Message À travers Marie - 14 septembre 2010 - 2

Publié le par monSeigneur et monDieu

Reprise que de la partie de la messagère, le texte entier sera redonné en fin de traduction.

 

Moi: Quand j'avais environ 18 ans - plus de vingt ans plus tôt,
J'ai eu ce rêve très puissant et je ne le comprenais pas encore à l'époque:

 

Dans le rêve, je courais et j'étais un cheval, un cheval sauvage. Je ne sais plus de quelle couleur était ma crinière (c’était il y a si longtemps), mais je continuais à regarder les chevaux à côté de moi, nous étions tous des chevaux sauvages courant si vite et libres. J'étais fasciné en observant tandis que nous courions les crinières multicolores: certaines étaient rouges, tachetées de blanc et de noir, tout noires, marrons, brunes avec des taches blanches, toutes de belles combinaisons.
Je profitais tout simplement de notre course et j'aimais la façon dont nous étions heureux en courant dans de nombreuses luxuriantes étendue vertes de champs avec rien d'autre que l’espace pour courir, courir courir C'était une journée ensoleillée et mon adrénaline augmentait parce que nous courions si vite sur des miles et des miles de champs ouverts. Bientôt je remarquai que nous courions en haut d'une pente, mais elle paraissait que douce par conséquent je n’ai pas fait attention à elle du tout.

 

Après un certain temps, j'ai remarqué que mes jambes étaient coincé dans les champs boueux et la boue rendait notre démarche difficile. Cela créait beaucoup de queue, mais faisant partie du troupeau, j'ai continué à courir. Plus tard, la boue atteignait déjà nos genoux, la pente devenait nettement plus raide, mais le troupeau avançait toujours. Aussi je notais que je perdais mon souffle parce que je voyais l'air devenir de plus en plus poussiéreux et l'air était dense de poussière et ma vision se brouillait aussi, ce n’était plus ensoleillé mais assombri. Il fallait beaucoup plus d'énergie pour continuer à courir. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce stade, je savais que le troupeau avançait vers sa mort. Je pris conscience de notre mort imminente comme troupeau.

 

********

 

Puis j'ai soudain bougé de perspective vers une autre scène, cette fois, j'ai vu que je plongeais d'une haute haute falaise et commençais à foncer vers la mer. Alors que colombe j'avais l’aspect humain encore.

 

 C’était de nuit parce qu'il faisait noir comme du charbon. Lorsque je suis entrée dans l'océan noir, je savais que je devais atteindre quelque chose au fond. J'ai continué à m’enfoncer plus et tout autour de moi il faisait noir, je ne regardais ni à droite ni à gauche, c'était un peu de claustrophobie due à son très sombre sombre noir tout autour de moi et une partie de moi commençait à s’effrayée, mais j'étais déterminé à arriver là où j'étais censée aller, mais ne savait pas ce que ni où je devais le faire, mais je me concentrais si durement sur cette tâche sur cette tâche. et sur autant de miles déjà, il semblait que j'avais plongé là-dedans si profond et mon souffle était si serré déjà car le peu d'air qui restait encore je savais sans savoir pourquoi que je devais continuer dessus.

Je me suis accrochée à mon objectif que je ne savais même pas alors ce que c'était.
 Je savais aussi, quand mon air serait épuisé, ce serait la fin de celui-ci, et j'étais pressée par le temps d'arriver à ma destination. Enfin, quand je pensais que tout le souffle était perdu pour moi, je l'ai trouvé, le plus grand coquillage de palourdes dans le fond océanique et avec mon dernier souffle, je l'ai ouvert.

 

Quand je l'ai forcé à s'ouvrir, la lumière de l'intérieur a immédiatement commencé à percer l'obscurité du fond océanique et je pouvais respirer de nouveau. Non seulement ça, à l'intérieur il y avait la plus magnifiquement grande perle sur laquelle j'ai jamais posé les yeux. Cela émanait de sa Lumière, la vibration qu'elle produisait était ce son silencieux qui a réussi à libérer tout autour de moi et je sus que les chevaux survivraient ou au moins qu’ils pourraient voir maintenant que là où ils se dirigeaient qu’il y avait une falaise abrupte et peut-être qu’alors qu’ils ne fonceraient pas vers leurs morts.

 

( à suivre)

 

Du blog : Ce texte est non seulement complexe, mais avant je dois reconstituer les phrases qui sont fragmentées, d’où un temps de traduction supérieur.

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