Carême 2012 - 06/07/08 Mars 2012

Publié le par monSeigneur et monDieu

Pas N°9/10/11

 

Je prends aujourd'hui à témoin contre toi le ciel et la terre : je te propose de choisir entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance,

Livre du Deutéronome 30,19

 

« Alors, si mon peuple qui est appelé par mon nom s’humilie, s’il prie, cherche ma face et se détourne de ses mauvaises voies, moi, j’écouterai des cieux, je pardonnerai leurs péchés et je guérirai leur pays. »

(2 Chroniques 7,14)

 

Vous souhaitant un saint et fécond Carême, je vous confie à l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie et, de grand cœur, j’accorde à tous la Bénédiction apostolique. (Notre Saint Père)

Du Vatican, le 3 novembre 2011.

 

 

Nous avons vu qu’après avoir parlé bien des fois par les prophètes, Dieu parle de façon définitive par son Fils (He 1,1) quand arrive la plénitude des temps (Ga 4,4). Jésus est le Fils unique et éternel (Col 1,13-15), le Verbe qui est en Dieu et qui est Dieu face au Père (Jn 1,1 ; Ap 19,13).

 

Le Fils de Dieu s’est fait homme (Jn 1,14). Jésus, homme authentique, n’est ni un fantôme, ni Dieu déguisé en homme ; il a connu les servitudes de la vie et il est mort sur la croix (Ph 2,6-11 ; Ga 4,4). Sauf lors de la transfiguration (Lc 9,32), la gloire qui appartenait au Fils ne s’est pas manifestée dans son humanité (Jn 1,15 ; 17,5) ; Jésus devait se former par la souffrance comme tout autre homme (He 5,7-8). Dès le commencement Jésus était conscient de qui il était (Lc 2,49 ; He 10,5) : cela ne veut pas dire qu’il savait tout, il a découvert peu à peu les exigences de sa mission

 

Jésus alors entre dans notre histoire. L’évangile situe sa naissance (Lc 2,1 ; Mt 2,1 ; Jn 7,42), le commencement de son ministère public (Lc 3,1-2 ; 3,22), sa mort du temps du gouverneur Pilate et du grand prêtre Caïphe (Jn 11,49). Il est né à Bethléem, il a grandi à Nazareth (Mt 2,23 ; Lc 4,16) où il a travaillé ; il ne s’est fait le disciple d’aucun maître (Jn 7,15).

 

Jésus a ensuite commencé par prêcher dans les synagogues (Lc 4,15 ; Mc 1,21), proclamant le Règne de Dieu (Mc 1,15 et 110-118). Puis il rassemble des foules (Mt 5,1 ; 14,14). Après un temps, une crise se produit « Dès lors, beaucoup de ses disciples se retirèrent, et ils n'allaient plus avec lui. » (Jn 6,66) et Jésus se consacre à la formation de disciples (Mc 9,31) qui seront le premier noyau de son Église (Mt 16,16 ; Lc 22,24-32). Ensuite, il se prépare pour sa mort suivie de sa résurrection.

 

Dans sa façon d’être et d’agir Jésus se distingue, car si Jésus fait des miracles comme avaient fait les prophètes, Il y démontre une autorité divine (Mc 2,27 ; Mt 5,22 ; 5,28 ; 5,32), Il se met à la place qui convient à Dieu seul (Mc 2,1-12 ; Lc 7,36-50 ; Mc 8,34-38), et se déclare Un avec le Père (Mt 11,26-27 ; Jn 5,18 ; 8,58 ; 10,30 ; 10,37-38).

 

Mais Jésus refuse généralement le titre de Fils de Dieu (Mc 3,11 ; 5,7) parce que ce titre ne s’appliquait qu’aux rois d’Israël (2S 7,14 ; Ps 89,27), ou à un libérateur de la nation au nom de Dieu, or Jésus était le Fils dans un sens très différent. Il prend donc le titre de Fils d’homme (Mt 26,64), faisant allusion à Daniel 7,13.

Pierre le premier (Mt 16,16) et ensuite l’Église, reconnaissent Jésus comme le Fils de Dieu (Ac 9,20). Voir 140-145.

