Mot du blogueur : lettre à quelqu’un que j’apprécie malgré ses morsures signes de souffrance
Quand vous tenez un bout, vous avez du mal à le lâcher.
Vous vous comportez comme ces témoins de Jéhova qui sont tellement endoctrinés sur les sujets qu’ils doivent aborder avec ceux qu’ils doivent d’après eux « évangéliser » que si vous essayez de discuter d’autre chose avec eux, ils vous ramènent à « leur » sujet car c’est presque la seule chose qu’ils semblent maîtriser.
Mais ne leur poser aucune questions sur l’origine de leur mouvement, ils connaissent parfois même pas le nom de leurs fondateurs !!!!
Je ne cherche à convaincre personne, Dieu y pourvoit !!!
Je suis Catho au plus profond de mes entrailles et Dieu n’a jamais cherché à me convaincre d’aller ailleurs !
Il aurait pu lorsqu’en 1993 il s’est en partie révélé à moi et fait remonter de la fosse du scepticisme où je me trouvais, quoi qu’au yeux du monde, je pouvais être considéré Chrétien Catho alors que je ne pratiquais nullement.
Jésus et Marie tout en m’environnant de leur amour m’ont fait comprendre que je ne pouvais pas être Chrétien « tout seul », je devais participer au culte et surtout tout faire pour recevoir Jésus Hostie.
Mais tout a été progressif, aucune « pression » comme seuls les « humains » savent si bien le faire avec toute sorte de chantage affectif à la base : « pour votre bien ! ».
Non j’ai d’abord été animé d’une boulimie de lecture spirituelle et croyez moi, Jésus et Marie se sont chargés de m’orienter question choix, en parallèlement je ressentais le besoin de comprendre les raisons de cet éparpillement religieux que je percevais intérieurement comme « fruit » de la morsure du serpent aux enfants de Dieu.
Je me suis donc documentez profondément ( j’ai mis ce mot en gras et cela a son importance), je n’avais aucun partie pris puisqu’alors n’ayant aucunement pour l’instant « ré-intégré » l’Église Catholique par la pratique religieuse.
Je passais des nuits quasiment blanches à lire, à réfléchir, à méditer, à louer… au matin je n’étais nullement fatigué, mais attendais avec impatience que vienne le soir.
En effet, bien que je ressentais la présence de Jésus et de Marie m’accompagnant durant la journée, c’est plus quand je me retrouvais disponible le soir venu que s’opérait les Cœurs à cœur pourrais-je dire pour résumer ce qui me serait difficile à vous décrire.
J’ai été amené à lire la Bible, que je découvrais passionnante d’autant qu’en même temps j’ai été orienté à le faire avec l’éclairage du Catéchisme de l’Église Catholique et par la suite à approfondir cette lecture en recourant à « l’Évangile tel qu’il m’a été raconté par Jésus » de Maria Valtorta et dans la foulée, « A l’aube d’une ère nouvelle ». Dans ce 2ème ouvrage il est fait mention de la manifestation de l’Antéchrist et je pouvais d’autant mieux le concevoir que je savais que « toto » existe bien puisqu’il ne se gêne pas depuis la venue de Jésus dans ma vie pour se manifester lui aussi et là c’est moins agréable, mais je sais aussi que Jésus est toujours là si j’en ai besoin et que le recours à la prière est une arme fabuleuse.
Tout cela fait partie de façon résumé de ce qui est mien et qu’en principe je « tais » car quand j’ai voulu en parler, je n’ai trouvé personne autour de moi à qui je pouvais le faire.
Je n’étais pas pratiquant, mais plus respectueux de la morale religieuse catholique que ne l’étaient la plupart de ceux qui m’entouraient. Jusqu’alors c’était mon milieux de vie. Nous ne cherchions à faire de mal à personne, nous étions bien insérés dans le monde sans être pour autant immoraux comme le monde par moment sait l’être en prônant des loi pour couvrir certaines déviances et turpitudes. Nous étions surtout préoccupés à nous divertir tous ensembles les W.E et durant les vacances, en famille si possible. Par ailleurs j’aimais le théâtre, le ciné, la lecture, en plus de mes hobbies perso : peinture, sculpture, céramique, sérigraphie, poésie …. Et j’en passe.. Donc je ne m’ennuyais jamais, mais ne pouvais dire que j’étais réellement heureux.
