JNSR – Travail de réflexion de juin et juillet 2012 – N°3

Le  moment  de  la  souffrance.

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Avant Sa naissance dans la chair, étant alors la Parole, Jésus inspira à son prophète Esaïe d’annoncer la brutalité qu’il allait devoir subir en tant qu’homme : « Son visage était défiguré. Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur, et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, Il était blessé par nos pêchés, semblable à un agneau  qu’on mène à la boucherie, frappé pour les pêchés de Mon peuple. Il a été mis au nombre des malfaiteurs, parce qu’Il a porté les pêchés de beaucoup d’hommes. » (Esaïe 52 : 14 ; 53 :3, 5, 7, 8,12.)

La Parole inspira des dizaines de propos semblables, annonçant Sa souffrance et Sa mort dans la chair. Ils furent consignés dans l’Ancien Testament. Ces prophéties annonçaient même certains détails, comme le fait que les soldats allaient tirer au sort Ses vêtements. (Voir Matth.27 : 35, 36 et Psaume 22 :19)

Finalement, le moment du sacrifice de Jésus arriva, Sacrifice ordonné avant même la Création de l’homme. L’Apôtre Paul a écrit : « Maintenant à la fin  des siècles, Il a paru une seule fois pour abolir le pêché, par Son Sacrifice. » (Héb. 9: 26)

Jésus S’offrit Lui-même en sacrifice hors de la ville de Jérusalem, il y a presque deux mille ans. Ainsi fut versé « le Sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tâche »

(I Pi.I : 19) pour l’humanité. Jésus qui n’avait jamais pêché, devint pêché pour l’humanité.

(II Cor.5 :21)

DIEU le Père assista à la scène tragique qui se déroula sur cette planète. Son propre Jésus était maltraité, et luttait contre le pêché et contre l’influence mauvaise de Satan. Le Père attendait en silence pendant que Jésus était livré aux coups devant ensuite être crucifié. Il pouvait évidemment arrêter cette folie humaine.

Mais si Jésus échappait à la mort, le Dessein éternel de DIEU s’effondrerait.

Rien ne pouvait l’arrêter, ni la peine, ni la douleur, ni même une mort horrible.

Jésus se préoccupa toujours davantage du sort de l’humanité que du Sien, même lorsqu’Il fut à l’agonie pendant Sa vie.

Fin du second chapitre : Par  Sa  Sainte  mort,  tous  peuvent  être  réconciliés.

Notre  dette  spirituelle  effacée.

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Par Sa mort, Jésus effaça la dette spirituelle, l’amende du pêché que nous avions contractée.

Le sacrifice de Jésus permet à l’homme d’établir une relation avec DIEU. L’Apôtre Paul a écrit à l’Eglise établie à Colosses : « En faisant la Paix par Lui, par le Sang de Sa Croix, vous qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises œuvres, Il vous a maintenant réconciliés par Sa mort dans le corps de Sa chair. » (Col.1 : 20/22.)

DIEU pouvait donc commencer à appeler certaines personnes, pour qu’elles sortent du pêché.

Dans la mesure où elles s’efforceraient de se soumettre à DIEU, Il pourrait appliquer le sacrifice de Jésus à leur vie. De la sorte, les prophéties concernant le pardon seraient accomplies. « Tu jetteras au fond de la mer tous leurs pêchés. » (Michée 7 : 19).

Comme le roi Ezéchias l’a dit : « Tu as jeté derrière Toi tous mes pêchés » (Esaïe 38 :17).

Les personnes «  appelées » allaient devenir « les élus » de DIEU.

L’Apôtre Paul leur écrit :

« Vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, vous qui autrefois n’étiez pas un peuple et qui maintenant êtes le Peuple de DIEU, vous qui n’aviez pas obtenu miséricorde et qui maintenant avez obtenu miséricorde. » (I Pi 2 : 9,10.)

Il reste un point à éclaircir. Pourquoi tout le monde n’a-t-il pas pu comprendre ces vérités ?

Pourquoi tous les hommes n’ont-ils pas eu une chance d’entrer dans le Royaume spirituel de DIEU ?

Des milliards d’hommes sont-ils pour ainsi dire perdus ? La réponse est non !

C’est ce qui va être développé page suivante…

C’est le programme de salut de DIEU.

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