3446 Message de Notre Dame Paix Anguera- Ribeiropólis/SE-Brésil Pédro Régis– 01/03/2011
Chers enfants,allez de l'avant sans peur. Vous n'êtes pas seuls. Je suis à vos côtés avec Mon Fils Jésus.Réjouissez-vous, car vous êtes aimés, un par un, du Père, dans le Fils et par l'Esprit Saint.Ne vous éloignez pas du chemin que Je vous ai indiqué au fil des ans. J'ai besoin de votre Oui sincère et courageux.
Ayez courage, foi et espérance.Ne permettez pas au diable de vous asservir. Cherchez des forces dans le Seigneur. Dans vos faiblesses faîtes appel à Lui qui est votre Bien Absolu et vous connaît par vos noms. Fortifiez-vous dans l'amour du Seigneur. Ne laissez pas les choses du monde vous écarter de la vérité. L'humanité est malade et a besoin d’être guérie. Pliez les genoux dans la prière.
Tijuana appellera à l'aide et Mes pauvres enfants vont pleurer et se lamenter . Toco portera une lourde croix, mais savourera une grande victoire. Ne reculez pas. C’est le temps de grâce pour vous tous.Je Me réjouis d'être ici. Je prierai Mon Jésus pour vous.
C'est le message que Je vous transmets au nom de la Très Sainte Trinité. Je vous remercie de Me permettre de vous réunir ici une fois de plus. Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.Soyez en paix. Amen.
Du blog :Tijuanaest la plus grande ville de l'État mexicain de Basse-Californie et le chef-lieu de la municipalité de Tijuana. Elle est surnommée TJ. C’est un amas de baraques construites sans ordre ni méthode en plein coeur d’un paysage désolé de collines désertiques.
C’est une ville frontière du Mexique et des Etats-Unis, avec une réputation touristique un peu particulière. C’est un bon endroit pour vivre et pour mourir, parait-il. « Welcome to Tijuana, chante Manu Chao. Tequila, sexo y marihuana » [Bienvenue à Tijuana. Tequila, sexe et marijuana].
La plage deTijuana, qui touche la ville de San Diego n’y rêver pas trop, c’est une plage interminable, au bord de l’océan Pacifique, coupée en deux par un mur de métal dévoré par la rouille, le salpêtre et les intempéries, est un symbole lourd de sens : côté mexicain du mur, la plage grouille de familles nombreuses, de couples et de bandes d’enfants qui prennent le soleil sur le sable ou perturbent l’eau calme de l’océan ; côté gringo*, la plage est complètement déserte, c’est une sorte de no men’s land à l’exception de la présence abominable, de deux voitures de la migra, la police anti-immigration des Etats-Unis, qui, immobiles comme des tigres au repos, gardiens féroces du paradis de la prospérité, veillent à ce que personne ne viole cette frontière de fer et vous avez bien compris dans quel sens risque de se faire la migra en question !.
nombreux sont ceux qui la franchissent chaque jour, parce que le désespoir a toujours été plus fort que la peur et parce qu’on ne peut pas mettre de portes au milieu des champs. Le mur qui vient mourir sur cette plage infiniment triste mesure environ 40 kilomètres de long. Sa structure est similaire à celle de l’ancien mur de Berlin : d’abord une palissade de métal, ensuite une zone intermédiaire survolée par des hélicoptères et parcourue continuellement par des véhicules de surveillance et, finalement, une grille. Au bout de ce mur artificiel commence un mur naturel, encore plus long et plus impitoyable : des rivières aux eaux tumultueuses, des déserts glacés et brûlants où des familles entières, des enfants, des femmes et des vieux meurent chaque jour de noyade, d’épuisement, de déshydratation ou de froid. Ces cinq dernières années, plus de cinq mille personnes, soit trois par jour, ont perdu la vie ainsi, dans l’indifférence absolue du gouvernement des Etats-Unis et avec la complicité active du gouvernement mexicain, qui, au lieu d’adopter toutes les mesures de pression à sa portée - et il y en a beaucoup - pour stopper cette hémorragie continuelle, se contente de simulacres de protestation destinés à la galerie. Si le mur de Berlin était surnommé le “mur de la honte”. Comment devrait-on appeler celui-ci qui ne sépare pas deux idéologies comme celui de Berlin, mais les riches des pauvres. ? Et qui s’insurge contre son instauration ?
Mur qui fait de TJ la ville frontière où tous les " latinos " ont l’espoir de réaliser leur " rêve américain " en passant la fameuse limite. Seulement, il existe deux accueils : le bon qui se concrétise dans l’exploitation de cette main d’œuvre presque gratuite, et le mauvais : la mort provoquée par les balles américaines.
Toco, du nom du mont chilien El Toco situé à proximité.
La Pampa del Toco se trouve au nord du Chili, entre Antofagasta et Iquique, c'est l'une des zones les plus sèches de la planète, où l'indice d'érosion est si bas qu’il est resté égal depuis 25 millions d'années. La région, habitée depuis cinq mille ans par des groupes de chasseurs et de cueilleurs, a été occupée par la suite par des bergers, des groupes de caravaniers, des agriculteurs, des conquistadors et des salitreros.
