3587 Notre Dame d’Anguera-Bahia-Brésil Pedro Régis – 27 12 2011 Mila va pleurer .. mort à Saïda.. Mascara atteinte.. Annaba .. hurlements .. Alger ..calice amer
Chers enfants, Mila va pleurer parce que la mort va passer par Saïda et même avec cela Mascara sera atteinte par les hommes de la terreur. De Annaba s’entendront des hurlements et des pleurs de lamentation et Alger va boire le calice amer de la douleur. Je souffre pour ce qui vient à vous. Pliez vos genoux dans la prière. Vous verrez encore des horreurs sur la terre.
L'humanité ne trouvera la paix que lorsque les hommes vont accepter la volonté du Seigneur. Je suis votre Mère et sais ce qui s'en vient pour vous. Ne reculez pas. Cherchez le Seigneur. Il vous aime et vous attend à bras ouverts. Ce que vous avez à faire ne le remettez pas à demain. Allez de l'avant sans peur. Le Seigneur vous accompagne.
C'est le message que Je vous transmets au nom de la Très Sainte Trinité. Je vous remercie de Me permettre de vous réunir ici une fois de plus. Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Soyez dans la paix. Amen.
Du blog : Là avec ce message c’est l’Algérie qui est concernée en différents points de son territoire.
L'Algérie est divisée en quarante-huit collectivités publiques territoriales appelées wilayas, elles-mêmes subdivisées en daïras.
La wilaya ou willaya n'est qu'une division administrative, à la superficie et aux prérogatives variables, existant dans plusieurs pays africains et asiatiques. Cette appellation équivaut selon les états au département, à la région ou à la province.
La wilaya de Mila est située dans le nord-est algérien, elle abrite le plus grand barrage d'eau au niveau national : Barrage Beni-Haroun qui alimente une grande partie de l'est algérien avec de l'eau potable et de l'eau d’irrigation. La wilaya de Mila avec une superficie de 3407,60km², compte 32 communes et 13 daïras, dont celle de Mila qui est donc une ville à l'est de l'Algérie (89 580 habitants), chef-lieu de la wilaya du même nom.
Mila à 464 m d'altitude est situé sur un petit affluent du Rhummel.
Milaville importante dans l'antiquité qui s'appelait Milev, formait avec Cirta (Constantine), Chullu (Collo) et Rusicade (Skikda), une confédération dite des Quatre colonies, dont le territoire était très vaste.
Vers 360 elle eut pour évêque Saint Optat, auteur d'un traité célèbre contre les Donatistes, fort nombreux à cette époque en Afrique. En 904, elle fut reprise par les Berbères Kotoma aux Aghlabides qui l'occupaient.
La fondation de la ville de Mila remonte au 3ème siècle de l’ère chrétienne ; elle aurait été fondée en 256 après JC ; selon certains historiens.
Léon l’africain, ce géographe arabe du 16ème siècle, convertit sous le pontificat de Léon X, affirme qu’elle fut construite par les romains et se trouve à 12 milles de Constantine ; distance certes inférieure de l’actuelle ; mais n’en est pas tellement éloignée.
Mila fut également le siège de deux conciles chrétiens tenus en août 402 et octobre 416 ce dernier concile fut tenu par Saint Augustin. La christianisation de la région s’est faite à grande échelle après la défaite des Vandales par les Byzantins. Cette présence Byzantine a duré jusqu’en 674, soit 55 ans après l’Hégire, date à laquelle elle fut conquise à nouveau. Mila fut la première ville d’Algérie conquise par les musulmans de « ABOU MOUHADJER DINAR » en l’an 55 de l’hégire correspondant à l’année 674, il y fit construire la mosquée SIDI GHANEM sur les décombres de l’église, s’installa à Mila pendant deux ans et mena des conquêtes à travers les autres territoires.
La conquête musulmane de l’Afrique du Nord étant devenue inéluctable et stratégique pour protéger l’empire musulman naissant et surtout répandre l’islam ainsi, après la conquête du « SHAM » et de la « PERSE » ce fut le tour de l’Egypte puis de la Tunisie ou fut établie la ville de Kairouan point de départ des futures conquêtes.
