Les soldats se moquent de Jésus - Père Melvin - Mercredi 23 mars 2011
Nouvelles données par Père Melvin
Le ciel est resté couvert toute la matinée hier et nous avons eu de la pluie jusque vers midi, puis ce fut l’apparition du soleil dans un ciel totalement bleu. La neige a fondu en grande partie.
Hier matin j’ai célébré la Sainte Messe dans le petit sanctuaire de Notre-Dame-de-l’Île-du-Prince-Édouard, et le soir je suis allé dans la paroisse Saint-Simon-et-Saint-Jude pour la Messe de 19h. J’y retournerai ce matin pour les Messes de 9h et de 11h.
Traduction : RF
Les soldats se moquent de Jésus
Enseignement donné par notre Seigneur et Sauveur - Mercredi 23 mars 2011
Les soldats de Pilate emmenèrent Jésus dans le palais du gouverneur et toute la troupe se rassembla autour de lui. Ils lui enlevèrent ses vêtements et le revêtirent d'un manteau rouge. Puis ils tressèrent une couronne avec des branches épineuses, la posèrent sur sa tête et placèrent un roseau dans sa main droite. Ils se mirent ensuite à genoux devant lui et se moquèrent de lui en disant : « Salut, roi des Juifs! » Ils crachaient sur lui et prenaient le roseau pour le frapper sur la tête. Quand ils se furent bien moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau, lui remirent ses vêtements et l'emmenèrent pour le clouer sur une croix.
En sortant de la ville, ils rencontrèrent un homme de Cyrène, appelé Simon; les soldats l'obligèrent à porter la croix de Jésus (Évangile de saint Matthieu 27.27-32).
Vous trouverez ci-dessous le message que notre Seigneur et Sauveur a donné à Joseph Melvin. Jésus lui a adressé les paroles suivantes :
« Je vous salue et je vous appelle, toi mon frère Joseph Melvin, et vous tous mes frères et mes sœurs de chacun des continents du monde. Venez, voyez combien j’ai souffert aux mains des soldats avant qu’ils m’envoient passer dans la rue en portant ma croix. Ils me mirent une couronne d’épines sur la tête et, s’agenouillant devant moi, se moquaient de moi en m’appelant "le roi des Juifs! " Ils placèrent un roseau dans ma main droite et le prenaient pour m’en donner des coups sur la tête. Ils crachaient aussi sur moi.
« À la fin ils me conduisirent jusqu'au lieu de ma crucifixion. Tout au long du chemin je portai ma croix, et trois fois je tombai sous son poids, écrasé de fatigue après avoir été tant battu par les soldats. Je parvins cependant à me rendre jusqu'au Calvaire. Pendant un certain temps, un homme appelé Simon de Cyrène m’aida à porter la croix, car on craignait que je meure avant d’arriver à l’endroit où je devais être crucifié. Toutes ces souffrances, je les ai offertes pour votre salut. »