Vous souvenez-vous de l’accident minier de Copiapó, de cet effondrement survenu le 5 août 2010 dans la mine de cuivre et d'or de San José de Copiapó du Nord Chili, qui laissa 33 mineurs bloqués sous terre. Initialement considérés comme morts, ces derniers surnommés « Les 33 » ont pu se mettre à l'abri dans un refuge de la mine et donner un signe de vie. Les opérations de sauvetage qui durèrent plus de deux mois eurent un très fort retentissement national et international la sortie de chacun d’entre eux étant saluée par des applaudissements et des cris de joie. Leur remontée à la surface, un à un, le 13 octobre 2010 après 69 jours sous terre se déroula en présence du Président du Chili.
Copiapó est la capitale de la IIIe Région d'Atacama, qui s'étend de la côte Pacifique à l'Ouest, jusqu'à la Cordillère des Andes à l'Est.
Les activités liées à l’exploitation du nitrate, jadis " l'or blanc ", eut besoin de beaucoup de main d’oeuvre et les familles en Bolivie, le Pérou, le Chili et l'Argentine ont été attirées vers Tarapaca et Antofagasta régions rurales du nord du Chili, où elle avaient leur première expérience dans le secteur minier.
Les travailleurs passaient toute la journée au travail. Après des semaines de travail dans le désert, ils n’en retiraient qu’un piètre salaire, servantt à peine à acheter des vêtements ou d'améliorer la qualité de vie de leurs familles.
Les femmes travaillaient comme couturières, cuisinières, blanchisseuses, femmes de ménage dans les maisons de gens riches ou travaillaient dans les épiceries. Dans de nombreux cas, pour obtenir un certain revenu, les femmes avaient recours à la prostitution, errant près des bureaux ou dans les ports d'expédition de nitrate (Iquique, Antofagasta et Tocopilla).
De nombreux travailleurs passaient une grande partie de leur salaire dans l'alcool et des jeux. La violence était facile à voir, parce que souvent il y avait des crimes de sang. Surtout que les licenciements, l'augmentation du prix des produits de base, le manque d'une loi sociale conduisait également au développement de la violence, qui s’exprimait dans le pillage ou la destruction des épiceries, des machines ou des bureaux. Jusqu’à ce que, au fil du temps, les travailleurs aient commencé à s'organiser, à former des syndicats et des mutuelles, et par ces biais ils aient commencé à exprimer leur mécontentement par des moyens pacifiques, y compris les grèves.
Pendant ce temps, parmi les leaders du Chili il y avait un grand nombre de personnalités politiques et des banquiers, qui menait une vie de luxe.Avec l'avènement de l'argent, une fièvre du profit saisi la classe dirigeante. En profitaient ainsi toute une oligarchie extérieure détentrice de l’argent qui leur perméttaient de les “d’acheter” - et oui elle n’est d’aujourd’hui cette pratique ! - notamment de riches anglais qui ignoraient même où pouvaient bien se situer ces lieux où ils détenaient cette main d’oeuvre productrice de leur augmentation de capital.
Entre 1900 et 1929 il a été la période la plus enrichissement qui pourrait être désigné comme la “Belle Epoque” du Chili. Toutefois, les avantages de ces années n’ont été utilisées que par un petit groupe de privilégiés.
La fièvre du sel a persisté dans la Bourse de Londres jusqu'en 1889, alors le cycle de ce minéral, dans les pays d'Amérique du Sud en a été affecté, mais s’est réellement terminé que dans la décennie de 1930, après une série de crises suite à l'invention du nitrate de synthèse et de la dépression des années 30 , qui a fait tomber les exportations de nitrate de 90%.
Actuellement, les colonies minières ne sont que des villes fantômes. Ces ruines peuvent être visitées et ils peuvent voir le témoignage de cette période de splendeur.
La richesse du sous sol de la région et la pauvreté des gens font que d’autres sources minières sont venues prendre le relais, la situation des travailleurs a forcément évoluée, mais l’appât du gain persiste et les contraint toujours à devoir accepter des conditions de travail pouvant mettre en danger leur sécurité et même leur vie.
C’est ce qui est apparu en ce qui concerne « Les 33 ».
En marge des enquêtes sur l'éboulement du 5 août, le député Carlos Vilches de l'Union démocratique indépendante a rapporté des détails accablants, confirmés par des mineurs, sur des problèmes de sécurité à l'intérieur de la mine San José que la direction aurait ignorés. En outre, trois heures avant l'éboulement, les mineurs ont signalé des bruits importants résonnant dans la mine et ont demandé à sortir, mais la direction de la mine le leur a interdit.
Mais ce sujet éveille d’autres remarques en moi et je me suis déjà trop épanché ici, je vous propose de retrouver la suite, ainsi qu’un complément surTijuana, soit en réflexion de carême ou dans un prochain article.
Toco, est aussi un petit village américain situé dans le comté de Lamar de l'état du Texas. Le village s'étend sur 0,4 km² et compte 89 habitants depuis le dernier recensement de la population. Le village Toco est situé à 10 km au Sud-Ouest de Paris la plus grande ville des environs et cela avive mon attention en fonction du précédent message de Notre Dame :
3444 Message de Notre Dame Paix Anguera-Bahia-Brésil Pédro Régis – 26 Février 2011
La Mort passera par Tarma et Passos (par Étapes). Souffrances similaires seront vécues par les habitants de Paris.
Toco, ou Toko(de Quechua) est également une localité dans le département de Cochabamba dans le centre de la Bolivie . Il est le siège de la municipalité Toco, la deuxième section de commune de la province allemande Jordán. La population de la ville a augmenté durant la décennie en cours d'environ 30 %, au moment du recensement 2001, elle avait une population de 827 habitants elle atteint 1.042 habitants (estimation 2008).
Et il doit en avoir d’autres….