Génocide légal mondial : l’avortement ! - 1 -

Publié le par monSeigneur et monDieu

Le président américain  M. Obama sitôt achevée les cérémonies de son investiture vient de lever partiellement un pan du voile altérant la compréhension de ce que seront les orientations de son gouvernement. En affirmant ce jeudi 22/01/09 son engagement à défendre le droit des femmes à l'avortement crée t’il réellement l’évènement ?

Certes, il marque une nouvelle fois sa différence avec son prédécesseur George W. Bush, mais cela était prévisible.

 

« Cette décision non seulement protège la santé des femmes et la liberté de reproduction, mais symbolise un principe plus large : que le
gouvernement n'a pas à se mêler des affaires de famille les plus intimes », a-t-il dit,
 

Il renforce ainsi l'arrêt du 22 janvier 1973, "Roe contre Wade" en vertu duquel le droit à la vie privée, présent en filigrane dans la Constitution, garantit aux femmes la liberté d'avorter…

Selon l’article de presse dont je vous transcris la référence : http://fr.news.yahoo.com/2/20090123/thl-obama-s-engage-defendre-le-droit-l-a-96993ab.html

 

M. Obama a dit dans un communiqué publié à l'occasion du 36ème anniversaire d'une décision de justice capitale sur le droit des femmes à l'avortement aux Etats-Unis. "Je reste déterminé à protéger la liberté des femmes de choisir" entre avoir un enfant ou pas.

 

La grande question en l’occurrence à se poser : 
S’agit’ il en la matière d’un principe de la liberté ?
Si oui de le définir, et de déterminer si tel que conçu, il garantit bien la liberté de chacun ou s’il ne spolie pas celle du plus faible : le fœtus ?

Et tout d’abord qu’est-ce que la liberté ?

 

Par ailleurs quels sont les intérêts innommés, mais sous jacents qui sous tendent, tapis dans l’obscurité, la défense de ces droits à la liberté qui apparemment ne profiteraient en premier lieu qu’à améliorer la condition des femmes ?

 

Derrière tout enjeu politique, souvent à première vue axé sur la recherche du bien être de l’individu, il faut, à mon sens, se poser la triple question : Combien ça coûte, à qui et combien cela rapporte réellement ?
Ce qui conduit à se poser d’autres interrogations capitales : Qui a intérêt à ce que ce système établi perdure et même s’intensifie ? 

Si les enjeux financiers sont importants, il ne faut pas se voiler la face, tout sera fait pour que les « vrais » bénéficiaires du processus continuent à en tirer profit et même à en augmenter la productivité marginale.

Aussi, sous prétexte « d’aider les femmes en détresse », il sera permis de plus en plus, de repousser le terme au delà du seuil ou l’avortement est supposé interdit.

 

Vu le niveau scientifique de notre société contemporaine, le degré de notre humanité serait-il inversement proportionnel à nos découvertes en la matière ?

Pourquoi avoir totalement ignoré que tentant de s’opposer aux idées montantes du « siècle des lumières » - c’est à dire cette claire-obscurité intellectuelle que la franc-maçonnerie a insidieusement institutionnalisée, comme marque du progrès et avancée devant conduire l’homme à un « éden » social : l’état d’acculturation où nous somme actuellement, véritable antichambre de la venue dantesque du nouvel ordre mondial – Rabelais a précisé que : « Science sans Conscience n’est que ruine de l’âme ! »

Pourquoi acceptons nous la mise à l’ombre de tout ce qui doit éclairer notre esprit et la mise en exergue de tout ce qui, sous prétexte d’avancée, n’est que recul de notre humanité,  puisque attisant notre orgueil, notre auto-centrisme, notre égoïsme, notre hédonisme, notre désir d’absolu et recherche d’immortalité mais selon nos critères ?

Ignorons-nous que lorsque socialement le « bien » sera devenu « mal » et qu’inversement « le mal » sera prôné comme étant  « bien » cela signifie purement et simplement qu’au lieu d’être « enfants de Dieu » conviés par Lui, après épuration des traces du péché originel, à partager Son Royaume de Lumière ; nous avons fait librement le choix de devenir « esclaves du Menteur » et consenti à aller avec lui dans son méandre qui l'inssupporte, sinon il y resterait. Alors qu'il a demandé à être autorisé, comme teste de notre libre choix de Dieu, à attiser nos déviances. Il est si désireux de nous inciter à désobéïr comme lui ! Il voudrait que le plus grand nombre d'entre nous devienne ses hôtes afin que dans son enfer où il sera définitivement relégué, il puisse assouvir la haine et l’amertume qui l’assaillent depuis sa déchéance due à son orgueil, son auto centrisme, sa rébellion, sa suprême illusion : il n’était pas lumière, mais que pâle reflet de celle du Créateur-Maître de l’Univers qui par pure amour dispensait en lui, comme Il continue à le faire en toute création reconnaissante.  Qui est comme Dieu ?

