Jean, le messager d'Espérance : S'engager à la suite du Christ ...

Publié le par monSeigneur et monDieu

Jean, le messager d'Espérance : S'engager à la suite du Christ ...

Aujourd’hui, oser parler de Jésus dans une société de consommation est devenu un acte de courage !

 

Bien chers amis en Jésus et Marie,

Pour s'engager à la suite de Jésus, il ne nous est pas nécessaire de posséder des dons rares ou d'effectuer des tâches extraordinaires, mais au minimum, manifester un simple geste, un moindre regard, un moindre sourire afin d'apporter à son prochain l'espérance, la considération et le moindre soutien.

Avec toute notre affection et en union de prières
 Yvette et Robert

Petit rappel : Le 13 décembre 1996, Jean meurt d’une hémorragie interne, il avait 43 ans. Par locutions intérieures, il adresse à ses parents (Yvette et Robert) des messages d’amour, d’espoir et de bonheur par lesquels il leur demande de prier pour les défunts. 

Depuis 1997 et quelques temps après le départ de notre cher fils Jean, suivant le Plan de Dieu nous avons eu la grâce de recevoir des messages du Ciel... Il est à noter que par les messages qui ont été diffusés tout a été dit plusieurs fois. Jean nous demande, qu'à compter de ce jour (Jean, votre messager d'Espérance : Choisissez la vie - 11.09.2013 ), nous prenions les messages anciens, en précisant leur date d'émission. Ils pourront correspondre aux différents évènements. Ces envois seront hebdomadaires et bien évidemment mis sur le site internet. 

 Livre Tome 4 : Le temps presse rallumez vos lampes
 Page 162 : S’engager à la suite de Jésus - Message du 15 juillet 2004 -

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 « Ce message est un rappel à la mobilisation des chrétiens.
Aussi est-ce sous la lumière du Seigneur Dieu, avec toute la tendresse de Jésus et de Marie, que les frères du Ciel participent activement à ce message.

Si vous compreniez comme le temps presse, vous qui prenez connaissance de ce message, vous mettriez immédiatement en pratique ces préceptes

Évidemment, il n’est pas facile et confortable de parler de Dieu, surtout quand vous n’êtes ni prêtres, ni religieux ou pasteurs. Dans votre engagement à la suite de Jésus, loin de connaître la sympathie et les encouragements, c’est l’épreuve, l’incompréhension, les moqueries et même la persécution qui vous attendent et que vous subirez.

Aujourd’hui, oser parler de Jésus dans une société de consommation est devenu un acte de courage !

Certes, votre valeur véritable, l’espérance de la vie éternelle, votre âme, aucune personne humaine ne doit être en mesure de les détruire.  
Votre seule crainte doit résider dans le fait de perdre la foi et également de pas avoir le courage de la vivre, et ainsi devenir lâcheurs, et non semeurs.

 Pour avoir bien souvent constaté la misère des autres, des personnes, plus nombreuses que vous ne le pensez et qui ne sont pas toujours des chrétiens, se dévouent pour leurs semblables avec la qualité maîtresse du désintéressement.

Vous qui êtes chrétiens, votre vie ne peut en aucun cas être neutre ni votre foi restée cachée.
Ne soyez pas des tièdes...

En vous prononçant pour les hommes, vous vous prononcez pour Jésus. Mais si vous ne faites rien, immanquablement, vous pouvez vous considérer contre Lui.

 Par la prière, et encore mieux par l’Eucharistie, laissez au Seigneur le temps de vous aimer et de vous regarder. Et ensuite, en pratiquant votre foi, n’ayez pas peur d’agir en chrétiens devant ceux qui ne sont pas d’accord ou qui, plus encore, cherchent à vous ridiculiser.
N’ayez pas peur de ceux qui tuent le corps, sans pouvoir tuer l’âme.
Ayez confiance en Dieu qui veille sur vous, comptant même jusqu’à chacun de vos cheveux.

 Votre devoir de chrétiens est de réaliser l’œuvre de Dieu. C’est d’ailleurs pour cette raison que toute créature humaine existe. Et pour cela, nul n’est besoin d’avoir des dons rares ou des tâches extraordinaires à remplir...
 Le moindre geste, le moindre regard, le moindre sourire peut suffire pour apporter l’espérance et la considération à l’autre, à celui qui mendie votre soutien et votre amitié.
Tout est important, tout est utile et soyez certains que l’Oeuvre de Dieu est à votre portée, Elle est dans chacune de vos attitudes, aussi modestes soient-elles.
 Ne soyez pas défaitistes...
 Même si certains de vos péchés se trouvent profondément ancrés dans votre personne, c’est par une volonté sans faille et en écoutant votre ange gardien que vous sortirez de votre bourbier, pour enfin prendre la bonne route, et cela par des actions les plus simples.

 A l’égard de ceux que vous croisez, connus ou inconnus, soyez toujours attentifs.
Votre manière d’être professionnellement, de mener à bien vos affaires, de vivre en famille, de vous comporter avec vos parents ou avec vos enfants doit être en harmonie avec votre foi.

 Il reste la référence toujours nouvelle pour éveiller la générosité, susciter l’esprit de gratuité, en un mot le seul comportement qui peut déplacer le centre d’intérêt de l’homme ailleurs qu’en lui-même.
 
Un nouveau langage, un pur langage d’amour, permettra à beaucoup de retrouver la guérison de leur misère, qu’elle soit physique, morale ou spirituelle.

 Vous le constatez, partout les succès et les échecs se côtoient. Tout cela donne une confirmation de la fragilité de votre monde et doit vous inciter à l’humilité et à la modestie.

 Soyez réellement les témoins de ce Dieu de vérité, de ce Dieu d’exigence, de ce Dieu de lumière, de ce
Dieu de miséricorde et de tendresse qui sera toujours si attentif à votre personne.


 Jean, messager d'Espérance »

 

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