Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu via la Fille du Oui à Jésus -13 octobre, soir… par son instrument – Part 2

Publié le par monSeigneur et monDieu

 

Dieu nous a parlé de miséricorde. Sommes-nous dans l'accomplissement maintenant? Êtes-vous conscients que vous êtes, en ce moment même, en train de vivre la miséricorde de Dieu, de la vivre?

 

 

Dieu nous révèle ce que nous devons vivre au présent et cela, si l'on compte les heures que le Seigneur est venu nous parler, c'est combien d'heures? Est-ce qu'on peut mettre un chiffre sur ces heures-là? C'est pratiquement…, il faudrait… : un ouvrage de moine, hein, pour compter ça ? Pour qu'un instrument puisse s'abandonner d'une telle façon, il faut qu'elle soit dans l'abandon, pas seulement qu'à ce moment-là, mais 24 heures sur 24. On dit comme ça : c'est impossible qu'elle entende le Seigneur toute la journée, nuit et jour; c'est pratiquement impossible! Bien, sans cette présence, c'est ceci qu'il serait impossible de faire : de répéter avec un abandon et des mots exacts.

 

Je répète même les fautes du Seigneur, les fautes voulues du Seigneur, et ce sont des grâces pour chacun de nous ces fautes d'articulation, de grammaire. Il dit le verbe au singulier alors que les sujets sont au pluriel et c'est avec une exactitude que je répète les mots tels que je les entends. Ce n'est pas à moi de gérer ce mouvement parce que, dans mon quotidien, j'ai une meilleure grammaire, mais oui, hein? Si on est ensemble, nous sommes ensemble, vous êtes avec moi, je suis capable de le faire, et pourtant, lorsque je suis abandonnée dans le Seigneur, les mots qui sortent sortent sans que je les reprenne.

 

Continuellement, le Seigneur, il n'y a pas une journée qu'il ne me dit pas : «Je te donne des grâces. Abandonne-toi. Sois obéissante. Je t'aime.» Le 'je t'aime' est tellement riche de grâces ! Et c'est continuel ce 'je t'aime'. Je sais quand le Seigneur… : «Je t'aime»; bien, là : « Je t'aime, Seigneur ». Mais c'est continuel ce 'je t'aime'-là. C'est cette nourriture qu'il me donne à tous les jours. La nuit, si j'ai le malheur de bouger un petit peu, bon, je me réveille : «Je t'aime». « Oui, Seigneur. » C'est un 'je t'aime, je t'aime'. Alors, sans les grâces d'abandon, d'obéissance: « Bien, y'a encore dit un 'je t'aime'. » Je l'ai entendu je ne sais pas combien de fois aujourd'hui! « T'as rien d'autre que ça à me dire, mon Jésus? »

 

Là, pour vous autres, OK. Ça va faire bientôt onze ans, onze ans que j'entends le 'je t'aime' du Seigneur continuellement, la nuit comme le jour. Que feriez-vous à ma place avec votre volonté humaine? Oui, ça va quand il nous amène dans une extase, quand il nous montre des miracles, des guérisons, hein ? Hey, y'en a pas dans ma vie de ça! S'il y a des guérisons, je n'ai pas à le savoir, puis il ne me le dit pas. C'est l'abandon, l'obéissance : «Reste à ta place.» Voilà ce que je vis depuis onze ans, et c'est important que vous puissiez le réaliser pour comprendre que l'instrument ne fait que la Volonté de Dieu. Combien il y en a : "Demande quelque chose au Seigneur", ou ils posent une question, puis ils attendent une réponse. Si j'entends, je répète, mais si je n'entends, je ne répète pas.  

 

Maintenant, vous, le Seigneur vous a choisis. Cela fait des années qu'on s'assoit et qu'on entend la voix, les paroles du Seigneur. Ça fait des années, hein? Ça baisse le ton, ça lève le ton, ça parle vite, ça ne parle pas vite; des fois, y'a de la pression; des fois, oupelaye! Le Seigneur, il ne nous ménage pas! C'est vrai, on suit, on suit la voix du Seigneur de cette façon. Quand Nicole parle, j'écoute Nicole. Y'a rien qui se passe à l'intérieur de moi. Le Seigneur ne me devance pas, il ne devance pas Nicole, le Seigneur. Il attend que Nicole ait terminé de parler, puis tout de suite, là, la voix part. Et comme là, je viens d'entendre le Seigneur, hein, en même temps que tu parles. Il vient de dire : «C'est moi qui fais ma Volonté.» Bien souvent, ces mots viennent lorsque je sors de…, que je frôle ma volonté là, parce que quand elle a parlé, hein, c'est vrai, quand est-ce que j'arrête de parler, puis elle a.... Oups! Là, tout de suite, il m'arrête : «Je fais ma Volonté.» Et c'est là que je peux…, il me replace : l'obéissance et l'abandon.

