Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu par la Fille du Oui à Jésus - 7 octobre 2011 –Partie 1 – N°2
Qui, en dehors de Dieu, peut nous apporter la paix?
Salle : Personne.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, nous le saurons. À nous de nous préparer. Pensons que cela peut arriver à n'importe quel moment maintenant. Est-ce que nous sommes prêts ? Nous devons nous maintenir amour, amour, amour, amour devant notre Dieu, amour pour ce que Dieu a fait de nous. Dieu m'a créé, Dieu nous a créés.
Tout ce que nous sommes, nous le sommes parce que c'est Dieu qui l'a voulu. J'ai mon caractère et ce caractère doit répondre à Dieu. Je dois m'en servir pour la plus grande Gloire de Dieu. Dieu s'est penché sur moi et il a créé l'être que je suis pour sa Gloire. Ce que je suis, je le suis pour Dieu. C'est lui que je dois servir et je ne dois pas me servir. Je n'ai pas à m'adorer, mais à adorer mon Dieu. Je n'ai pas à pleurer sur moi, mais à me consacrer qu'à Dieu. Je dois m'ouvrir pour Dieu et ce que je suis, je dois l'être tout entier. J'ai à m'accomplir à chaque instant, parce que mon accomplissement c'est l'œuvre de Dieu pour moi. J'ai des mains, bien, ces mains doivent servir Dieu, et ce qu'elles doivent créer par Dieu, par les grâces, est présenté constamment à Dieu.
Présent, futur et passé sont dans mes mains. Voilà ce que je vais présenter à Dieu et c'est aujourd'hui que j'accepte cela, c'est aujourd'hui que j'accepte les œuvres que j'ai accomplies. Je ne me tricherai pas et je ne voudrai pas qu'on me triche. Je vais donc regarder qui je suis et aimer qui je suis, et si mes œuvres n'ont pas été les œuvres que j'aurais voulu être, je sais maintenant qui je suis : un enfant de Dieu. J'ai toujours eu besoin de Dieu, mais les moments où je n'ai pas été vers Dieu, aujourd'hui, je les lui donne. J'ai toujours été pour mon Dieu, mes œuvres n'ont pas toujours été pour mon Dieu. Aujourd'hui, je redonne à Dieu toute œuvre bonne : pour chanter la Gloire de Dieu, mauvaise : pour crier la miséricorde Dieu. Je suis enfant de Dieu, et je me regarde comme enfant de Dieu. Il m'a aimé jusqu'à donner sa Vie pour moi, pour qu'un jour je puisse regarder mes œuvres. Il a connu mes œuvres avant que moi j'accomplisse toute œuvre, et son Sang m'a enveloppé.
Voilà qui je suis. Et que je pénètre mes pensées, bonnes ou pas bonnes, ces pensées sont à Dieu, vais-je donc retenir ces pensées? Aujourd'hui, je sais qu'elles ne m'appartiennent pas, que ces pensées appartiennent à Dieu et qu'elles se donnent totalement à Celui qui en connaît le contenu. Tout est à Dieu. Mes paroles appartiennent à Dieu : passées, présentes et futures, elles appartiennent à Dieu. Je ne me chargerai pas d'un fardeau qui est à Dieu. Il a pris tout de moi et, aujourd'hui, je consens avec mon intelligence, avec mon oui, à tout lui donner, car à la minute où je vis, tout se présente : je me présente devant mon Dieu, je me suis présenté devant mon Dieu et je me présenterai devant mon Dieu, car je suis enfant de la Divine Volonté. Je fais un tout de moi, car je le consens.
