3433 Message de Notre Dame Reine de Paix Anguera Pedro Régis – 01 Février 2011

Publié le par monSeigneur et monDieu

Chers enfants, de Porto-Novo et de Porto Velho, des hurlements et des clameurs de lamentation seront entendus de tous les côtés. Pliez les genoux dans la prière. Je souffre pour ce qui vient pour vous. L'humanité avance vers le Calvaire et Mes pauvres enfants boiront le calice amer de la douleur.

 

Tournez-vous vers le Seigneur pour être sauvé. Ne demeurez pas figés dans le péché.

Ce que vous avez à faire ne le remettez pas à demain. Je suis votre Mère et Je viens pour vous conduire à Mon Fils Jésus. Cherchez-Le, car Il vous attend à bras ouverts. Avancez sur le chemin que Je vous ai indiqué.

 

C'est le message que Je vous transmets au nom de la Très Sainte Trinité. Je vous remercie de Me permettre de vous réunir ici une fois de plus. Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Soyez en paix. Amen.

 

Du blog : Notre Dame semble se répéter, mais tel n’est point le cas. Nous sommes récalcitrants et quoi qu’inlassablement Elle nous prévient, imperturbablement nous poursuivons notre route ves le gouffre que nous avons édifié par nos rebellions multiples, notre dureté de cœur, nos désirs de la chair qui nous poussent à une stagnation jubilatoire dans le péché que nous ne voyons même plus et hissons fièrement sur l’autel de nos convoitises morbides et par notre indifférence, même à ce qui se déroule sous nos yeux sans que nous le discernions.

 

Porto Velho, Brazil et Porto Novo, Benin deux lieux géographiquement appartenant à deux continents distincts, mais avec un passé historique ancien avec les Portugais et la nécessité de leur développement pour favoriser le négoce et un environnement hydrographique assez important. Ils sont tous deux baignés par l’Océan Atlantique. Et toutes deux sont tournée de nouveau vers un nouveau dynamisme qui selon ce message se terminera dans les larmes, d’autant que Bénin fut le nom d’un royaume ancien établi où se trouve l’actuel Nigéria qui connut pour l’époque une apogée fulgurante et un déclin retentissant suite à la barbarie humaine. C’est d’ailleurs en souvenir de ce royaume passé que le Dahomey accédant à l’indépendance pris ce nom de Bénin. Et si on regarde bien le vieux port se trouve au Brésil et le nouveu port au Bénin, mais de quoi est fait l’avenir apparient à Dieu vers Qui tous jeune comme vieux doivent se tourner vers Lui.

 

Porto Novo, c'est aussi une ville du Cap Vert, mais nous portons notre choix sur le Bénin.

 

La République du Bénin, qui s’appelait Dahomey jusqu’au 30 novembre 1975, est un pays d’AFRIQUE de l’Ouest entièrement situé dans la zone intertropicale (entre l’équateur et le tropique du cancer).

La capitale du pays est Porto Novo, et la plus grande ville économique COTONOU.

Porto-Novo (230 000 habitants en 2002) est la capitale officielle du BÉNIN, elle est située à 13 kilomètres de l'océan Atlantique et à une trentaine de kilomètres de Cotonou, la principale ville du pays. Porto Novo, alias Hôgbonou, alias Adjatchê compte une population de 230000 âmes environ.

Campée au Sud-est du Bénin, et bordée par une lagune qui communique avec la mer à Lagos (République du Nigeria) et à Cotonou, Porto Novo est une cité épanouie à une dizaine de kilomètres au nord de l’océan Atlantique. La Ville se trouve à 32 kilomètre à l’est de Cotonou et à 650 km au nord de l’équateur. C’est la capitale du Bénin, la première ville du pays après Cotonou.

Installée sur le plateau de Sakété qui s’élève graduellement à mesure que l’on s’éloigne de la lagune, la ville de Porto Novo est bâtie en amphithéâtre à une altitude moyenne de 29 mètres

La lagune de Porto Novo est un débouchée naturel du fleuve Ouémé. Elle a un régime hydrographique influencé par ce fleuve et par l’océan Atlantique.

La ville bénéficie d’un climat de type subéquatorial à l’instar de toute la partie méridionale du pays. Le régime pluviométrique comprend deux saisons pluvieuses et deux saisons sèches de durée inégale. Habituellement il pleut de mars à juillet (grande saison) et de septembre à novembre (petite saisons). Les saisons sèches s’intercalent entre les périodes pluvieuses : de novembre à mars (grande saison sèche), et de juillet à septembre (petite saison sèche). Notons que le rythme des saisons est assez perturbé depuis une vingtaine d’années.

