théologique profond, qui révèle l’étroite relation entre le mystère pascal de la Rédemption et le mystère de la Miséricorde Divine.

Cette relation est encore soulignée par la récitation de la neuvaine à Miséricorde Divine qui commence le Vendredi saint. C’est donc encore une preuve de l’amour infini de Dieu qui recherche chaque occasion de sauver l’homme. Comment donc ne pas profiter de ces bontés

 

Du blog : Veuillez excuser ces postages tardifs qui ne sont pas de mon fait …

Publié dans 40 jours--->Pâque

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