Mon Dieu est mon juge : « Je te supplie, ô mon Dieu, juge-moi, ne me laisse pas me juger. Je te donne tout, mon Maître! En te donnant tout, ô mon Maître, tu vas tout prendre. » Donc, je vais me retrouver comment ? Je vais me retrouver comme un bébé, et un bébé ne peut pas se juger. Dieu prend tout sur lui. Dieu va aller jusque-là et Dieu nous a avertis qu'il irait jusque-là. «Je vais tout prendre et, avec ma force, mes enfants, je vais vous accompagner. Jamais, vous ne serez seuls.» N'est-ce pas les paroles que notre Dieu, notre Sauveur, m'a fait écrire ? Qui a lu « Amour pour tous les Miens »? Vous l'avez lu ou vous ne l'avez pas lu ? Avez-vous lu le 1, 2, 3, 4 ? Si vous ne les avez pas lus, vous allez les lire! Il en dépend de notre vie éternelle! Avons-nous compris la Bible, l'Ancien Testament au Nouveau Testament ? Qui l'a compris ? Levez la main. Ne levez pas la main si vous ne l'avez comprise qu'un petit peu. Qui l'a compris pour la vivre sur la terre, comme au Ciel ? Personne ? Bien, merci, vous n'êtes pas menteurs.
Les quatre livres, ces quatre volumes, ces quatre tomes, appelez-les comme vous voulez, ont été écrits par Dieu lui-même, par le Ciel. Même lorsque Marie parlait, elle parlait parce que c'était le Ciel qui le voulait. Lorsqu'une âme parlait, c'était parce que le Ciel le voulait. C'est Dieu, de la page, le couvercle, jusqu'à la dernière, le couvercle, des quatre. Et l'instrument que je suis vous le confirme : « Que je meure instantanément si cela n'est pas la vérité! Devant Dieu, devant mon Sauveur, devant Dieu le Père, devant Dieu le Saint-Esprit, devant la Vierge Marie, devant tous les saints et saintes du Ciel, devant toutes les âmes du purgatoire, que je meure en enfer si je conte des mensonges ». Vous n'avez pas compris le dernier mot : mensonges. « Si je conte un mensonge, que je passe, pour l'éternité, en enfer! »
Tout ce qui est écrit, que ce soit un « je », un « et », a été dicté par Dieu. Et ce qui est écrit, notre Dieu sera avec nous et sa Passion sera avec nous jusqu'au dernier qui devra répondre, que ce soit un oui ou un non. Tous ceux qui vont vivre cet instant – et il n'en manquera aucun de ceux qui seront sur la terre vivants – seront dans la Passion du Christ. Alors, lorsque Dieu dit : «Soyez un bébé», un bébé n'a rien à lui. Alors, apprenons à tout donner à Dieu, et il faut commencer si vous n'avez pas commencé : pensée, regard, écoute, parole, action, sentiment, il faut tout donner à Dieu. Il faut mourir, il faut mourir en le Christ, il faut tout lui donner.
Croyez en ce que vous entendez. Ce moment que nous avons entendu est vrai. J'ai entendu ces mots et je les ai répétés. Vous avez entendu ces mots comme moi et cela est la vérité. Nous avons à donner parce que nous n'avons pas sorti notre amen! Voyez-vous qu'on a à donner? Il faut s'accomplir. Ces moments sont très importants et cela se fait connaître de par le monde. Nous ne sommes pas les seuls privilégiés. Oui, c'est un privilège d'avoir entendu notre Seigneur. Ne vous occupez pas du son que cela a pris. Mon son, s'il s'en est servi, c'est son affaire. Ce qui est important, il l'a dit : «Je suis la Parole Vivante». C'est ça qui est présent : la Parole, la Parole de Dieu. Nous avons à nous laisser entre les mains de Marie pour qu'on puisse vivre ces p'tites, p'tites, p'tites poussières dans ce petit, petit, petit, petit temps.
