Notre-Seigneur : C’est mon corps - Père Melvin - 20 août 2009

Publié le par monSeigneur et monDieu

Nouvelles donnees par Père Melvin
 

          Encore une fois hier nous avons connu une belle journée chaude et ensoleillée, accompagnée de quelques nuages et d’un peu de pluie à certains endroits. Il devrait faire soleil aujourd’hui.

          J’ai célébré la sainte Messe hier matin dans le petit sanctuaire de Notre-Dame-de-l’Île-du-Prince-Édouard devant un groupe assez nombreux. J’ai reçu toute la journée des visiteurs en provenance de diverses régions du Canada et des États-Unis. En soirée je suis allé à la réunion de prière; l’Esprit Saint y a manifesté sa présence de manière spéciale.

Traduction : RF

« C’est mon corps »

Enseignement donné par Notre-Seigneur - Jeudi 20 août 2009

Tradition de l’institution eucharistique

          Voici l'enseignement que j'ai reçu du Seigneur et que je vous ai transmis : Le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain et, après avoir remercié Dieu, il le rompit et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous. Faites ceci en mémoire de moi. » De même, il prit la coupe après le repas et dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance de Dieu, garantie par mon sang. Toutes les fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi. » En effet, jusqu'à ce que le Seigneur vienne, vous annoncez sa mort toutes les fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez de cette coupe.

          C'est pourquoi, celui qui mange le pain du Seigneur ou boit de sa coupe de façon indigne, se rend coupable de péché envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s'examine soi-même et qu'il mange alors de ce pain et boive de cette coupe; car si quelqu'un mange du pain et boit de la coupe sans reconnaître leur relation avec le corps du Seigneur, il attire ainsi le jugement sur lui-même. C'est pour cette raison que beaucoup d'entre vous sont malades et faibles, et que plusieurs sont morts. Si nous commencions par nous examiner nous-mêmes, nous éviterions de tomber sous le jugement de Dieu. Mais nous sommes jugés et corrigés par le Seigneur afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour prendre le repas du Seigneur, attendez-vous les uns les autres. Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous n'attiriez pas le jugement de Dieu sur vous dans vos réunions. Quant aux autres questions, je les réglerai quand je serai arrivé chez vous (1 Cor 11.23-34).

 

Vous trouverez ci-après le message que Notre-Seigneur et Sauveur a livré à Joseph. Jésus lui a adressé les paroles suivantes :

 

          « Saint Paul, tout comme les trois évangélistes, a parlé du dernier repas avec les apôtres. Ainsi que vous le savez, je pris du pain et, après avoir remercié et loué Dieu, je le rompis et je le distribuai aux apôtres en disant : "Prenez ceci, vous tous, et mangez-le : c’est mon corps qui sera livré pour vous." Lorsque le repas fut terminé, je pris la coupe, à nouveau je remerciai et louai le Père, puis je donnai la coupe à mes disciples en disant : "Prenez ceci, vous tous, et buvez-en : c’est la coupe de mon sang, le sang de l’alliance nouvelle et éternelle, qui sera versé pour vous et pour la multitude afin que les péchés soient pardonnés. Faites cela en mémoire de moi."


          « Ce que je vous donne à manger et à boire, c’est vraiment moi-même. Je suis présent dans l’hostie avec mon corps et mon sang, mon âme et ma divinité. J’y suis présent et vivant comme je vis maintenant au ciel à la droite de mon Père. Vous devez recevoir l’Eucharistie le cœur repentant et libre de toute faute grave, sinon vous attirez le jugement sur vous. Je vous bénis tous. »

Publié dans Messages P.Doucette

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