La Sainte Eucharistie Est le Corps et le Sang du Christ : Le 22 février 2021, pendant la Sainte Messe, le Père Herrera Fuentes a eu une vision de Jésus ...

Publié le par monSeigneur et monDieu

Cette vidéo a fait le tour des chaînes Youtube catholiques espagnoles, très peu en anglais, et encore moins en français.  Cela s'est passé à Bogota, en Colombie (quartier Claret), à l'église du Cœur Immaculé de Marie. Le prêtre : le Père Fredy Leonardo Herrera Fuentes, le 22 février 2021, pendant la Sainte Messe, a eu une vision de Jésus piétiné par les fidèles qui communiant debout et recevaient l'hostie sur leurs mains. De nombreuses particules sont dispersées.

Le Père Herrera Fuentes s'est mis à pleurer à l'autel et s'est écrié :

– Fini la Sainte Eucharistie dans la main ou debout

En tant que Catholiques, nous croyons qu'à chaque Messe, le pain et le vin sont transformés par la puissance de l'Esprit Saint en Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus. Et pourtant ...

C'est un message fort, par lequel le Seigneur nous montre que lors de la communion dans la main des particules de l'Hostie tombent par terre et que Notre Seigneur est alors piétiné, mais en outre nous ne pouvons taire le fait que c'est un manque de respect aussi vis à vis de Lui tairons le fait

Auparavant il n'était pas question d'agir ainsi. La Sainte Eucharistie n'était reçue que sur la langue. Ce n'est que  lorsque la messe est passée du rite latin à la messe Novus Ordo au milieu des années 60 qu'il a été institué de recevoir la Sainte Eucharistie dans la main, pour ceux qui le désiraient. Puis progressivement cette "spécificité" est devenue presque la Norme. Le corps des "aidants Eucharistiques" a été institué, et ils officient en lieu et place du prêtre, même quand le peu d'affluence des fidèles ne le justifie pas !  Nous semblons avoir oublié ou même de ne pas l'avoir compris que la Sainte Eucharistie Est le Corps et le Sang du Christ. Et que même dans une toute petite particule, la plus minuscule, Notre Seigneur y est tout entier.

Pour mémoire; lors de notre Jugement Dernier, nous allons  devoir pouvoir le justifier !

Voici les paroles de Jésus à Alicja Lenczewska au sujet de Sa présence réelle dans l’Eucharistie.

L’Eucharistie

Dans son journal spirituel, Alice notait les paroles de Jésus au sujet de Sa présence réelle dans l’Eucharistie. L’Eucharistie, c’est le Christ Lui-même dans le mystère de sa passion, de sa mort et de sa résurrection. Dans chaque Eucharistie, le mystère de notre salut se rend présent : « Je n’arrête pas de te sauver. Ce qui s’est accomplit il y a deux milles ans sur le Golgotha était et est le signe de ce qui dure sans cesse, parce que cela existe en dehors du temps dont tu dépends en tant qu’homme vivant sur terre. Moi, Je suis votre Sauveur sans cesse et pour l’éternité. Je vous arrache constamment à satan et Je vous offre au Père, dans la mesure où votre libre arbitre Me le permet. […] Moi, Je Me suis offert à Dieu en Sacrifice pour vous sauver. Chaque homme est sauvé et peut revenir à Dieu – à la Plénitude pour laquelle il a été créé. Il le peut dans la mesure où il ne rejette pas ce don et ne méprise pas le don, ni Dieu, auteur du don. […] Ce qui s’est déroulé il y a deux mille ans sur le Golgotha continue de se dérouler dans une réalité extra-temporelle. Le Golgotha de Jérusalem – toute Mon existence dans Jésus de Nazareth – la peine et le Sacrifice de Ma vie sur terre étaient la réalisation de ce qui continue de se dérouler. Le signe le plus éloquent, c’est Ma présence dans l’Eucharistie. Je suis caché dans l’Hostie et, en La mangeant, l’âme Me rencontre vivant et vrai, bien que Je suis caché pour l’intelligence et les sens du corps ». Jésus la prévenait de ne pas Le recevoir dans la sainte Communion dans l’état de péché mortel, « sans y penser ou avec indifférence. C’est un grand péché et la profanation de Mon Amour, de Mon Don engendré dans le Sang du Golgotha ». Le péché et la Miséricorde Divine Dans les exhortations dirigées à Alice, Jésus lui disait que le malheur le plus grand dans la vie humaine, c’est le péché, c’est-à-dire le détournement de Lui. En rejetant Dieu, l’homme se soumet à la domination de satan, « qui attire toujours plus à lui et qui rend dépendant. Le plus souvent, il fait cela insensiblement pour ne pas effaroucher ». Jésus disait : « Le péché mortel Me tue dans le sanctuaire de l’âme de celui qui a péché. S’il persiste dans le péché, Je suis mort dans son âme, et son âme est morte. C’est le même état qu’après Ma mort sur la Croix, parce qu’en Me crucifiant en soi, on crucifie sa propre âme. Mais tant que l’on est sur terre, il y a la possibilité de la résurrection de l’âme à travers la réconciliation avec Moi. Quand quelqu’un Me désire, alors Je ressuscite dans son âme et Je le sauve pour la vie éternelle ». Il n’y a donc pas de situation désespérée dans la vie d’un homme. Jésus nous accompagne toujours pour nous libérer du terrible asservissement du péché et de satan. Il attend sans cesse de pouvoir nous pardonner dans le sacrement de pénitence et nous pardonner tous nos péchés. La confession est le retour de l’enfant prodigue avec l’aide de Jésus. Alors, comme dit Jésus, le plus important, c’est « désirer revenir, vouloir revenir, et appeler Mon aide ». Et le confesseur « est vraiment Mon outil. Indépendamment de la qualité de l’outil ». Jésus nous prévient que ne pas se convertir, rejeter définitivement Sa miséricorde, mène à la condamnation éternelle : « Se détourner de Dieu, surtout par la coupure définitive et la rébellion, est un suicide et un déicide. C’est tuer en soi ce qui est Divin, et ainsi se condamner à une souffrance éternelle et terrible, c’est comme s’arracher son propre cœur ».

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