Vous savez, il y a de nos amis qui sont pris par un cancer et qui sont en train d'agoniser. Comment vivent-ils les derniers moments? La plupart, ils vivent seulement que les dernières secondes parce que la chair est tentée. Elle se garde toujours l'espoir de ne pas quitter la terre. La volonté humaine qui fait souffrir la chair : tu vas quitter tes enfants…, t'es bien trop jeune encore…, t'es pas prêt…, t'as trop de projets…, c'est pas le temps : volonté humaine qui fait souffrir la chair parce que la volonté humaine écoute qui ? Celui qui ne veut pas que la chair s'abandonne : Satan, le menteur, qui envoie ses acolytes qui font souffrir la chair. Mais à un moment donné, là, la chair, il faut qu'elle réponde à son dernier souffle et, au dernier souffle, il y a comme un étourdissement : l'air ne rentre plus. La chair, maintenant, elle sait qu'elle est en train de vivre son dernier moment sur la terre. Elle crie, mais rien ne sort; alors, elle laisse pénétrer la mort, car elle ne peut plus résister. Là, la mort a pris la chair : « Tu n'as pas été fidèle à ton éternité, je te fais connaître ton choix. » N'est-ce pas notre choix ? N'oublions pas que Dieu avait averti : « Il t'arrivera un grand malheur si tu vas vers la connaissance du bien et du mal ». À cet instant, la mort présente à la chair son choix.
Ce que l'être humain doit savoir, c'est que lorsque la mort vient chercher la chair, il reste encore un temps. C'est à ce moment que l'être humain, avec son âme, doit prendre un choix : Dieu ou moi. C'est le même choix qu'Adam et Ève avaient à choisir : Dieu ou moi. Sur la terre, nous avons dit : moi. Mais là, on quitte la terre. À cet instant où on doit vivre ce moment, c'est le moment où la chair quitte la vie sur la terre. On se retrouve devant une vérité. Dieu nous dit : «Je t'ai donné la vie, me donnes-tu ce que je t'ai donné?» Et à nous de choisir : oui ou non. Si la personne qui quitte et qui vit ce moment dit : oui, voici ma vie, alors là, elle a l'éternité, mais si elle dit non, elle a la Mort éternelle pour l'éternité.
Nous devons donner tout à notre Dieu, pour qu'au moment de ce choix-là nous soyons libérés de tout. Lorsque nous allons, par la puissance de Dieu, entrer en nous – n'est-ce pas ce qu'il nous a dit tantôt? – nous pénétrerons notre intérieur et on devra regarder tout ce qui a été dans notre vie, absolument tout. Et tous ceux qui verront cela devront choisir : «Je vais te montrer ta vie et tu vas regarder avec ce que tu as consenti à être.» La miséricorde de Dieu, y croyez-vous? (R : Oui.) Alors, recourons à la miséricorde de Dieu. Allons tout de suite, tout de suite, nous réfugier dans la miséricorde de Dieu, car si nous attendons le moment où on entrera en nous, tout commencera.
Là, il nous donne ce petit temps-là. 'Oh! Je vais aller tout donner à la miséricorde de Dieu! Je vais prendre une assurance!' Hein? C'est notre façon de parler. Je vais m'assurer que je vais dire toujours oui pour chaque action, pour chaque regard, pour chaque pensée, vous avez compris, hein? Pour chaque sentiment, pour chaque parole. Oui, oui, oui, oui! Alors, si j'ai été tout donner ça à Jésus, et lui qui me donne sa miséricorde, hein, c'est avec ça que je vais me présenter quand le moment commencera. N'est-ce pas le plus grand mouvement de la miséricorde ? La miséricorde de Dieu va être… hein, il l'a dit l'autre fois : grande, grande, grande, grande, grande, grande, grande. Oui, elle va être grande la miséricorde de Dieu! Et voilà! Et c'est ça que Dieu est, en ce moment même, en train de nous enseigner.
Jésus est venu sur la terre pour enseigner et il nous enseigne encore. Il faut tout donner à Jésus pour tout recevoir de Jésus : la grande miséricorde de Dieu. Allez-vous continuer encore de vous inquiéter pour vos enfants ? Combien d'entre vous sont en train de s'inquiéter? Vous êtes lourds sur les épaules! Laissez à Dieu ce qui est à Dieu. Vous êtes présents et vous n'êtes pas présents. Je vous sens là et, en même temps, je vous sens qui reculez en arrière! Restez avec nous!
