3.521 Notre Dame de Paix Anguera-Bahia-Brésil - Pédro Régis - 06/08/2011 La mort passera par Sumba et par Pula
Chers enfants, pliez les genoux dans la prière. La Terre est remplie de cruauté et les hommes marchent vers un grand abîme. Je souffre pour ce qui vient à vous. La mort passera par Sumba et par Pula et la douleur sera grande pour Mes pauvres enfants.
Ne vous éloignez pas de l'amour du Seigneur. Ouvrez vos cœurs et accueillez Mes appels. Je connais vos besoins et prierai Mon Jésus pour vous. Je ne veux pas vous obliger, mais écoutez-Moi. Dites à tous que Dieu est pressé et que ceci est le temps de la grâce.
Ne restez pas les bras croisés. Ayez confiance en Jésus. Il est votre grand ami et est toujours près de vous. Détournez-vous de choses du monde et servez le Seigneur avec fidélité. Vous aurez encore de longues années de dures épreuves. Ne laissez pas le démon vous tromper. Aimez et défendez la vérité.
C'est le message que Je vous transmets au nom de la Très Sainte Trinité. Je vous remercie de Me permettre de vous réunir ici une fois de plus. Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Soyez dans la paix. Amen.
Du blog :
Sumba peut-être :
· l'île de Sumba dans la province indonésienne des petites îles de la Sonde orientales
· l'île Sumba sur le fleuve Congo au Congo-Kinshasa
· la municipalité de Sumba des îles Féroé
1 -Congo-Kinshasa : L’île Sumba est la plus large île sur le fleuve Congo. Elle est située en République démocratique du Congo, à une dizaine de kilomètres en amont de Makanza. Sa superficie environne les 500 km2.
2 -Sumba est aussi un petit village danois, situé dans l'île des Îles Féroé.
Le village s'étend sur 25 km² et compte 383 habitants depuis le dernier recensement de la population. La densité de population est de 15,3 habitants par km² sur le village.
Entouré par Porkeri et Skálavík, Sumba est situé à 65 km au Sud-Est de Tórshavn la plus grande ville à proximité.
3 Sumba fait partie du groupe d'îles situées à l'est de Bali appelé Nusa Tenggara ou (petites îles de la sonde).
Nusa tenggara regroupe sur plus de 1300 km d'est en ouest pas moins de 566 îles.
On distingues deux arcs : l'arc du nord ( Lombok, Florès, Sumbawa, l'arcipel de Solor et Alor) d'origine volcanique, et l'arc du sud (Sumba, Roti, Sabu et Timor) plus petit et surtout formé de roches sédimentaires et dont le volcanisme plus ancien est inactif de nos jours.
Large de 70 km et longue de 200 km, sa superficie est de 11 000 km2 et elle compte environ 650 000 habitants. Waingapu, la capitale de Sumba, située à l'est de l'île.
Sumba est divisée en deux régions relativement distinctes : Sumba Barat (ouest) et Sumba Timur (est). L'est de l'île, plus aride, avec sa capitale régionale Waingapu, est connue pour ses textiles traditionnels et plus fréquenté de longue date tant par les touristes que les marchands. Le premier artisanat de SUMBA est le tissage. Connus dans le monde entier. L'ouest, plus " sauvage ", a su, pour l'instant, préserver assez solidement ses coutumes et ses croyances locales. L'ouest est également plus peuplé que l'est, Sumba Ouest comprenait en 2004 une population s'élevant à 390.000 habitants, pour une population totale d’alors approchant les 570.000 âmes
Ce peuple de guerriers, qui faisait encore la chasse aux têtes il y a quelques décennies, est aujourd’hui pacifié. L'esprit guerrier, qu'on attribue généralement à ces hommes réputés durs, n'est pas surgi de nulle part ni le fruit du hasard : jusqu'au XIXe siècle, l'île servait de réservoir d'esclaves et de terrain de chasse pour les pillards en tout genre.
Vivre sur la terre aride de Sumba n'est pas aisé et l'histoire autant que les coutumes expliquent cette dureté. Et l'arbre à crânes (andung) qui trône au cœur des villages devant certaines uma prestigieuses rappelle le temps béni - et révolu - de la chasse aux têtes. Arbre supportant les crânes des ennemis autrefois capturés, l'andung commémore l'ancien temps et reste aujourd'hui un important lieu spirituel.
Autre caractéristique locale essentielle, la cohabitation des morts avec les vivants est au cœur du quotidien et du village. La riche tradition orale mentionne un mythique pont de pierre reliant Sumba aux îles de Florès et de Sumbawa, ainsi que des ancêtres descendus directement du ciel. La religion marapu est le ciment qui maintient, à l'ouest surtout, la tradition plus ou moins intacte. Ses représentants sont des chamans (rato) chargés de la bonne gestion du culte des marapu, ces dieux, ancêtres, esprits et autres forces surnaturelles qui peuvent se manifester au détour d'un chemin ou chez le voisin, dans un rocher ou chez soi. Les marapu sont partout et pour mieux invoquer leur protection, il importe de les combler d'offrandes, souvent des animaux sacrifiés.
Comme chez beaucoup de peuples animistes, la mort fait l'objet d'un culte particulièrement impressionnant. Le passage dans l'au-delà s'accompagne de rites complexes entraînant des sacrifices d'animaux (buffles et chevaux) pour donner au défunt le viatique indispensable à son voyage dans l'autre monde. Les tombes monumentales reflètent bien cet aspect de la civilisation Marapu.
