3.770 Notre-Dame Reine de Paix Anguera-Bahia-Brésil Pedro Régis 01 02 2013… Mardin et Mersin vont vivre l'angoisse d'un condamné …

Publié le par monSeigneur et monDieu

Marie AngueraChers enfants, voici le temps de la grande bataille spirituelle. Pliez vos genoux dans la prière. Je suis votre Mère et Je viens du Ciel pour vous appeler à la conversion. Soyez dociles. Ne vous croisez pas les bras.

 

 

L'humanité s'est éloignée du Créateur et se dirige vers l'abîme de la destruction que les hommes ont préparé de leurs propres mains. Mardin et Mersin vont vivre l'angoisse d'un condamné. Je souffre pour ce qui vient à vous. Je ne veux pas vous obliger, mais écoutez-Moi. Faites preuve de courage. Ne reculez pas. Je vais prier Mon Jésus pour vous. En avant.

 

 

C'est le message que Je vous transmets au nom de la Très Sainte Trinité. Je vous remercie de Me permettre de vous réunir ici une fois de plus. Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Soyez dans la paix. Amen.

 


 

 

 

Du blog : Mardin et Mersin ? 

 

Aux confins orientaux de la Turquie, perchée à 1082 m d'altitude, Mardin, un des 81 départements du pays, domine la plaine de la Syrie dont la frontière aujourd’hui syrienne (autrefois la frontière syrienne et irakienne) se trouve à une vingtaine de kilomètres à peine. Mardin est une ville, un petit village pour d'autres, Turc, préfecture de la province du même nom. Brutalisée par l'histoire au siècle dernier, Mardin, avait fini par se replier sur elle-même, attendant des jours meilleurs.  Au IIIe siècle, elle est habitée par des Syriens chrétiens. Cela jusqu'en 640, année où la ville et toute la région sont envahies par les Arabes. Au XIIe siècle, les Seldjoukides conquièrent le Caucase puis l'est anatolien. Mardin tombe en 1104. En 1516, elle fait partie de l'Empire ottoman. Au début du XIXe siècle, la ville est en proie à plusieurs destructions après des rébellions kurdes et son occupation par l'Égypte en 1839. Dès lors, la ville perd son statut de centre régional incontournable. Pendant la Première Guerre mondiale, ses habitants, principalement Arméniens et chrétiens sont victime du terrible génocide arménien. 8 000 Arméniens et environ 12 000 Syriens chrétiens sont déportés ou massacrés et avec eux, une partie des autres communautés chrétiennes. A partir des années 80, la ville fut prise entre deux feux, ceux de la rébellion kurde du PKK et de l'armée turque. Aujourd'hui, elle s'ouvre délicatement au monde. De nos jours, les différentes populations ethniques et religieuses qui composent la ville vivent en harmonie. La fierté de la ville est son architecture mélangée, superposition de cultures. Des Hittites aux Ottomans, en passant par les Perses, Romains, Omeyyades et Abbassides, toutes les civilisations de la région s'y sont succédées. La dynastie artukide, au faîte de sa gloire au XIe siècle, a laissé des minarets ciselés comme l'ouvrage d'une dentellière, des dômes rebondis et cannelés, des vastes medersas en pierre ocre, signe qu'une attention particulière était accordée à l'instruction... Dans Mardin d'aujourd'hui, on peut encore sentir cette mosaïque culturelle, autrefois richesse de la région. Mardin est aussi au cœur du Tur Abdin (la montagne des serviteurs de Dieu), terre de monastères et de moines qui vivent hors du temps. Aujourd'hui majoritairement peuplée par des Arabes et des Kurdes, la ville est une tour de Babel miniature : les habitants jonglent avec le turc, l'arabe et le kurde. «Toutes les religions et les ethnies sont représentées. C’est donc une contrée multi- : multi-ethnique, culturelle, linguistique et confessionnelle. Mardin est riche d’histoire et de culture Cette richesse trouve sa source dans une histoire très ancienne, Mardin se trouvant au carrefour des routes antiques de la soie et des épices et étant devenu un lieu de rencontres et de synthèse des cultures. La vieille ville, construite sur le flanc de la montagne, fait partie des joyaux architecturaux de la Turquie. Les constructions en pierre couleur de miel ornementées de motifs et de délicates sculptures ravissent les yeux. La beauté de ses maisons et la couleur des pierres employées pour leur construction ont valu à la ville l'appellation de « Mardin la Blanche », en opposition à « Diyarbakir la Noire ».

Fait intriguant concernant la région : Plus de quarante femmes marocaines vivent actuellement en tant que secondes épouses dans  Mardin, mariées à des Turcs avec la seule lecture de la Fatiha, ce qui arrange les hommes turcs, qui ne peuvent pas prendre de secondes femmes légalement en raison de l’interdiction de la polygamie en Turquie.

 

Mardin se trouve, en longeant la côte, à droite de Mersin.


Mersin se trouve au bord de la Méditerranée, au-dessus de Chypres, à 631 km de Mardin qui est aussi une ville côtière, mais elles ne sont pas les seules, leur citation commune ne peut provenir que de cette localisation . Mersin est  la capitale de la province Içel et le port le plus important de la Méditerranée turque. Située au sud-ouest de la Turquie, Mersin est une ville moderne qui abrite un important port et une zone franche. Elle s'est développée récemment le long de la côte : vers 1958, sa population n'était que de 40000 habitants. Suite à une importante immigration, elle est actuellement de 1,5 millions d'habitants. Elle s'étend sur l'emplacement de plusieurs sites antiques (hittites, romains à Soli ...), dont certains remontent jusqu'au IVe et au IIIe millénaire avant J.C.  Port méditerranéen très actif situé au fond d'un vaste golfe, Mersin est avant tout un centre industriel et ne présente que peu d'intérêt touristique. Seule la visite de Tarsus, dans ses environs, pourra inciter le voyageur à y faire étape. A 27 km de Mersin, cette tranquille petite ville de la plaine de Cilicie, connue dans l'Antiquité sous le nom de Tarse, vit naître l'apôtre saint Paul dans les premières années de notre ère. Une importante colonie juive y résidait alors. Lorsque le christianisme se répandit en Anatolie, Tarse abrita les toutes premières églises et devint le siège d'un évêché sous l'Empire byzantin. Mais des le Vile siècle, elle dut subir les raids arabes puis l'invasion des Seljoukides. Les Croisés réussirent cependant à la reconquérir avant qu'elle ne soit incorporée à la petite Arménie. Elle tomba finalement sous le joug ottoman au début du XVI siècle après avoir appartenu quelque temps aux Mamelouks d’Égypte. Les vestiges de Tarse n'intéresseront vraiment que les passionnés, car ils se réduisent à l'ancienne église Saint-Pierre construite par les Arméniens puis transformée en mosquée, au musée installé dans une ancienne école islamique, qui abrite quelques objets ottomans, et à la porte Saint-Paul, vestige de l'époque romaine qui se trouve à l'entrée de la ville

Risques naturels :

On note des séismes très graves, spécialement dans la Turquie du Nord, le long d'un arc s'étendant de la Mer de Marmara au Lac de Van.

Selon les responsables de la région, il n'y a pas de failles dans la région de Mersin (sud-centre de la Turquie) ou de rayonnements négatives, aussi à leur avis, Mersin est le plus sûr lieu de la Turquie en termes de risque sismique.


 

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