De Père Melvin : Message Poétique du Père à une âme

Voici un message que Paulette Vinet, de Repentigny, vient de m'envoyer. Vous pouvez l'envoyer partout dans le monde.

Message du Père Éternel

Réveille-toi… Réveille-toi mon peuple… Tu dors depuis trop longtemps!
Lève-toi et marche… Sors de ta léthargie…
Avance… Va vers la lumière…
Laisse derrière toi tes idoles.
Ton Dieu, ton Père t’attend…
Viens, ô mon peuple bien-aimé.
Mon divin cœur brûle d’amour pour toi!
Ne sois pas rebelle, n’aie pas peur,
Je suis doux et patient, bon et lent à la colère.
Je t’ouvre mes bras pour t’accorder le pardon de tes péchés.
Viens, tu retrouveras tes forces,
Tu franchiras ainsi toutes les barrières de Satan.
Je te le dis, fais-moi confiance,
Ne suis-je pas ton père?
Je te regarde vivre et tu souffres…
Et pourtant…
Je t’ai créé pour être heureux sur cette terre…
Écoute-moi, mon peuple chéri…
Écoute ma voix qui crie dans ton désert…
Aimez-vous, aimez-vous…
Ne faites plus la guerre.
Convertis-toi mon peuple,
Le temps a des limites pour toi,
Toutes les nations sont sur un pied de guerre.
Attends-tu que les collines s’écroulent dans la mer?
Attends-tu que la mer se déverse sur la terre?
Attends-tu la mort et ses cadavres?
Je souffre de vos infidélités,
De vos mensonges, petits enfants de mon peuple chéri.
Vos jours sont comptés.
Voyez vos ennemis ricaner dans leurs flammes diaboliques
Ils désirent votre perte.
Vous n’avez plus de forces pour combattre le mal car
Vous ne vivez pas dans la loi de mes commandements.
Vous vous éloignez de l’église que mon divin fils et venu fonder.
Le danger vous guette partout car
Les démons sont partout, partout.
Ils rôdent sur votre terre couverte de péchés mortels et
D’abominations de toutes sortes.
Vous avez des yeux mais vous ne voyez pas
Des oreilles mais vous n’entendez pas
Vous êtes des statues sans vie car vous ne priez plus
Vous ne m’adorez plus
Ce sont des idoles qui remplacent votre Dieu.
Quel malheur mes enfants!
Oui, je pleure
Oui, je souffre
De vous voir vivre et mourir.
Dans peu de temps, vous regretterez vos péchés.
Je vous dis encore : venez mes brebis, venez mes agneaux
Cachez-vous sous mon manteau royal
Je vous conduirez à la bergerie de mon cœur,
Là où vous vous abreuverez dans mon amour
Et mangerez la vraie nourriture
Mais faites vite
Les loups aboient
Ils vous dévoreront en peu de temps
Courrez mes brebis, mes agneaux
Courrez
Combattez petits enfants le grand combat
Celui de l’amour
L’heure est venue
Le temps presse
Ma bénédiction est sur vous peuple bien-aimé
Petits enfants,
Avez-vous compris maintenant?
Votre Père des Cieux.

Oasis Marie Caritas, 2h26 du matin
De Paulette Vinet, par France Desrosiers