 

Comment  accepter qu’une femme qui accouche d’un enfant avant terme est mère d’un prématuré et qu’une autre, au même nombre de termes, ne fait que se débarrasser d’une « chose » sans existence légale ?

Que devient ce petit être qui somme tout est viable ?

A qui profite le crime ?

 

Dans nos sociétés pré-industrielles, des peuples ont été exploités, maltraités à outrance, niés dans leur humanité parce que, pour les besoins économiques, les « dominants » de l’époque avaient décrété par des lois qu’il ne s’agissait pas d’hommes mais de biens-meuble  !

Ainsi ces noirs d’Afrique considérés comme n’étant pas créatures de Dieu, donc démunis d’âme, ont pu être traités pire que des bêtes et cela le plus souvent dans la plus grande indifférence du plus grand nombre et avec une bonne conscience collective !

 

Si certains au péril de leur vie ne s’y étaient pas opposés, il est probable que l’existence ou/et la qualité de l’actuel président des E.U aurait été compromise.


Seule une minorité d’êtres pourvus de cœur et non corrompus par l’argent, le pouvoir, le sexe s’est opposée à cette vision réductrice et manichéenne de l’Homme.
Il en est de même maintenant, seul un nombre infime d’individus face à une adversité très bien orchestrée, ose dire à l’humanité : Nous ne pouvons pas traiter ainsi la chair de notre chair, l’os de nos os, l’autre nous même. Comprenne qui voudra !

« Plusieurs dizaines d'entre eux ont manifesté vendredi devant les grilles de la Maison Blanche. Parmi les panneaux qu'ils brandissaient, l'un proclamait: "Holocauste américain, l'abortion", sur fond de fœtus mort reposant sur le drapeau des Etats-Unis. »

Tout cet argent dépensé (provenant des deniers publics, donc de nos poches) pour couvrir, même partiellement, le coût de ces avortements ; et surtout les bénéfices dégagés par les patrons de cette « industrie » lucrative (pas besoin d’acheter la matière première : il suffit de favoriser l’immoralité de notre société !) auraient pu permettre de trouver une autre solution à ce problème.

Mais nous n’avons ni la volonté ni le désir nécessaires. Nous préférons fermer yeux et oreilles et prétendre qu’il s’agit de défendre le droit des femmes.


A croire qu’elles sont à elles  seules génitrices et seules en cause ! La responsabilité en la matière devrait me semble t’il être également partagée avec l’homme.

S’attaquer à la vraie cause nous paraît titanesque et non rentable, alors nous avons fini par devenir une société infanticide et nécrophage. Car nous nourrissons notre peau et certains de nos organes internes grâce à une pharmacopée, souvent de luxe, utilisant le « corps » de nos enfants « avortués ».
Chers non-parents essayez, comme pour les pièces défectueuses en matière de réparation automobile, de demander qu’il vous soit remis, pour enfouissement en terre par votre propre moyen, le produit de votre avortement et vous verrez sitôt lever une Loi qui vous l’interdira, car contraire à l’ordre public et l’éthique médicale !
Mais dîtes vous bien que ce sera uniquement parce que l’enjeu économique qui se cache sous cet hypocrite désir de défense de la liberté des femmes est tel qu’il importe, malgré vos droits légitimes, de favoriser l’utilisation lucrative faite des fœtus avortués et  de ceux issus de fausses couches. Et qui sait, le must des must, un jour peut-être, nous les auront sur notre table, notre cœur bien formaté étant devenu comme de la pierre ! Aussi que l’on ne parle point d’humanisme en la matière. Il nous faut voir ci-dessous de quoi nous parlons exactement, sans anesthésie nous empêchant d’entendre le cri des victimes innocentes.



image 1 :  vie fragile et innocente !
image 2 :  Ils disent que tu n'as pas le droitde vivre
image 3 :  Poutant dans ta bulle tu parviens à saisir ce doigt venu, dans ce cas précis, te sauver

             http://www.greaterthings.com/News/Images/hand21weeks.jpg 

Publié dans Regard - l'actualité

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