Ces rites funéraires étant très onéreux, les cérémonies sont souvent reportées, le temps de réunir les fonds et la famille dispersée. En attendant les morts "partagent" la vie de kampung, embaumés selon des méthodes traditionnelles, qui dans un coffre, qui sous une hutte au milieu du village
La figure du cheval est omniprésente (souvent en décoration sur la tombe), étant donné que l'esprit du défunt est censé chevaucher sa monture pour rejoindre l'autre monde. De cette croyance résultent aussi, dans une moindre mesure de nos jours, les sacrifices de chevaux une fois le corps du mort dûment enfermé dans son tombeau.
Apparue sous l'appellation " île du Santal " (cendana) sur les cartes des navigateurs européens dès la fin de notre époque médiévale, Sumba comprend, en dehors des Sumbanais d'origine, un vaste panel des populations de l'ensemble de l'archipel indonésien : Bugis, Bajo, Chinois, Javanais, et migrants des îles voisines de Sumbawa, de Florès, de Timor et de Sawu notamment. Cette diversité reflète l'ambiance qui règne dans l'île et se confirme sur les visages des habitants rencontrés en chemin
Le tourisme , la recherche effrénée de vacances exotiques - pour Occidentaux en mal d'émotions et de sensations fortes qui se situent géographiquement dans ce qu'on appelait il n'y a pas si longtemps, le tiers-monde, semblait à première vue un des dangers principaux menaçant cette région et ses habitant. Compte tenu du message (si c’est de ce Sumba qu’il s’agit), il y alieu de voir que la mort n’épargnera pas ce lieu comme la majorité des lieux terrestres…
Pula est une commune italienne de la province de Cagliari.
Pula,est aussi une commune hongroise du comitat de Veszprém.
1 - Pula est une ville et une municipalité située en Istrie, dans le Comitat d'Istrie, dans le nord-ouest de la Croatie. Elle est d'ailleurs la capitale de cette région. Elle compte actuellement 60 000 habitants. Son activité commerciale, sa richesse culturelle et sa vie nocturne en font un pôle d'attraction pour toute l'Istrie. Pula est également une ville industrielle de premier ordre. Ses activités principales sont la construction navale, la métallurgie et le textile.
La ville de Pula remonte à près de 3 000 ans. Plus qu'aucune autre ville de Croatie, Pula est la digne héritière de l'Empire Romain. Celui-ci lui a légué un patrimoine architectural exceptionnel. Ses monuments sont de véritables joyaux de l'Antiquité. Le centre-ville est jalonné de vestiges tels des mosaïques, des temples, des portes fortifiées... Un des plus importants édifices de la ville est l'amphithéâtre romain de Pula, arena en latin. On trouve également dans les restes romains de la ville un temple d'Auguste, l'ancien capitole du forum (transformé en palais communal), un arc de triomphe, un mur d'enceinte en ruines et les restes (dont la façade) de deux théâtres antiques.
L'histoire de Pula débuta par l'installation d'une colonie grecque sur une colline d'Istrie. Les origines de ce peuplement restent assez méconnues, la mythologie se mêlant souvent à la réalité historique. Cette colline fut annexée par les Romains en 177 avant J-C. Sous le règne d'Auguste, (de 27 av. J.-C. à l'an 14) Pula devint la capitale administrative de la région. La ville connut alors un formidable développement urbain.
La ville est multiculturelle : il y a une majorité d'Italiens ainsi qu'une forte présence de Slaves et d'autres nationalités dans la ville et ses environs. Au recensement de 2001, la municipalité comptait 58 594 habitants, dont 71,65 % de Croates, 5,83 % de Serbes et 4,82 % d'Italiens (8,28 % n'ayant pas indiqué d'affiliation ethnique). C'est une commune bilingue croate/italien.
À l'issue de la Première Guerre mondiale, les troupes italiennes occupèrent Pula, qui devint italienne comme le reste de l'Istrie.
Après la Seconde Guerre mondiale, en mai 1945, la ville fut prise par les troupes yougoslaves, et fut intégrée à la Croatie, comme le reste de la péninsule istrienne. La situation fut entérinée par le traité de paix de 1947, à la suite duquel plus de la moitié de la population (dont la majorité de la forte communauté italienne) quitta la ville par peur du communisme.
En 1991, elle devint croate dans la douceur. Eloignée géographiquement des lieux du conflit armé, elle ne souffrit en aucune manière de la proclamation de la République croate.
2 - Pula en Sardaigne, village pricipalement agricole et touristique couvre une portion du territoire qui comprend aussi quelques montagnes de l'aire de Sulcis comme la forêt domaniale de Pixinamanna. Parmi les points d'intérêt principaux de cette zone, on trouve les ruines de la ville phénicienne de Nora, qui selon la tradition littéraire serait la ville la plus ancienne en Sardaigne.
Pula est aussi une étape importante pour les sportifs car depuis quelques années c'est le siège de l'Italian Open di Golf au Golf Club di Is Molas
La petite chapelle est devenue ces dernières années un lieu de culte fréquenté par beaucoup de fidèles, la moitié des pèlerins vient de toute la Sardaigne. Cette dévotion est pour la vie et les oeuvres d'un frère capucin, natif de cette zone qui durant sa vie se consacra à la construction de cette église; le Frère (connu dans toute la Sardaigne comme Fra Nazareno) mourut en odeur de sainteté il y a quelques années.