 

Néanmoins l’image du Serviteur Souffrant se trouve aussi dans Za 12,10-12. Dans Dn 7,13,

« Je contemplais, dans les visions de la nuit : Voici, venant sur les nuées du ciel, comme un Fils d'homme. Il s'avança jusqu'à l'Ancien et fut conduit en sa présence. »

…le Fils d’Homme, venant de Dieu lui-même, appelé à dominer le monde, est l’image du peuple saint (7,27). Cependant Jésus revendiquera pour lui-même cette prophétie : Mt 24,30 ; 26,64. ZA 12 ; 10-12 :

« 10  Mais je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers moi. Celui qu'ils ont transpercé, ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique ; ils le pleureront comme on pleure un premier-né.11  En ce jour-là grandira la lamentation dans Jérusalem, comme la lamentation de Hadad Rimmôn, dans la plaine de Megiddôn.12  Et il se lamentera, le pays, clan par clan. Le clan de la maison de David à part, avec leurs femmes à part. Le clan de la maison de Natân à part, avec leurs femmes à part. »

 

Pourtant les Scribes et les Pharisiens qui connaissaient les Écritures Saintes n’ont pas fait le lien, pas plus lors de l’annonce de la Naissance du Messie par les Mages. Ainsi comme nous le dit le Seigneur, ce n’est qu’avec les yeux du cœur et de l’Esprit qu’il nous est possible de la discerner et d’apprendre à Le connaître.

 

Le Fils éternel du Père n’est pas descendu du ciel vers l’humanité, mais il est né d’un peuple, Israël, et d’une femme (Ga 4,4), Marie, associée au plan du Père d’une manière unique (Lc 1,26). Celui qui devait être accueilli par « la vierge d’Israël » est né d’une mère vierge (Mt 1,18 ; Lc 1,26). La foi de Marie et son consentement permettent que l’œuvre de l’Esprit s’accomplisse en elle (Lc 1,45).

 

Marie intervient dans l’Évangile : pour la sanctification de Jean-Baptiste (Lc 1,39), au début du ministère de Jésus (Jn 2) et pour nous accueillir comme ses enfants adoptifs (Jn 19,25). Sa grandeur n’est pas d’être liée à Jésus selon la chair, mais d’avoir cru (Mc 3,31 ; Lc 11,27). Elle est mentionnée dans la première communauté (Ac 1,14).

 

Je crois bien que c’est le développement de cette partie qui m’a valu la perte de mes textes de Carême.

En effet quoi qu’au départ je n’avais pas prévu de traiter en détail cette partie, lors de la relecture cela s’est impérativement imposé à moi. Marie c’est ma Mère et je la conçois ainsi aussi loin que je remonte dans mes souvenirs.

Et quoi qu’auparavant ne lisant pas la Bible, il m’apparaissait évident que Marie n’ait pas eu d’autres enfants après Jésus. Dieu à mon sens devant s’anéantir en prenant la condition de Sa créature, ne pouvait pas ne pas avoir prévu une mère qui Lui soit digne.

Entre ma 25 et 28ème année, la parente âgée d’une voisine, adventiste de confession, face à ma « foi » de non pratiquant régulier qui en tant que tel ignorait presque tout de la Bible, quelques fois pensant me désarçonner, me déclarait qu’il était stupide de penser que Marie était demeurée vierge. Moi avec mon aplomb de l’ignorant qui cependant a une certitude : car même si je n’avais pas approfondi les connaissances acquises au catéchisme, je ne contestais aucun des dogmes reçus et entendais bien les conserver et les faire respecter (ce n’est qu’après ma « conversion » qui depuis se poursuit chaque jour que j’ai réalisé avoir toujours eu en moi certaines choses profondément ancrées et sans que j’en sois cause.), je lui répondais alors que j’ignorais totalement si Marie était ou non demeurée vierge, quoi que je ne voyais pas pourquoi elle ne le serait pas puisque tout mécréant comme je l’étais, en présence de Dieu dans ma vie, je l’aurait sûrement été. Mais que de toutes les façons je ne comprenais pas où elle voulait en venir puisqu’au fond, il s’agissait d’un détail qui n’était pas fondamental à ma foi. Qu’elle ait eu ou non des enfants après Jésus, Marie est et demeure la Mère de Dieu. Jésus l’étant me l’ayant en plus donnée comme Mère sur la Croix en la personne de Jean, aussi je la reçois volontiers en tant que telle et ne permets donc pas à quiconque de vouloir se croire autorisé à ne pas lui porter respect.

Là c’était la preuve évidente que trop souvent, un certain nombre d’entre nous traversent une partie de leur vie sans malheureusement se sentir « concernés » par la Parole. D’où l’impératif dans les temps où nous sommes de chercher à la lire fréquemment afin qu’elle nous modèle petit à petit. Or le temps se fait court !

 

Sitôt ma « conversion » qui a durée l’espace de quelques secondes, j’ai en plus d’un amour incommensurable m’ayant littéralement envahi et transformé dans tous les sens du terme, éprouvé un grand besoin de prier, de lire la Parole, et de m’entretenir avec Marie et Jésus qui désormais font partie de ma vie.