Enfants de la Divine Volonté, soyons ensemble! Soyons un seul cœur et ne séparez pas votre cœur en mille morceaux, car nous saurons. Si Dieu permet que nous sachions ça, Dieu permet aussi qu'on se soutienne. On ne sait cela que pour être ensemble. À cet instant même, nous sommes en train de nous laisser instruire par Dieu. Ne perdez pas une seconde, une fraction de seconde, laissez-vous prendre par la puissance de Dieu. Et c'est très important ce que nous entendons. La miséricorde de Dieu veut se faire connaître pour que nous puissions l'accepter. Nous sommes dans le Précieux Sang de Dieu, nous n'avons jamais sorti du Précieux Sang de Dieu.
Lorsque Jésus a laissé couler son Précieux Sang sur la Croix, c'est sur nous que cela coulait. Nous avons tous été purifiés par Dieu, mais avons-nous tous vécu en connaissance de cause cela ? Nous pouvons en témoigner par petites bribes : j'ai pardonné, j'ai souri, j'ai encouragé, j'ai soutenu. Tout ce que nous avons fait de bon, c'est que c'est Dieu qui purifiait notre chair, mais il reste ces moments où nous avons manqué de foi. Cela nous a amenés à dire des mensonges, à avoir peur, à nous mettre en colère, à nous éloigner des sacrements, et encore et encore tout ce qui nous a fait connaître la souffrance. Dieu nous maintient dans son Précieux Sang parce que nous avons besoin de lui. Nous avons besoin d'être purifiés en notre âme et en notre chair pour vivre ce moment de miséricorde.
Lorsque nous sommes enveloppés du Précieux Sang de Jésus, lorsque nous sommes devant ce que nous avons fait et qui n'était pas de Dieu, là, nous donnons, nous donnons à Dieu ce qui est à lui et il prend, il prend, notre Dieu, il nous enveloppe de sa miséricorde. Il faut continuer jusqu'au bout. Une peur? Je te la donne. Une inquiétude? Je te la donne. Un doute? Je te le donne. Un moment dans le passé, je te le donne. Sans arrêt, il faut faire cela. Il faut se dépouiller de notre vieille carcasse.
C'est un moment où tous les enfants de Dieu auraient aimé vivre. Lorsqu'il a dit : «Maintenant, c'est le temps», comment avez-vous vécu ça, cet instant ? J'avais les yeux fermés, moi, là. Alors, si on chantait un amen? Mais on le chante, là!
♪♪♪ Amen, amen, amen, amen, amen.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Criez-le! Criez-le, dans vos gestes, dans votre regard, dans vos paroles! Ne faites pas simplement vous balancer, allez-y de toutes vos tripes!
♪♪♪ Amen, amen, amen, amen, amen.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Personne ne vous obligera à le dire. Vous seuls vous le vivrez ce amen. À tous les jours, vous allez vivre ce amen. Il est à la hauteur de votre choix à cet instant même. Vivez-le ce amen! Ce amen n'est pas inventé, il nous appartient, il sort de notre cœur! Si vous ne le faites pas, c'est parce qu'il ne veut pas sortir de votre cœur, votre chair est en train de l'emprisonner! Allons-nous vivre encore dans cette chair meurtrie? On n'en veut plus. On veut y croire, il faut y croire.
Soyons des enfants! Ce sont les grands qui ne crient pas amen! Allons, fermez vos yeux et dites-vous, là : « Oh, j'ai quelques jours là, je crie parce que je sors du ventre de maman, là! Est-ce que ça vous prend une tape sur les fesses ? On est vivants! Croyez-vous que les apôtres ne crieraient pas leur amen ? Eh bien! Moi, je vais le crier le amen.
♪♪♪ Amen, amen, amen, amen.
Du blog : pour ceux qui ne l’ont pas encore fait ou qui l’ont fait il y a un moment, je leur conseillerais de lire ou relire le témoignage de Gloria Polo ; Cela permet de passer son examen des Commandements vu par un regard qui n’est plus complaisant puisque détache des perversions terrestres.
J’en sors et cela m’a remis certaines pendules à l’heure et à mon sens, aide à mieux comprendre le message de Notre Seigneur par le biais de la fille du « oui » à Jésus !