Notre Seigneur nous a dit ces mots avec la Volonté, la Volonté de son Père :

                                                                                     

 

Extrait de l'enregistrement du : 2011-10-07 – Soir Partie 1 

 

Jésus : Que celui qui refuse demeure dans sa noirceur. Tout ce que vous êtes, vous devez l'être pour Dieu. Tout ce que vous voulez être pour vous-mêmes demeure dans votre vous-même.

Mes enfants, depuis tant et tant et tant de temps à vous parler, qu'avez-vous compris? Seuls les petits ont laissé leur intérieur ouvert. Ceux qui ne voulaient pas passer avant Dieu, ceux qui laissaient leur volonté humaine de côté, ne voulant croire qu'en Celui qui EST, sont les petits. Vous avez tous, mes enfants, été devant ma Volonté. Certains d'entre vous ont fait leur volonté. Dans la souffrance, ils ont compris qu'il fallait faire ce qui devait être fait pour entrer dans la grâce de la lumière. Vous êtes tous présents devant Celui qui parle à travers ces instruments. C'est moi, le Fils de Dieu, le Bien-aimé du Père, le Ressuscité, qui vous dit ces paroles.

Le temps que le Ciel vous avait accordé, maintenant, est terminé. Les petites poussières qui tomberont seront des poussières de rappel pour que vous puissiez réaliser que cela s'accomplit.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Des petites poussières! Et ces petites poussières vont nous montrer que cela s'accomplit. Qu'est-ce qui s'accomplit? Ce que Dieu le Père veut. Là, le temps ne compte plus maintenant. Ne dites pas : dans un jour, dans trois jours, dans un mois, dans deux cents jours, non. Le temps ne compte plus. C'est commencé. Nous sommes entrés dans ce que nous voulions entrer. Le 'maintenant', le jugement se fait devant nous; maintenant, le jugement se fait devant nous. Ces petites poussières, nous allons les vivre comme Dieu le veut.

 

Dieu nous a parlé de miséricorde. Sommes-nous dans l'accomplissement maintenant? Êtes-vous conscients que vous êtes, en ce moment même, en train de vivre la miséricorde de Dieu, de la vivre? On est à l'école, n'oubliez pas encore, là. Bon, commençons l'école! Dès le début de notre vie, nous avons vu, entendu, nous avons parlé, nous avons accompli des choses, nous avons eu des sentiments, nous avons pensé, mais ça, c'est dès notre naissance. Qu'avons-nous fait avec ce méli-mélo, là? On a vécu notre vie. On ne s'en est pas occupé.

 

Dans un jugement, qu'est-ce qui est important? Les faits. Lorsqu'on étudie les faits, là on pose un jugement après que tous les faits ont été devant le juge : je me suis levé à une telle heure, j'ai pris mon auto; à telle heure, j'étais rendu à un tel endroit; après cet endroit, j'ai la preuve que des personnes m'ont vu; après que les personnes m'ont vu, j'ai pu m'asseoir; y'a une personne qui est arrivée, elle a sorti son fusil, elle m'a demandé mon argent, j'ai refusé, j'ai reçu une balle; me voici devant ma vie, j'suis en train de regarder. Voilà des faits.

 

Prenons la situation de la volonté humaine : dans quel état je m'étais levé? Est-ce que j'étais en colère? Est-ce que j'étais capable de conduire avec beaucoup de prudence? Quand je suis arrivé sur les lieux, à quel endroit je me suis dirigé en premier? Quelle était donc mon attitude? Une attitude paisible, de paix, ou une attitude de colère? Est-ce que j'aurais provoqué celui qui devait s'approcher de moi? Qui tenait l'arme? Lui tenait l'arme. D'où venait l'arme? Est-ce que c'est moi qui avais l'arme? Est-ce que j'ai été une personne provocante? Est-ce que je lui ai donné les chances de voir que je n'avais pas sur moi d'argent? Est-ce que je me suis mis dans un état de danger? Est-ce que les paroles que j'ai prononcées étaient des paroles d'encouragement pour que lui se serve de son arme? Est-ce que je l'ai encouragé à tirer?

 

Quelle volonté humaine peut faire un jugement pareil, étudier des faits comme ça? Si nous sommes – n'oubliez pas qu'on est décédés là, hein? – si nous sommes devant notre jugement, avec quoi allons-nous nous juger, étudier les faits? On l'a dit au début, hein, avec la volonté humaine. Maintenant, la volonté humaine; bon, là, elle est en train de regarder tous ces faits-là : 'Ouais, je me suis levé le matin, j'étais même pas chez moi alors que je suis marié, j'étais ailleurs; et voilà que je vois que j'étais dans l'adultère. J'ai donc fait souffrir mon épouse. J'ai donc abusé d'une personne qui, elle, n'était pas mon épouse. Est-ce que j'ai vraiment été amour pour cette personne et pour mon épouse? Devant mon Dieu, est-ce que j'étais dans le commandement de mon Seigneur et Maître? Est-ce que je volais mon prochain? Est-ce que je me suis volé de l'amour? Est-ce que je me suis encouragé à ne pas vouloir du commandement de Dieu? Est-ce que je suis vraiment quelqu'un de bien face à mon prochain? Est-ce que je vais donner un bon témoignage à mes enfants? Est-ce que mon sentiment, à cet instant, est un sentiment valable devant mon Dieu, devant moi et devant mon prochain?' Et pourtant, c'est comme cela que ça se passe.