Et naturellement j’ai cherché à comprendre pourquoi nos frères séparés le sont. Et ce qui se joue en dessous. Je me suis rendu compte du sens d’un des noms de l’autre : le « diviseur » et vu comment à la suite de cette sédition, qu’elle qu’en soit les motifs évoqués par les uns et les autres, s’en est suivie une multiplicité d’obédiences se disant toutes chrétiennes dont les TJ, que je qualifierais plus de Jéhovaïste, mais qui prétendent être chrétiens et quand je demande aux malheureux qui s’évertuent à vouloir m’entretenir, le sens de ce mot, je suis très surpris des explications qu’ils me sortent qui ne prouvent que ce que je leur rétorque alors : qu’ils ne peuvent l’être sans professer que Jésus est Seigneur donc Dieu, vrai homme et vrai Dieu et que c’est par Lui que nous vient le Salut. Tout comme notre Dieu est Trinitaire.

Or pour eux, Jésus est tout sauf Dieu et l’Esprit Saint n’est qu’une invention dont ils ne trouvent pas trace dans la Bible !

 

Par ailleurs, je constate cette tendance à vouloir diaboliser les Catho qu’ont nos frères séparés. Il suffit de lire les témoignages de ceux qui après moult luttes contre l’Esprit Saint les menant là où Il désire, capitulent en reconnaissant qu’ils pensaient surtout pas devenir Catho tant nous leur paraissions dans l’antichambre de l’autre. Cela ne repose sur rien de valable, sinon à entretenir des « armes » bien aiguisées entre enfants d’un même Père qui nous a demandé d’être UN. À défaut de s’entendre sur tout ce qui nous divise, au moins le respect mutuel devrait interdire aux uns et aux autres de se traiter de suppôts de satan !

 

Je vais donc revenir à ce que m’inspire ma douce Mère Marie.

 

Notre Sainte Mère Marie appelée plus communément, la vierge Marie par les Catholiques, a une place toute particulière dans le plan de Dieu : c’est par elle que le Sauveur est venu dans le monde.

 

La naissance virginale de Jésus, ne pose pas de problème particulier aux chrétiens car elle est très explicitement exposée dans la Bible.

 

Elle est prophétisée dans l’ancien testament par Isaïe, ch 7, 14 :

« C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : Voici, la jeune femme est enceinte, elle va enfanter un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. »

 

À l’annonciation, Marie, vierge, est fiancée à Joseph. L’ange Gabriel, lui apparaît et lui annonce qu’elle sera la mère du « Fils du Très-Haut ». Contrairement à Zacharie, l’époux d’Elisabeth, elle ne doute pas un instant, mais s’interroge sur la faisabilité, car elle ne « connaît » pas d’homme,  l’ange lui répondit :

« L’Esprit Saint viendra sur toi et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi l’être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu ». (Luc 1, 26-38)

Ce n’est donc que par la grâce de Dieu, que Marie se retrouve enceinte de Jésus.

 

Et cela est dit de façon encore plus explicite dans l’Évangile de Mathieu.

 

Une fois couverte par l’Esprit, Marie est enceinte alors qu’elle n’habite pas avec Joseph. Ayant eu l’annonce de la maternité de sa cousine Elisabeth, Marie éprouve le désir d’aller lui apporter son aide. Joseph l’accompagne jusqu’à chez Zacharie où il la laisse car ayant à traiter différentes choses. Il poursuivant sa route et doit au retour la récupérer. Quand ils se revoient Marie est enceinte d’un peu plus de 3 mois, puisque Jean Baptiste est déjà né. Joseph, le voyant ne peut penser qu’à une faute de la part de Marie, par attention envers elle, il projette de la répudier sans bruit. Lorsque l’Ange du Seigneur lui apparaît, et lui dit :

« Ne crains pas de prendre chez toi Marie, ta femme, car ce qui a été engendré en elle vient de l’Esprit Saint » (Mat 1:20)

Et Mathieu poursuit :

« 22  Or tout ceci advint pour que s'accomplît cet oracle prophétique du Seigneur : 23  Voici que la vierge concevra et enfantera un fils, et on l'appellera du nom d'Emmanuel, ce qui se traduit : "Dieu avec nous. »

Confirmant ainsi qu’il s’agit de l’accomplissement de la prophétie d’Isaïe.

Et c’est dans ce sens que les premières générations de chrétiens ont toujours compris les Écritures.

 

Mais si la virginale naissance de Jésus est confessée à l'unanimité par les chrétiens, c’est-à-dire que Marie a conçu Jésus du Saint-Esprit, sans l’intervention d’un homme. La suite nous divise.

 

C'est pour cela que j'ai précisé Marie : « appelée plus communément, la vierge Marie par les Catholiques ».

