Notre Seigneur Jésus Christ Via Sœur Beghe : Comme Lazare, Marthe et Marie - Vendredi 28 Janvier 2022

Comme Lazare, Marthe et Marie

Je suis le Très Haut et Je regarde la terre qui est si noire. Les âmes qui s’agitent sont bien sombres et il y en a peu qui soient claires. Ces âmes claires pourraient l’être plus car elles connaissent la loi divine mais ne s’y appliquent pas suffisamment. J’en vois quelques unes, mais quelques unes seulement, qui sont comme Je les souhaite : quasiment blanches mais la blancheur immaculée n’existe pas. Le temps de la terre est de plus en plus proche où les âmes qui resteront sur la terre seront dépoussiérées, leur couleur gris-clair sera blanche et elles seront immaculées à la veille de venir Me rejoindre dans Mon éternelle Demeure. La grâce que Je leur prépare les blanchira et elles seront toutes généreuses, toutes centrées vers leur Dieu comme l’a été Ma Mère, la très sainte et très douce Vierge Marie. Elle avait le don de Dieu en elle et tout ce qu’elle touchait en était empreint.

La blancheur de l’âme est une grâce que Je vous réserve, Mes très chers, Mes très doux enfants. Elle vous viendra avec l’amour de votre prochain, le désintérêt de vous-mêmes, la conscience de la grandeur immense de Dieu et de votre petitesse, et vous vous tournerez vers Lui pour tout, pour absolument tout. Je vous donnerai ce dont vous avez besoin et, à certains d’entre vous, Je donnerai la grâce du martyre.

Cette grâce du martyre est un don de plénitude et vous serez bienheureux de la recevoir. C’est une grâce fabuleuse et il faut la demander. Qui ne demande pas ne reçoit pas mais à qui demande, il sera donné à profusion. Demandez cette grâce, il n’est pas dit que vous la recevrez, en quel cas vous ferez partie des habitants de la nouvelle terre, mais tous vous souffrirez parce que les temps qui viennent n’épargneront personne.

Soyez Mes enfants bien aimés, aimez-Moi comme vous voudriez être aimés et Je vous réserverai une belle, une très belle place dans le Ciel. Tous, vous êtes destinés au Ciel, tous, Je vous veux auprès de Moi, dans Mon intimité, comme l’ont été Ma Mère et Mon père terrestre. Nous étions l’un avec l’autre et l’un pour l’autre et notre famille était un exemple en tout : un exemple de voisinage, un exemple pour notre famille élargie, pour nos amis, pour ceux que nous fréquentions.

Lazare, Marthe et Marie M’étaient très chers et J’avais avec eux une intimité quasi fraternelle. J’étais chez Moi chez eux, leur porte M’était toujours ouverte et combien de fois ne Me suis-Je pas réfugié chez eux, fatigué et harassé. Mes disciples M’y accompagnaient et eux aussi étaient toujours les bienvenus. Notre nombre important ‑ car en plus des apôtres, des disciples nous accompagnaient souvent ‑ ne les importunait pas, ils avaient le cœur tellement dilaté que tout était toujours bien, la Providence conduisait de nombreuses personnes chez eux mais jamais ne s’en sont-ils plaint. Les deux femmes et leur frère étaient de vrais amis de Dieu, pas seulement de Jésus homme. Je leur étais reconnaissant de leur largesse qui n’était pas ostentatoire mais toujours fidèle, chaleureuse et si amicale.

Je ne vous demande pas de largesses que vous ne pourriez pas assurer, non, Je vous demande un grand cœur toujours débordant, toujours accueillant. C’est cela la charité, faire ce que l’on peut quand on le peut.

Je vous demande de beaucoup prier pour vous préparer aux temps qui viennent et Je vous veux souriants et d’humeur égale. Je vous veux confiants en Dieu et toujours soumis à Sa divine Volonté. C’est Sa Providence qui vous conduira, alors ne faites pas de projets particuliers, continuez votre vie quotidienne en insistant sur la prière car c’est par elle que vous serez là où Dieu vous veut.

Je vous bénis, Mes enfants, Je vous aime ; que fait un père lorsque le temps actuel est incertain ? Il réfléchit et il protège. Eh bien, Moi, Dieu, votre Père et votre Sauveur, Je fais de même : pour Moi c’est tout réfléchi et Je vous protègerai. Comment Dieu protège-t-Il ? De tant de manières et cela, ce n’est pas de votre ressort ; Il vous demande seulement de Lui faire confiance, de L’aimer, de Le remercier et de Le suivre là où Il vous conduit. Imitez-Le, tendez votre main aux indigents, à ceux qui ne savent rien, à ceux qui ne sont pas préparés, à ceux qui auront peur. C’est cela l’exemple de Lazare qui n’a pas craint de M’héberger quand la haine des Juifs s’amplifiait. Il était tout à Moi, J’ai paru le laisser mourir sans voler à son secours mais J’ai fait mieux ! Je l’ai ressuscité ! Mes enfants, pour Moi, Lazare ou vous, c’est pareil !

Je vous aime tant, J’aurai autant de soin à votre égard que J’en ai eu pour lui. Ayez confiance, soyez de très bons chrétiens, généreux et confiants, et Je serai heureux de vous.


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