 

N'oubliez pas que nous venons de quitter la terre pour entrer dans un temps où il devra être éternel : devant Dieu ou devant la Mort. J'ai donc, en ce moment, deux choix : un temps d'éternité ou un temps de mortalité éternelle. Je viens de me lever de l'endroit où je suis, et déjà, regardez tout ce qui doit être devant nous. Faites ce que vous voulez. Dites : 'Ben, hey, ça … non; moi, là, j'veux rien savoir de ça.' Ça va changer quelque chose? Jésus serait venu sur la terre pour rien? Jésus est venu sur la terre pour ce moment, tant il est important. Dieu, le Fils, est venu sur la terre pour prendre 'ce' moment. Lui, il savait, Jésus, qu'il n'était pas chez lui; lui, il savait, Jésus, que son enfant était dans l'adultère; lui savait, Jésus, qu'il devrait se présenter devant cette action; lui, Jésus d'amour, savait ce que lui était pour penser de lui-même face à son Père, face à lui-même et face à son prochain. Jésus savait tout ça.

 

Jésus a consenti à prendre ce qu'il était en train de vivre et il a consenti, lui, à le ressentir. «Je veux que ses pensées soient mes pensées. Je veux que son regard soit mon regard. Je veux que son écoute soit mon écoute. Je veux que ses actions soient mes actions, que son cœur soit dans mon Cœur, que ses paroles soient devant ce qu'il devra regarder.» Jésus a tout pris, absolument tout. Ce moment, Jésus, il a voulu le vivre pour en porter le poids pour que cette personne-là ne puisse pas se juger sans l'amour de Dieu : «Moi, je t'aime.» Ce 'je t'aime', jour et nuit! Ce 'je t'aime' est toujours là : «Je t'aime. Abandonne-toi. Sois obéissant. Fais ma Volonté. Je vais te donner des grâces». C'est ça que le Seigneur fait continuellement.

 

Eh bien! Ce que nous venons d'entendre, c'est ce que nous sommes à cet instant. Alors, ne perdons pas un seul instant de notre jugement. J'entends : 'miséricorde', parce que, ce que j'entends, doit être pour moi paix, joie, amour. Parce que si c'est paix, joie et amour ce que j'entends, c'est que j'accepte la miséricorde de Dieu. Il enveloppe de sa miséricorde mon mouvement, mon action, mon oui : 'Hé! mon oreille, elle est à toi, Jésus. Je t'aime. Je veux disparaître. Ce n'est pas moi qui vis, c'est toi. Je consens à être ce que tu veux que je sois. Tout ce que je suis à l'instant même, bien, ça ne dépend que de toi. Mon amour, je te le donne parce que je veux mourir en toi." C'est une souffrance d'amour puisque Jésus a souffert par amour.

 

C'était de la joie, de la paix et de l'amour qui nous nourrissaient continuellement et qui nous nourrissent encore continuellement : 'Je ne veux plus entendre sans ta miséricorde; laisse-moi mourir dans ta miséricorde; laisse-moi vivre ta miséricorde, elle est pour moi'. Je pénètre en Dieu, je disparais, je ne suis plus, et pourtant je suis avec mon prochain, je suis avec vous, et pourtant je consens, je consens à entrer dans sa miséricorde, à vivre sa miséricorde, à boire sa miséricorde, à m'envelopper de sa miséricorde. C'est la joie totale! C'est l'Amour, c'est l'Amour avec un grand A. Hey! Je n'ai plus à m'inquiéter! Pourquoi je m'inquiéterais? C'est lui qui a mon oreille, j'm'inquiète plus maintenant.

 

Alors, voyez-vous, là, c'est commencé, il l'a dit. Le temps de la préparation, c'est terminé. Maintenant, on s'accomplit. On entre dans sa miséricorde. Et que va faire mon oreille? Elle va entendre, boire, vivre la miséricorde. Alors, toute oreille sera mon oreille; toute oreille sera mon oreille car je n'ai plus d'oreille, c'est l'oreille de Jésus. Jésus a-t-il entendu toute écoute à cet instant où moi j'écoute? Mais oui, c'est ça que nous sommes en train de vivre. À l'instant où j'entends, tout le monde entend. Vous n'êtes pas déjà arrivés et dire : 'Hey, j'suis en train de faire quelque chose, untel fait quelque chose, untel à une telle place, untel…' On est tous en train de faire quelque chose. Au même moment, le monde entier bouge au même moment que je bouge; au même moment, mon oreille qui écoute, les autres oreilles écoutent au même moment que moi. Ils entendent eux autres aussi.

 

Publié dans Messages Fille du OUI

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article