Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario - 08-10-2011 – Soir
… Qui peut t'aimer comme je t'aime ? Personne … Prends mes paroles d'amour, je vais prendre tes paroles qui ne sont pas amour pour moi. Je vais être une offrande d'amour et je vais présenter cela à mon Père, à Celui qui m'aime et que j'aime...
À Plantagenet, Ontario, par son instrument,
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque Dieu visite ses enfants, il ouvre notre cœur afin que nous puissions être une nourriture. Qu'un seul enfant guérisse, savez-vous ce que cela fait pour tous les enfants de la terre ? Des guérisons. On ne peut pas recevoir une seule guérison sans que les autres en reçoivent parce que la maladie, c'est quelque chose qui est venu s'installer sans qu'on l'invite. Et pour venir s'installer chez nous, eh bien, elle a voyagé. D'âge en âge, de temps avec le temps, elle s'est installée. Au tout début, elle était toute petite, elle ne se faisait pas remarquer. Avec le temps, on n'a pas réalisé qu'il y avait quelque chose qui nous dérangeait, alors elle prenait encore de la place. Elle s'arrangeait pour transformer notre caractère, elle s'arrangeait pour durcir notre cœur. Alors, on croyait que seuls nous-mêmes étions malades parce que là, elle se faisait connaître. Elle avait dû passer de cœur à cœur pour venir déranger les enfants de Dieu. Aujourd'hui, le Seigneur nous a demandé :
Jésus : « Donne-moi ta vie. Que lorsque tu viennes vers moi pour me donner ta vie, que ce soit un oui vrai et je vais prendre ta vie, je vais prendre ton oui. Je n'agirai pas par en arrière. Je te montrerai, je te montrerai que je t'aime. Je t'envelopperai de ce manteau d'amour, ce manteau de douleur que j'ai, moi, porté pour toi. Je te ferai ressentir mes plaies. Tu toucheras à ma chair blessée. Tu embrasseras mes pieds et je te dirai des mots d'amour, je te dirai combien je t'aime, combien j'ai pris soin de toi d'année en année, alors que la maladie était hypocritement installée en toi et que toi, tu ne voyais rien, que tu n'entendais rien. Je te dirai : j'ai pris soin de toi.
« Le temps, je l'ai passé avec toi d'année en année. Je t'ai donné mon amour et j'ai pris ta douleur. J'ai tombé pour que tu puisses, toi, tomber sur moi afin que tu puisses te relever. J'ai pris ton cœur qui avait de la difficulté à battre et j'ai fait battre mon cœur au rythme de l'amour pour que tu puisses ressentir mes battements d'amour. Comme je t'ai aimé et comme je t'aime! Tout ce temps où tu te regardais, tout ce temps où tu ne croyais pas en moi, je t'ai bercé, j'ai pris soin que tu ne m'oublies pas. J'ai dit à ton oreille, comme un souffle d'amour : je t'aime. Je te le dis tout bas pour pas que tu t'effraies, car tu es trop faible maintenant pour que je te crie mon amour.
« Tu es venu à ne plus croire en mon amour, mais moi, je continue à croire, à croire que l'amour que je dépose en toi fera jaillir de toi un cri d'amour : « Mon Dieu, mon Dieu, es-tu là? » Oh, que ce cri est bon d'être entendu par toi ! Il en a fallu du temps pour que tu cries. Moi, je n'ai pas voulu que tu sois malade, je n'ai pas voulu que ton cœur soit dur comme de la pierre, je n'ai pas voulu que tu te détournes de moi pour aller vers ce qui n'est pas bon pour toi. Moi, j'ai toujours pris soin de toi. Je t'ai aimé tel que tu es, regarde-toi. Ce soir, tu as avancé vers moi et je t'ai regardé. Hé que je t'ai regardé et que je t'ai trouvé beau, que tu étais belle dans ton vêtement de petitesse!