En moi il y avait un profond vide existentiel que toutes mes activités ne parvenaient pas à combler d’autant que j’apprécie fortement la solitude, et cela remonte à loin. Je me souviens vers 9 –10 ans m’être perdu en moi-même à vouloir comprendre le sens de mon existence et du néant, au point de m’être effrayé tout seul par l’étendu du gouffre qui alors s’était ouvert devant moi.
Aussi je fonctionnais donc normalement apparemment aux yeux de tous, mais je savais que depuis mon enfance avoir toujours été « en manque », mais de quoi ???
Jésus et Marie sont venus le combler en me montrant que Dieu existe, qu’Il est proche de chacun, qu’Il s’intéresse à nous, que la vie a un sens mais qu’en Dieu et surtout que la brûlure de l’Amour de Dieu est Incommensurable, Apaisante et Vivifiante.
J’ai donc dit « banco » et c’est alors que j’ai ressenti qu’il fallait retourner à la « Maison de Dieu », participer à la Messe.
Dans la foulée, j’ai inscrit mon fils au caté et les 2 premières année ce sont les parents qui « le font » afin de pouvoir instruire leurs enfants. A mon sens cela, je crois, devraient être proposé à la majorité des adultes !
J’ai donc re-découvert les fondements de ma foi d’autant que parallèlement mes enseignements perso se poursuivaient sous les regards de Jésus et Marie.
J’ai recommencé à aller à la messe et constaté que je n’en saisissais pas encore le sens et de ce fait je ne comprenais pas grand chose. Je n’allais pas communier, je devais remettre avant mes pendules à l’heure, faire certains choix et m’y tenir.
Il existe « l’initiation » à la messe qui avait lieu aux même heures que la messe dominicale. J’ai prétexté y accompagner mon fils et ai donc reçu toutes les infos requises.
Nullement gêné par le fait que j’était le seul adulte, en dehors de la catéchiste, parmi une flopée d’enfant de 7/9 ans, quand une question étaient posée aux enfants et qu’ils ne savaient pas y répondre, sans pudeur je levais le doigt et disais ce que je pensais. Je me sentais en apprentissage.
Au bout de l’année, je me suis senti en effet en mesure d’affronter la messe des « grands » et je l’ai fait ainsi que nous étions poussés à le faire par la responsable. Il m’arrive de la rencontrer par moment, souvent chez des amis communs, et au début nous en ririons de mon « introduction et ma participation active» à son groupe. Elle était directrice d’école primaire et je pense qu’à ce titre sa pédagogie était excellente car j’ai vraiment bien profité de ce qu’elle avait à transmettre aux enfants.
Je suis parti d’aussi loin pour vous répondre afin de vous montrer que bien avant Medj ma rencontre a eu lieu, donc mes réactions après ne pouvaient être similaires aux vôtres. Je perçois à vos dires que vous avez ressenti comme une défiance à votre encontre.
Mais j’ai envie de vous demander si, en toute objectivité, vous n’avez pas chercher à imposer ce que vous avez vécu à Medj à votre communauté.
C’est un peu comme quand une personne qui « refait » sa vie avec un(e) partenaire et recherche désespérément en elle(lui) les caractéristiques de l’ancien(ne) et s’étonne qu’on l’envoie « bouler » !
Ma difficulté à parler de ce que je vivais avec notamment le prêtre de la paroisse où je me trouvais à l’époque, je l’ai rencontré au début, bien avant Medj, et ai déduit que ce n’était pas la peine d’aborder ce qui me préoccupait, l’autre n’étant pas ouvert. Je me souviens lui avoir rétorqué vertement de m’excuser que je croyais, après avoir attendu toute la matinée mon tour dans sa salle d’attente, être reçu par le représentant du Christ, donc être face à Son amour et je constatais être face à un fonctionnaire du Christ qui à peine m’ayant salué avait regardé sa montre pour me dire qu’il était pressé. Qu’il aurait du le savoir plus tôt et dès le début de sa permanence réduire le nombre de personnes qu’il recevrait en expliquant sa soit disant « urgence », d’autant que ne me connaissant pas, il ignorait totalement si j’étais en grande détresse spirituelle. Aussi ne voulant pas lui faire perdre davantage de temps, je le laissai à son urgence, en dépit de son assouplissement … sa réception m’ayant démontrée le non fondé de ma démarche.