Effectivement pour la grande majorité des Catholiques pratiquants Marie, dont l'avènement de Jésus n'a point altéré la virginité de Sa Mère, est demeurée vierge après la naissance de Jésus.

 

Cette profession de Sa « virginité perpétuelle » nous divise car les églises issues de la réforme s’opposent farouchement à cette idée.

 

Mais avant d’aborder ce point je vais revenir à l’annonciation.

Voici ce que dit l’Ange à Marie :

Le sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, du nom de Nazareth,27  à une vierge fiancée à un homme du nom de Joseph, de la maison de David ; et le nom de la vierge était Marie.28  Il entra et lui dit : « Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi. »29  A cette parole elle fut toute troublée, et elle se demandait ce que signifiait cette salutation.30  Et l'ange lui dit : « Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu.

 

J’en déduis que l’Ange salue (1) Marie en lui disant « Réjouis-toi, comblée de grâce (2), le Seigneur est avec toi. (3) »

 

Voici notre « Je vous salue Marie » que nos frères séparés disent ne pas en connaître l’origine et s’en servent pour nous diaboliser.

En s’adressant ainsi à Marie l’Ange de Dieu, ne se méprend pas à l’adorer, ni à la concevoir comme étant Dieu, me semble t’il ?

Pourtant c’est une créature de Dieu que nous n’égalons pas ni en connaissances, ni en sainteté. Il sait qu’il s’adresse, lui « l’envoyé du Très Haut », à la « choisie du Très Haut », à la future Mère du Verbe.

Et nous en prononçant ces paroles ferions un blasphème ?

Arrêtons nous un court instant et profitons donc pour dire un je vous salue en faveur de tous les enfants en détresse de la Mère :

 

Je vous salue (1), Marie pleine de grâces(2) ;

Le Seigneur est avec vous. (3)

Vous êtes bénie entre toutes les femmes (4)

Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni (5).

Sainte Marie, Mère de Dieu (6),

Priez pour nous, pauvres pécheurs,

Maintenant, et à l'heure de notre mort.

Amen.

 

Le Je vous salue Marie est une prière composée de deux parties définies à des époques différentes.

 

La première partie est l’antienne Ave Maria, paroles de l'ange lors de l'Annonciation (Luc 1,28)

 

« Elle (Marie) entra chez Zacharie et salua Elisabeth.41  Et il advint, dès qu'Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, que l'enfant tressaillit dans son sein et Elisabeth fut remplie d'Esprit Saint.42  Alors elle poussa un grand cri et dit : « Bénie es-tu entre les femmes (4), et béni le fruit de ton sein (5) !43  Et comment m'est-il donné que vienne à moi la mère de mon Seigneur (6) ? »

 

…et d'Élisabeth au moment de la Visitation (Luc 1,42), en usage depuis le Ve siècle.

Regardez en (6) comment Elisabeth sous l’emprise du Saint Esprit qualifie sa cousine Marie. Le titre de Seigneur à cette époque ne désignait que Dieu dont on ne prononçait pas le Nom, donc déjà Elisabeth donne à Marie le titre de « mère de Dieu », ni plus, ni moins !!!

Il est cependant coutumier de dire que la seconde partie comporte le titre de Théotokôs (« Mère de Dieu »), défini au IIIe concile oecuménique, le concile d'Éphèse, en 431 (Époque où je vous le signale il n’y avait aucune dissension entre Chrétiens.). Cette seconde partie du Je vous salue, Marie sont aussi les ultimes paroles prononcées sur son lit de mort par saint Simon Stock, supérieur de l'Ordre du Carmel, en 1265 : « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen. »

L'Église joignit ces paroles à cette prière, ce qui donna sa forme définitive à l'Ave Maria.

 

Aussi n’hésitons pas à empoigner le plus fréquemment notre Chapelet et dédions nos Rosaires pour toutes les intentions célestes et pour les nôtres.

Le seul qui n’apprécie pas cela et fuit quand nous récitons cette prière, c’est l’antique serpent, qui sait attiser les passions et dresser les uns contre les autres. C’est ainsi qu’il règne : dans la discorde et l’incompréhension.

Dieu Lui n’est que Lumière, Amour et Paix !!!!

 

Nous allons ici clore ce pas

Que le Seigneur nous bénisse tous sans distinction !

 

PS : Comme nous finissons sur une note ayant trait à la prière permettez que je vous soumette une intention de prière venant de me parvenir :

 

Demande de prières

 

Fraternelles salutations!

 

Une décision claire doit être prise à Pâques au plus

tard dans un cheminement vers le ministère ordonné.

Merci de vos essentielles et ferventes prières !

 

Joseph A

Publié dans 40 jours--->Pâque

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article