« Tu as avancé et tu t'es incliné devant moi qui suis ton Dieu et moi je t'enveloppais de ma lumière. Je te disais que je t'aime, je t'aime et je t'aime! Et lorsque je voyais une larme couler, je prenais soin de cette larme pour ne pas la gaspiller. Je l'embrassais parce que c'était des larmes vraies, des larmes de vérité. Je les connais, moi, ces larmes. Je peux les différencier avec des larmes d'indifférence. Qui peut t'aimer comme je t'aime ? Personne. Je sais que tu as été, dans ta vie, maltraité. Tu n'as pas su te regarder comme je te regardais. Tu as quémandé de l'amour auprès de ceux qui ne pouvaient pas t'aimer comme moi je t'aime. Tu as même accepté les insultes car tu t'étais trop engagé et on a abusé de toi. Et moi, moi qui attendais, qui attendais que tu sois mon prisonnier, ma prisonnière d'amour, je t'attendais, j'attendais ton « je t'aime », et j'étais toujours là, toujours là près de toi!
« Prends mon cœur et donne-moi ton cœur. Prends mes yeux et donne-moi tes yeux. Prends mes paroles d'amour, je vais prendre tes paroles qui ne sont pas amour pour moi. Je vais être une offrande d'amour et je vais présenter cela à mon Père, à Celui qui m'aime et que j'aime. Mon Père ne m'a jamais mis de côté. Mon Père m'aime et il m'aimera toujours car il est l'Amour. J'irai vers lui et je lui apporterai ce que tu me donnes et je lui dirai : Père, regarde mes yeux, entends mes paroles, je viens te les présenter parce que je sais que tu m'aimes et que tu m'aimeras toujours, que tu verras à travers moi ton amour. Oui, il comprendra que j'ai pris tout de toi par amour, par amour pour lui, car tu viens de lui. C'est lui ton Papa d'amour. Il m'a envoyé vers toi pour que tu puisses apprendre à lui dire : « Merci, merci de me guérir. Merci de m'enlever de ma chair cette maladie qui m'a empêché d'aimer sans condition ».
« Voilà ce que je présente à mon Père. Il est la Miséricorde. Je suis ta miséricorde car je me donne à toi. Je veux t'apprendre à reconnaître que moi, qui suis le Fils de Dieu, je suis la Miséricorde et je me donne à toi. Alors, prends-moi en toi et savoure-moi, car je suis ton seul amour. Je suis à toi. »
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Voilà pourquoi, ce soir, nous avons été touchés par un grand amour. Cet amour, il a voyagé ce soir. Il a été dans le temps, il a touché des cœurs. Il a habité chez lui ce soir pour que les enfants de Dieu soient eux aussi guéris. Toujours par amour, Dieu se donne ainsi pour nous donner au centuple.
Lorsque nous, on reçoit des guérisons, ces guérisons vont de cœur à cœur, de cœur à cœur, et elles donnent de la force et elles apportent le courage de continuer, de continuer à vivre sur cette terre, cette terre qui porte la trace de la maladie. Et comme cela voyage, cela arrive à son but : notre cœur. Cela est parti de notre cœur pour revenir à notre cœur. Notre Dieu d'amour nous demande beaucoup, mais il nous donne beaucoup. Nous avons un Dieu d'amour.
Il nous a donné notre Maman d'amour, la parfaite Marie qui, elle, a toujours pris soin de nous lorsqu'on se blessait. Parce qu'on ne disait pas des « je t'aime » à son Fils, elle se penchait sur nous : « Je vais mettre un baume sur tes plaies pour que tu puisses continuer à avancer et à croire que seul mon Fils peut te guérir. » Voilà que notre Maman d'amour a toujours été près de nous et elle sera toujours près de nous. Elle aussi, elle veut entendre un « je t'aime » mais le premier 'je t'aime' qu'elle veut entendre, c'est le « je t'aime » que l'on dit à son Fils : « Je t'aime, mon Dieu d'amour. » Et cela réjouit le Cœur de Maman parce qu'elle sait qu'elle aime, elle aime sans condition ses enfants.
Nous avons apporté beaucoup d'amour ce soir à ceux qu'on aime. Et si je vous demandais quelles sont les personnes que vous aimez le plus ? Je vais vous présenter un jeune garçon qui, lui, était dans la rue et qui cherchait l'amour. Il faisait de famille en famille pour chercher l'amour. Il voulait être aimé, mais il ne se sentait pas capable d'accepter cet amour. Il était, pour lui, indigne de cet amour parce que lorsqu'on lui parlait de l'amour de Dieu, il disait : « J'en suis indigne ». Il était tellement découragé qu'il s'est enlevé la vie. Alors, si je vous demandais : « Est-ce que, si je vous le présentais, est-ce qu'il serait pour vous un être que vous aimez plus que tout ? » Voilà ceux que nous devons aimer.