La wilaya (commune) de Saïda à partir du dernier découpage administratif (janvier 1985) est située dans la partie Nord Ouest du pays et est limitée au nord par les Wilayas de Tlemcen, Sidi Bel-Abbes, Mascara, au sud par la wilaya d'El Bayadh à l'ouest par la wilaya de Sidi Bel-Abbes à l'est par la wilaya de Tiaret. Elle se trouve à 175 Km au Sud-Est D'Oran, à 75 Km Au Sud De Mascara Et à 440 Km Au Sud-Ouest d'Alger. Sa population très dense et très jeune, 66,4% de la population à moins de 25 ans.
La wilaya dispose de deux grandes zones industrielles implantées au niveau de la commune de Saïda sur une superficie de 83 ha et de la commune de Aïn-El-Hadjar sur une superficie de 103 ha. La région est spécifiquement agricole, sur une surface totale agricole de 344050 hectares la surface agricole utile est de 307013 hectares. L’élevage d’Ovin et de Caprin continue à occuper une place très importante. Le potentiel hydrique régional est tant thermal que minéral. De nouvelles sources ont été découvertes, elles ont une qualité identique à l'eau de saïda. L'eau ne manque donc pas dans la région avec les eaux souterraines des deux grandes nappes de Saïda et de Chott Chergui (108.813 M3) ses ressources mobilisées sont de 97.559 M3. Plusieurs projets sont destinés au renforcement et à l'amélioration de l'approvisionnement en eau potable.
Sa superficie est estimée à 6 631 Km², et le nombre d'habitants à plus de 300.000. Elle est surnommée la ville des eaux, à cause de ses sources.
Mascara fut la capitale que l'Emir Abdel Kader avait choisie en 1834, il avait ainsi freiner l'expansion des français en signant un traité pour une «paix politique», mais en 1941 les français renoncent à ce traité pour la guerre à outrance, Mascara et les places fortes de l'Emir Abdel Kader furent conquises en 1841.
Aujourd'hui Mascara est caractérisée par une surface agricole utile de 310.880 Ha, la Wilaya possède trois (03) zones industrielles à Mascara, Sig et Mohammadia qui abritent des unités industrielles publiques et privées spécialisées dans des domaines aussi multiples que variés, tels que le ciment, les tabacs et allumettes, le marbre, le kisselghur, les peintures, le textile, l'emballage et autres. Mascara est aussi connue pour ses vignobles fertiles et son vin de renommée mondiale.
La superficie de la Wilaya est de 5.848,15 km; sa population atteint 703.567, soit une densité de 120 habitants/km2. Elle comprend 16 Daïra et 47 communes.
Avec 12 communes et 6 daïras, Annaba est la quatrième ville d'Algérie en nombre d'habitantsaprès la capitale Alger, Oran et Constantine. Elle est située à 152 km au nord-est de Constantine, à 246 km à l'est de Jijel et à environ 100 km à l'ouest de la frontière tunisienne. La population de l'ensemble de son agglomération était d'environ 650 000 habitants en 2009
La wilaya d’Alger dont le chef-lieu est Alger est découpée en 13 daïras et 57 communes.
Au Vème siècle av J.C, les Phéniciens établirent un comptoir sur la baie d’Alger appelé «Icosim» (l’île aux mouettes) «Icosium» de l’empire romain qui resta possession romaine jusqu’à l’arrivée des vandales, au milieu du Vème siècle. Elle fut ensuite gouvernée par les Byzantins, jusqu’à ce que les Berbères les chassent. La véritable destinée d’Alger s’accomplit au 10ème quand l’Emir Bologhine Ibn Ziri décide d’en faire sa capitale. Le nom d'Alger est une déformation française du catalan Alguère, lui-même tiré de Djezaïr du nom donné par Bologhine ibn Ziri, fondateur de la dynastie Zirides, lorsqu'il bâtit la ville en 960 sur les ruines de l'ancienne ville au nom romain (Icosium) et l’appelle en référence à un chapelet d’îlots qui affleuraient dans la baie «El-Djazaïr». En 1510, les Espagnols occupèrent l’îlot Peñón, en face du port. Les frères Barbarousses, appelés en renfort occupèrent la ville en 1516. Devenue capitale des corsaires barbaresques, Alger se déclara vassale de l’empire Ottoman et les Espagnols en furent chassés. Juillet 1830, la ville est prise par les Français, devenue siège du gouvernement général du pays, des constructions militaires et administratives y furent édifiées. A partir de 1880, la ville prit son véritable essor. Et le 5 juillet 1962, Alger devint la capitale de l’Algérie indépendante
Capitale politique, administrative et économique de l’Algérie et port de la Méditerranée (impossible de poster la fin de qq lignes nous verrons plus tard...)