Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario - 09–10-2011 – Matin - FIN
… j'ai accompli ce que la Divine Volonté attendait de moi. J'ai servi mon Dieu, j'ai contemplé les merveilles que Dieu faisait pour moi. Je ne devançais jamais les désirs de mon Dieu. Bien que la Divine Volonté me nourrissait et me montrait tout, j'attendais, j'attendais que la Divine Volonté me dise quoi faire…
À Plantagenet, Ontario, par son instrument,
Pouvez-vous, mes enfants, réaliser le moment où la Divine Volonté m'envoya le messager pour me dire : «Tu es la Choisie. Tu porteras le Sauveur du monde.» Je rendais grâce à l'humilité de me couvrir. Je reçus cette joie avec tout mon amour en moi : « Miséricorde, mon Dieu d'amour! Miséricorde pour votre humble servante. Moi, moi, Mère de Dieu? Comme votre regard est bon sur moi, moi qui suis si petite.» La Divine Volonté m'avait comblée de grâces d'humilité pour que je demeure petite, petite et petite, la plus petite des créatures, mes enfants, de toute sa création. La plus petite poussière était encore plus grande que moi et Dieu me fit Mère du Fils de Dieu.
Mes petits enfants, toute ma chair exaltait d'humilité. J'avais besoin, j'avais besoin d'entendre Dieu m'instruire, mes enfants. Moi, qui étais si petite, je me gardais bien de montrer que j'étais comblée par la Divine Volonté. Tous ceux qui étaient avec moi, tous ceux qui étaient autour de moi devaient passer avant moi. Je servais, je priais pour eux. Ma chair et mon âme unies devant Dieu, je vivais tout cela avec l'amour de Dieu.
Mes amours, j'ai été près de la miséricorde de Dieu. La miséricorde de Dieu m'a nourrie. Comme j'ai prié la Miséricorde pour que la miséricorde s'étende sur tous les enfants de la terre. La Divine Volonté m'associa à la Miséricorde. Voilà pourquoi, mes enfants, lorsque le regard de mon Fils se pénétra, c'était dans mon regard qu'il se pénétra puisque j'étais, moi, en sa miséricorde. Mes enfants, j'ai vécu cela sur la terre. Moi, la Parfaite Marie, j'ai accepté la souffrance, votre souffrance, afin de m'associer à vous, mes enfants, par amour, par amour pour la Miséricorde.
Je vous comprends, mes enfants. Voilà ce qui est important pour une Maman de comprendre les enfants de Dieu. Il fallait donc que je vive vos souffrances. Il fallait donc que j'accepte, moi aussi, que Satan et les démons viennent pour me tenter. Je me suis inclinée et j'ai tout accepté par amour pour la Divine Volonté. Tout mon être, mes enfants, n'a pas été épargné. Mon âme a souffert, ma chair a souffert parce que mon oui était tout entier en la Divine Volonté. Aucun péché n'a pénétré ma chair, aucun péché n'a fait souffrir mon âme. C'est par amour que la souffrance s'est fait connaître en mon âme, en ma chair. Quel présent d'amour que je donnais à mon Dieu!
Lorsque mon Fils monta vers son Père, j'ai gardé dans mon Cœur tout ce que la Divine Volonté voulait que je garde : la Présence. Pas un instant, je ne quittai la Présence, la Miséricorde. Dieu le Père qui envoie son Fils unique sur la terre, Dieu le Fils qui vient en mon sein, Dieu le Saint-Esprit qui m'enveloppa de son ombre, tout était toujours présent. La Divine Volonté, mes enfants, était pour moi si bonne.
Lorsque le moment vint où je devais, à mon tour, rejoindre mon Fils auprès de Dieu le Père, auprès du Saint-Esprit arriva, mon âme ne se sépara pas de ma chair. La Perfection ne se sépare pas, mes enfants. Tout n'est que lumière, tout n'est qu'accomplissement en la Divine Volonté, par la Divine Volonté, pour la Divine Volonté. La Divine Volonté prépara ce moment d'amour. Tout mon être était envahi par l'amour. L'Amour m'invita à monter. L'Amour lui-même vint vers moi et je m'élançai vers l'Amour, car je n'étais pas en la volonté humaine, j'étais enfant de la Divine Volonté qui avait accepté d'être sur la terre. La Grâce monta vers la Divine Volonté. Les anges étaient tous là, mes enfants, car ils étaient dans l'admiration devant tant d'obéissance.
Pas un instant, mes enfants, j'ai hésité devant la Divine Volonté, pas un instant, mes enfants. Et la Divine Volonté fit de moi un enfant parmi la Trinité. Qui, autre que la Divine Volonté, peut donner tant que la Divine Volonté? La Divine Volonté n'a pas permis que ma chair soit ensevelie. Je ne devais pas connaître la mort. Ma chair ne devait pas quitter mon âme, ne devait pas connaître la décomposition, plus que les saints sur la terre, mes enfants, plus que les saints! Combien de saints sont morts et leur chair est encore devant votre regard. Leur chair est en un repos. Ma chair, mes enfants, n'a pas connu cela. Ma chair n'a jamais quitté mon âme, mon âme n'a jamais quitté ma chair, je suis l'Immaculée Conception. Je vous dis ces paroles, mes enfants, parce que la Divine Volonté l'a choisi. Je fus élevée de terre.
Mes enfants, il faut que vous croyiez en ce que le Ciel vous annonce : vous serez élevés de terre lorsque votre chair sera pure, avec votre âme. Il faut, mes enfants, que vous soyez obéissants. Oui, mes enfants, vous avez des attaques venant de l'extérieur. Lorsque vous acceptez de vivre cela et que vous donnez à Dieu ce qu'il attend de vous : vos droits d'enfants de Dieu, vous maintenez votre âme et votre chair dans l'obéissance.
Mes petits, maintenant que vous acceptez de mourir en la Miséricorde, c'est la Miséricorde, mes enfants, qui va tout prendre selon votre obéissance. Ce que vous entendez, vous devrez l'entendre encore parce que votre chair, mes tout petits enfants, est défaillante. Vous n'avez pas la science infuse encore; alors, soyez à l'école, faites bien vos devoirs et vos leçons. Dieu ne vous donnera pas de pénitence si vous oubliez, mais il dira : «Priez ma Mère, elle va vous donner des grâces de persévérance, afin que vous puissiez continuer à utiliser vos droits d'enfants de Dieu et que vous puissiez comprendre en écoutant ce qui a été dit en la Divine Volonté, par la Divine Volonté, pour la Divine Volonté, ces jours-ci.»
Maintenant, mes tout petits enfants, Maman va vous demander quelque chose. Voulez-vous terminer les deux dizaines qui vous restent? (R : Oui.) Alors, mes enfants, est-ce que vous aimez la Miséricorde? (R : Oui.) Est-ce que ce serait trop long pour vous, après vos deux dizaines, de faire le chapelet de la Miséricorde? (R : Non.) Cela vous préparera à la Sainte Messe. Je suis avec vous, mes enfants. Maman vous aime.
Salle : Nous aussi.
Marie : Je sais, mes enfants, je sais, mais j'aime que vous me le disiez souvent.