Nous devons les aimer très fort, très fort, car dans son regard, on y verra le regard de notre enfant; dans son regard, on verra le regard de notre frère, de notre sœur; dans son regard, nous nous verrons car nous venons tous de Dieu. Dieu veut que l'on soit un « je t'aime », un vrai « je t'aime » : aimer ceux que Dieu met sur notre route. Alors, demandons à Dieu : « Présente-moi ceux qui ont besoin d'amour et apprends-moi à être près d'eux, apprends-moi à ne jamais les quitter. Tel est ce que tu mets en mon cœur. Et que cela soit, car je sais que tu vas me donner l'amour pour que, moi, je sois amour pour eux. » Ce que Dieu fait pour nous, il le fait pour tous les enfants de Dieu. Demain, nous rencontrerons des enfants sur notre route et nous apprendrons à les aimer, à être patients envers eux, à les regarder.
Ce soir, le Seigneur m'a donné beaucoup de joie. J'ai vu deux bonnes amies s'embrasser alors qu'il y a quelques heures, elles ne savaient pas si elles étaient pour être capables. Devant Dieu, elles se sont jetées dans les bras de l'une et de l'autre. J'ai loué le Seigneur, j'ai remercié le Seigneur. Quelle guérison! Et après cela, j'ai vu une toute petite fille s'approcher de Jésus et lui ouvrir son cœur. Elle était si belle, elle est si belle, c'est l'enfant de Dieu. Nous sommes là pour l'amour, nous sommes créés pour l'amour.
Alors, voyez-vous combien de guérisons il y a eu ce soir? On ne pourrait pas dire tout ce que nous avons reçu, nous avons beaucoup reçu. Mais Jésus, il sait, lui, que nous avons besoin encore de guérisons. Alors, il dit tout bas : « Je t'aime. Je vais le dire encore tout bas parce que tu n'es pas encore prêt à l'entendre fort, fort, fort, car tu serais écrasé par mon « je t'aime ». Je vais donc le retenir encore, mais un jour tu devras l'entendre. Tu seras prêt pour cela ? Que cela soit.» C'est notre Dieu, c'est notre seul amoureux. C'est facile pour les femmes, hein? Mais pour les hommes… il faut que vous acceptiez ça. Jésus est votre seul vrai amoureux, car c'est un amour inconditionnel, c'est un amour qui vient du Cœur de Dieu et cela, personne, personne ne pourra le comprendre tant il est grand. Mais nous le vivrons sans pour cela en connaître la mesure car cela est trop pour nous. Que chacun de nous puisse aider les uns et les autres à aimer comme Dieu veut être aimé.
Dieu va nous apprendre à l'aimer tel qu'il veut qu'on l'aime : l'aimer plus que tout, l'aimer plus que le matériel, l'aimer plus que les sentiments qui nous ont été développés sans que nous, nous le sachions. Parce que vous savez, les sens savent nous jouer des tours. Le palais aime ce qui ne doit pas être aimé : chocolat, chocolat, chocolat, chocolat. Ça, c'est un exemple. Alors, voyez-vous que Dieu sait ce qu'il dit ? Lui, il aime avec le Cœur, son Cœur, et ses sens sont en obéissance à l'amour, à l'amour de Dieu. Alors, nous avons à apprendre de Dieu.
Que notre foi soit nourrie par l'amour de Dieu. Nous saurons que ce que nous vivons est vrai, car il n'y a pas deux sortes d'amour, il n'y a qu'un seul amour. Et qui est l'Amour? Qui est l'Amour? Qui est l'Amour? Dieu! Dieu! Nous manquons de rien : Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit! Alors, mangeons l'amour à pleines dents! Qui est notre seul et unique Amour? Dieu, notre Dieu! Parce qu'il est dit : «Vous vivrez sur la terre et je serai avec vous, moi, votre seul Dieu.» Eh bien, cela s'accomplit. Amen. Amen, Seigneur.
♪♪♪ Donne l'amour, donne l'amour