Sans être fâché avec lui, je connaissais ses limites et lui ce jour là a su que j’en avais. Aussi il n’y a plus eu d’anicroche entre nous d’autant que je n’ai plus cherché en lui ce qu’il n’avait pas encore trouvé ou qu’il avait perdu en cours de route : l’ Amour du Christ !
J’ai tenté par la suite de participer à un groupe mené par lui de lecture biblique, mais je m’y ennuyais ferme. La motivation des gens semblaient de montrer au curé leurs connaissances spirituelles qui consistaient à copier sur un « quid » théologique des morceaux d’articles qu’ils lisaient pour expliquer la parie de texte biblique que nous avions à préparer. Tous prenaient des notes, et pire semblaient satisfaits. Là je me sentais de plus en plus un « E.T » et ai préféré m’en dispenser.
Bien longtemps après, toujours désireux de comprendre ce que je vivais, J’ai été voir un prêtre à qui je me confessais du temps de mon adolescence ( il est devenu depuis Évêque, mais à ce moment ne l'était pas encore!), au bout de la 3ème rencontre, le soir j’ai dit à maman Marie et à Jésus : Je suis toujours aussi vide et n’arrive toujours pas à parler de ce qui me préoccupe.
Le mardi suivant, je lisais un article sur un des journaux de la salle d’attente, et j’ai demandé si je pouvais l’emprunter car je désirais finir ma lecture. Le prêtre m’a dit gentiment que je pouvais l’emporter ainsi que d’autres si je le désirais. Ce que j’ai fait(*).
Une fois passé le plaisir de se revoir, de passer en revue les personnes du passé … avec lui aussi, j’ai ressenti la difficulté de parler réellement de l’irrationnel alors que les gens ont déjà tant de mal à se comprendre sur le rationnel.
Et tout comme durant mon enfance, j’ai continué à me taire et ai surtout observé ce qui se passait autour de moi. Je n’ai jamais cherché à conduire les autres là où ils ne le souhaitent pas. Par expérience je sais que personne n’aurait pu me faire bouger aussi radicalement que ne l’a fait Jésus. Je me contente de donner mon avis si on veut bien l’entendre, j’écoute beaucoup le point de vue des autres, cela m’aide à les comprendre, mais s’ils vont à l’encontre des convictions de l’Église Catholique telles que décrites dans le Catéchisme, je ne les suis pas car c’est une des premières références vers laquelle m’a adressé Jésus, avant même de me montrer comment ma vie par moment peut y être en désaccord. Il a eu l’amour de me laisser comprendre tout seul que je me plantais, Il m’a juste donné Sa Parole et L’a laissée agir en moi progressivement par moment, de façon fulgurante à d’autres (suivant l’état de mon entêtement et de mon aveuglement ). Aussi puis-je dire à l’instar de Pierre : A qui irais-je d’autre mon Seigneur et mon Dieu Toi Seul a les Paroles de vie ! Et si ce miel que Tu m’as donné à goûter n’est que peu de choses comparé aux délices célestes, je Te suis quoi que je sache que la route est jonchée de ronces, je m’en suis rendu compte et ne cesse de m’y perdre, mais mon Berger m’appelle et je connais Sa voix qui est inimitable et bien vite penaud , je me confesse à Lui et rentre à Sa suite au bercail.
Je connais ce bercail, je sais qu’il est en pleine nature donc avec des creux et des bosses, mais de ces vicissitudes j’en avais été prévenu, puisqu’avant même d’avoir institué là Sa bergerie, mon Berger savait que Son adversaire pour dérober Ses brebis creuserait en dessous fragilisant le sol.