Porto Novo est l’une des villes historiques les plus anciennes du pays.

     Les origines de Porto Novo remontent vers la fin du 17e siècle. Selon la légende, Porto-Novo doit sa création à trois chasseurs yoruba venus du Nigéria, Obagadjou, Anata et Akakpo-Agbon.

Un jour, alors qu’ils avaient fait une halte et se reposaient contre une termitière, ils aperçoivent un monstre à neuf têtes qui disparaît peu après. De retour au village les trois chasseurs interrogent le Fa qui explique le mystère. Le monstre n’est autre qu’Abori Messan Adjaga, une divinité bienfaisante et protectrice.

Les trois retournent alors sur le site pour y construire un temple et fondent «Akron», aujourd’hui un quartier de Porto Novo.

     Puis au XVIIIe siècle, des Adja, partis d’Allada, s’installent à proximité d’Akron et baptisent l’endroit Hogbonou, qui sera Adjatché pour les Yoruba.

     Au cours de la seconde moitié du XVIIIème siècle : La traite des esclaves.

Désireux de se soustraire au pouvoir des rois d’Abomey qui contrôlent le commerce des esclaves à Ouidah, des européens se tournent vers Porto-Novo. Les Portugais s’établissent ainsi à Hogbonou que le navigateur Eucharistus de Campos baptisera Porto-Novo en 1752. Puis arriveront les premiers affranchis du Brésil pour y ouvrir des comptoirs de négoce. Ils animeront l’essentiel de la vie économique et la cité qui va prospérer comme Ouidah et le royaume d’Abomey.

     A la fin de la traite des esclaves : Protectorat français, un autre commerce, celui des produits agricoles et manufacturés, prend la relève et se développe. Le premier traité de protectorat avec les français est signé en 1863 sous le règne du roi Sôdji, suite aux velléités de conquête de la ville par les Anglais en 1861. Le deuxième protectorat, établi le 4 avril 1882 sous le règne du roi Toffa 1er, marque la présence de l’installation de l’administration coloniale française. La Colonie du Dahomey est créée et Porto Novo en est la capitale par décret du 22 juin 1894.

     Après l’indépendance de 1960, Porto Novo devient capitale politique et administrative, fonction qu’elle assure encore aujourd’hui, mais de façon symbolique. La ville est dépouillée de ses attributs de capitale vers les années 60 et 70 avec le transfert de la Présidence et des Ministères à Cotonou.

     En 1990, avec l’avènement du Renouveau Démocratique, le statut de capitale du Bénin est confirmé à nouveau et la ville connaît un nouvel essor avec la mise en œuvre d’un programme spécial de réhabilitation dont le principal objectif est de lui redonner ses attributs de Capitale de Bénin. Dans le cadre de la réforme de l’administration territoriale et de la décentralisation, la loi n° 98-005 du 15 janvier 1999, confère à la Ville de Porto-Novo, en tant que capitale, un caractère de commune à statut particulier avec cinq (05) arrondissements et quatre vingt six (86) quartiers.

 

Porto Velho est la capitale de l'Etat brésilien de Rondônia, dans la partie haute du bassin de l'Amazone. La population en est d'environ 530 917 habitants

Au milieu de la forêt amazonienne, et insérée dans le plus grand bassin du monde, où les rivières continuent à régir la vie des hommes, est la capitale de l'Etat de Rondônia sur les berges de la rive droite de la rivière Madeira, un puissant affluent de l' Amazone, Porto Velho est aujourd'hui une ville moderne reliée par un important réseau routier au reste du Brésil.

Le nom de Porto Velho signifie «Vieux-Port", la ville a grandi autour d'un port, sur les rives du fleuve Madeira.

Pendant plusieurs siècles, ni espagnol ni le portugais n’avait intérêt à explorer une région si profondément dans la jungle, seuls les bandeirantes et les Jésuites ont visité la région, à la recherche de l'or et des Indiens.
Au 18ème siècle, une forteresse a été construite dans ce qui aujourd'hui est Guajará-Mirim, la forteresse, cependant, était destiné à établir des frontières, pour ne pas développer la région.