Il en avait donc fait part aux brebis, leur demandant surtout en Son absence physique, de rester UNIS afin de faire front à l’ennemi. Qu’Il avait mis en place l’organisation adéquate pour qu’en dépit des problèmes des uns et des autres que tous parviennent à demeurer en vie jusqu’à Son retour, d’autant que par la force de Son ESPRIT la bergerie saurait toujours à terme retrouver le bon mode de fonctionnement. Tout était donc en place !!!
Mais l’adversaire aux aguets, tout comme dans le jardin d’Éden, a su faire vibrer chez quelques brebis leurs entrailles et leur faire croire que Dieu leur a confié la mission de rétablir l’ordre compromis selon eux.
Le fourbe n’a pas besoin de chercher loin, les brebis ont l’art de se prendre pour ce qu’elles ne sont pas et persuadées, tout en disant que le salut ne vient que de Dieu, que Dieu a besoin d’elles pour agir. Nous ne sommes que des instruments et en tant que tel pouvons être utilisés par n’importe quel ouvrier. La qualité de l’ouvrage avec un même instrument ne dépendra que de la dextérité et du savoir faire de l’ouvrier.
Ces brebis qui ont oublié que le Maître a dit de rester UNIS ont suivi une tête de file disant avoir été missionnée. PAR QUI ??? Car à part JÉSUS, je n’ai vu aucun autre libérateur prévu. Pourtant dès l’Ancien Testament le Plan de Dieu est décrit, mais je n’ai pas vu qu’après Jésus viendrait une lumière pour conduire les brebis hors de Sa bergerie. C’est peut être dans un Évangile apocryphe ( la signification du mot en dit long !), il paraît qu’il y en a tant dont un certain qui parle de la « femme » de Jésus. Eh oui à ce qu’il paraît « Marie Magdeleine » !
Moi j’ai pas reçu ce faire part et n’ai pas été convié à la noce aussi pas étonnant que je ne sois pas au courant d’autant que je ne me réfère à aucun évangile hypocrite sorti de dessous le fagot.
Tout ce que j’ai besoin se trouve dans la Bible, la tradition et surtout les messages qu’au cours des siècles le Seigneur a donné par ses nouveaux prophètes pour Ses enfants de la fin des temps, nous, et pour être fidèle à Sa Promesse lorsqu’Il donne aux douze apôtres une mission universelle : annoncer l'Evangile à toutes les nations et dit : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. » matt 28, 18-20
A moi et à un certain nombre, il m’a dit dans Sa parole que l’Église est Son épouse et qu’IL viendrait la chercher pour les Noces de l’Agneau, aussi je me contente de cela. J’ai une petite tête et ne cherche pas à faire compliqué quand c’est simple.
Donc une partie des brebis est partie à la suite d’un nouveau prophète, Dieu veille toujours par Son Esprit sur ces brebis qui sont maintenant d’une autre bergerie, mais on constate que se développe au sein de cette bergerie une multiplicité d’émergence, la division amorcée perdure de façon vertigineuse (tout comme le péché originel) et cela a même donné naissance à un courant sectaire qui quoi que se disant chrétien annonce un autre évangile où Jésus est un prophète pour certain, l’archange Michaël pour d’autres : les TJ bien sûr !!! (témoins de Jéhova) qui sont franc maçons et semblent l’ignorer, comme quoi certain font dire à la Bible ce qu’ils veulent et c’est dessus que mise le contraire pour introduire en catimini sa nouvelle doctrine !
Cependant dans la Bergerie initiale du Seigneur, le fourbe continue toujours son travail de sape, il attise les démons de chair, de l’esprit et sème à tout vent son ivraie démoniaque, les brebis qui continuent à écouter la Voix du Maître s’en écartent, mais un certain nombre se laissent séduire et corrompre.
Quand Dieu dit Priez pour ne pas entrer en tentation, elles comprennent l’inverse. Convaincues de leur force elles se roulent dans l’herbe folle de l’ivraie qui peu à peu fait monter en elles l’ivresse, la passion charnelle et l’aveuglement spirituel.
Mais il y a encore plus retors, ceux qui déguisés en brebis ne sont que des loups mis en place par l’ennemi pour dévorer et détruire de l’intérieur la Bergerie afin de pouvoir, croit-il, capturer le plus grand nombre de brebis.
Ce travail du fourbe est maintenant à son apogée dans l’Église Catholique, mais il est vaincu d’avance.
Aussi les vrais Catholiques connaissent leur histoire, savent qu’ils devront en tant que Corps du Christ être persécutés et certains mourir à cause de leur foi, mais l’Église du Christ, Elle, RIEN ne prévaudra contre Elle.
Donc nous n’avons besoin d’aucune recommandation, si bien intentionnée soit elle, mais de prières et de respect, nous n’attendons que cela des personnes se préconisant Chrétiennes. Nous de notre côté essayons de prier et demeurons fidèles à nos enseignements. Il en fut de même pour les premiers Chrétiens et nous savons qu’ils en sera de même pour les derniers. Aussi ceux qui extérieur à notre Église regarde en se voulant « donneurs de leçons » sans voir ce qui poindre en dessous et se réjouissent d’après eux du malheur de notre Église, ne sont que des inconscients.
Quand la guerre est ouvertement déclarée, et c’est le cas en ce moment, l’ennemi s’attaque d’emblée à la plus grosse troupe en utilisant même les mercenaires des petits contingents. Et une fois que la grosse troupe a été mise à mal, et hors d’état de nuire, il en sera de même pour toutes les « armées » qui ne veulent pas se rallier à la nouvelle doctrine infernale qui émergera.
Les plus avertis par l’Esprit de Dieu le savent et prient également pour que le peuple Chrétien dans son ensemble, soit le plus que possible préservé par la machine infernale qui s’est mise en route et ne s’arrêtera pas de sitôt.
Quand viendra le moment choisi par le Seigneur, Il ramènera de par le monde toutes les brebis qui reconnaissent Sa voix et Le suivent et Il rétablira Son Église qui alors sera inviolable.
Donc pour en venir à mon après medj, mon avant m’avait déjà montré les limites tant les miennes que celles des autres, aussi je n’ai eu aucun problème particulier. Maintenant je constate que l’idée a pris place peu à peu et ne sont plus marginaux ceux qui y vont. Les prêtres aussi y vont de plus en plus et je trouve cela très bien, surtout lorsqu’ils encadrent leurs paroissiens.
Et nous savons tous, maintenant, que quand Maman Marie invite c’est qu’elle souhaite amener une âme à Son Fils !
Vous comprenez maintenant pourquoi ma réponse ne pouvait se faire en deux lignes : Je devais vous faire part de tout cela pour y arriver à ma remarque finale.
Je suis Chrétien Catholique, non pour un ou des prêtres et/ou des fidèles, mais parmi eux. Je souhaite voir toute l’Église croître en sainteté, mon désir est de même pour les autres communautés chrétiennes, car ainsi le Corps lui sera fort. Mais je suis réaliste et connais nos limites perso qui sont autant de freins qu’il y a d’âmes à mener à cette sainteté. Aussi qu’importe ce que les uns ou les autres diront ou feront, je demeurerai Chrétien Catholique jusqu’à ce que ce soit le Seigneur qui me dise que le temps est venu de passer à autre chose si d’ici là je ne suis pas encore passé de vie à trépas.
D’ici là j’essaie comme bon nombre de mettre en pratique l’amour du prochain, je connais mes limites et cela me permets de comprendre que l’autre a autant de difficultés que moi. Mais si chacun de nous tendons vers et crions vers Dieu en Lui présentant nos limites, nous recevons une aide puissante qui ne peut qu’aller à l’encontre de la déshumanisation orchestrée par l’ennemi.
Je suis le bon pasteur, je connais mes brebis……Amen ! Viens Seigneur mon Dieu !
PS en filigrane je vous avais en partie répondu tout comme à Violette et à Jean Christophe( à propos des messages trinite. 1), dans le : Mot du blogueur : Lettre ouverte à celui qui ne sait pas qu’il a compris beaucoup ! qui renvoyait aussi à :
28e ANNIVERSAIRE DES APPARITION de la Reine de la Paix à MEDJUGORJE
Je prépare mon gilet pare balles.
Au cas où je ne vous verrai pas réagir, filez moi votre adresse avant de lire afin que j’envoie le SAMU !!!