Depuis le milieu du siècle. XIX, dans les premiers mouvements de construire un chemin de fer qui permettraient de surmonter les rapides de la dernière ligne droite du fleuve Madeira (environ 380 km) et de, l'emplacement choisi pour la construction du port où le caoutchouc serait débordement puis suivre pour les navires en Europe et aux États-Unis, a été Madère Saint-Antoine, dans la province du Mato Grosso.

Au début du 20e siècle, en raison du différend entre la Bolivie et le Brésil sur les territoires de l'Acre, dans le cadre du Traité de Petropolis, qui a défini les frontières entre les deux pays, le Brésil s'est engagé à construire une voie ferrée entre Santo Antônio do Madère et Vila Bela, celui-ci près de la rivière Mamoré. La Bolivie aurait le droit d'utiliser le chemin de fer pour acheminer leurs produits, dont la ventilation du caoutchouc produit en Bolivie et dans la région de Guajara-Mirim, vers la rivière et de l'Amazonas vers l'océan Atlantique, et de là vers l'Europe et la côte-Est américaine.

Le chemin de fer est devenu connu sous le nom de Madère-Mamoré. Il était de 366 km de long, et beaucoup d'hommes moururent lors de la construction (beaucoup étaient des étrangers, pas capables de supporter le paludisme). Cependant, l'économie a bénéficié des montants massifs de l'argent injecté par le gouvernement.

Un petit village a été construit, pour accueillir les travailleurs du chemin de fer, le village est aujourd'hui Porto Velho, capitale de l'Etat.

     Le 15/01/1873, l'empereur Pedro II a signé le décret-loi n ° 5024, autorisant les navires marchands de toutes les nations à utiliser le Rio Madeira. En conséquence, des installations modernes ont été construits pour l'accostage à San Antonio, qui est devenu connu sous le nom de Porto Novo.

A dix-huit kilomètres de Porto Velho est la cascade Teotônio dont la violence des eaux sont en contraste avec le calme du village de pêcheurs de Teotônio.

 

L'histoire moderne de Porto Velho commence avec la découverte de la cassitérite (minerai d'étain) dans les anciennes plantations à la fin des années 50, et de l'or dans la rivière Madeira. Mais surtout, la décision prise par le gouvernement fédéral dans la fin des années 70, l'ouverture de nouvelles frontières agricoles dans le territoire fédéral de l'époque de Rondonia, comme un moyen d'occuper et de développer la région en vertu des principes du règlement de sécurité nationale.

En plus de soulager les tensions terres principalement dans les États du sud, par le transfert de population importante pour le nouvel Eldorado Près de 1 million de personnes ont migré de Rondônia, et Porto Velho a évolué rapidement, passant de 90.000 à 300.000.

La ville (et l'État) est devenu un creuset de nouvelles, où se mélangent les habitudes et les accents de toutes les régions du pays.

Cette migration a entraîné une très forte croissance explosive de la ville, en particulier dans les années 80. Aujourd'hui urbe montre les blessures résultant de cette croissance incontrôlée. Les banlieues ne sont qu’un peu plus qu'un groupe de cabanes en bois recouvertes de paille, sans ordre ni infrastructures.

La réduction du taux de croissance de la population de cette décennie, par ailleurs, a permis aux résidents rapidement et aux organismes publics de mettre en œuvre des améliorations qui sont déjà visibles.

 

    La ville a maintenant l'Université fédérale de Rondônia (UNITE), qui a des campus dans plusieurs villes de pointe, et quatre collèges privés, dispensent tant la formation professionnelle que l’accès à certains métiers de renom: avocats, économistes, mathématiciens, les comptables, les administrateurs, les géographes, les dentistes, les biologistes et de traitement de données.

    Et il ya une relation d'amour véritable entre les personnes et de la rivière, on dit que ceux qui boivent de ses eaux, même si ils s'en vont, reviennent toujours.

'Altitude par rapport au niveau de la mer - 98m

L’altitude par rapport au niveau de la mer n’est que de - 98m !

 

Je vous avais mis un premier mot ici, ce matin expliquant mon incapacité depuis hier soir de vous poster qui que ce soit. J’escomptais que c’était fini et m’apprêtais à vous envoyer cet article, mais chou blanc ! Espérons que cette fois ci sera la bonne sinon….

 

 

Ouah !!! après plus d'une heure !!! Espérons que cela restera tel quel en cours d'envoi !

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